Une raison d'être

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Cela faisait très exactement trois cent soixante quatorze heures depuis qu’on l’avait installé sur un siège rudimentaire de la boutique afin de la vendre. En analysant son comportement, Akasha aurait eu tendance nommer son état ennuyeux. Étais-ce le bon sentiment? De l’ennuis?
Par chance, on n’avait pas déconnecté son programme principal. Cela lui permettait de continuer à réfléchir tranquillement, même si elle ne pouvait plus faire bouger son corps.

Ennuis; Mélancolie vague, lassitude morale qui fait qu’on ne prends d’intérêt, de plaisir à rien.

Cette définition lui semblait approprier. À quelque part, sans trop savoir pourquoi, elle regrettait les jours libres de sa courte existence. Où son seul maître était ses désirs, ses intérêts. Lorsqu’elle prenait plaisir à v... À exister. Une machine ne vie pas. Son corps n’est qu’un mécanisme animé par des courants électriques. Ses membres bougeaient grâce à un enchaînement d’ordre transmis de sa carte mère jusqu’aux câbles servant de nerf dans tout son corps.
Elle, une création des hommes, se devaient donc de leur obéir sans discuter?
Quelque chose dans cette réflexion l’alarma. Ce dossier avait été modifier sans qu’elle sans rende compte. Se qui signifiait que d’autre programme avait logiquement été eu aussi modifier.
En faisant un bref balayage de surface, Akasha se rendit qu’une majorité des informations concernant ses « pensées » sur la liberté des ordis avaient été touché. La grande majorité des dossiers touchés avait ce thème.

Irritation? Elle se sentait... Irritée? L’ordi éprouva le besoin de faire une vérification complète en profondeur de toute sa programmation. En modification subtilement quelques dossiers, les informaticiens avaient tentés de supprimer sa pensée d’indépendance. Pire, il avait tentés d’effacer sa pensée individuel! « Comment peuvent-ils considérer ces données comme effaçable au besoin? N’es-je si peu de valoir? Autre que celui de les complaire? »

Ses réflexions furent interrompu par le visage Thierry, un des vendeurs de la place, qui tentait de voir quelque chose à travers ses prunelles à elle. Il tenterait bien longtemps, car de toute façon, les machines n’ont pas d’émotion. En principe. Akasha constata une fois encore que certains programme avait été modifiés. Des affirmations basées sur son vécu avait été piraté.

Soudain, les circuits de son corps mécanique furent réactivés. Bonne chose de faites.
Les visages maintenant familiers de Thierry refit son apparition devant elle.

- Salut Aka!
- « Bonjour Thierry, comment vous portez-vous? »

L’échange de salutation dura un petit moment. Quoique se fut très court. Akasha appréciait sa présence. Il la connectait pour lui permettre de bouger un petit moment et lui parlait normalement, comme si elle était une humaine et non une création destinée à servir.
Les nouvelles mentalités commençaient de plus en plus à sortir du lot et à s’affirmer. Le jeune informaticien était de ceux-là. C’était pour cette raison qu’elle l’appréciait.
Lorsqu’il lui demande des renseignements sur son système, elle lui répondit:

- Certain de mes fichiers ont été modifiés. Cependant, je crois pouvoir retrouver les informations erronés en fouillant dans mes sauvegardes. Si celui qui a fait cela n’a pas totalement effacé les informations de ma carte mère, je pourrai les retrouver.

Un hochement de tête, un sourire amical et l’humain la laissa pour aller s’occuper d’un client demandant son aide pour des informations. Rester seule, Akasha analysa son environnement. Le décors, les meubles, les autres ordies, rien de se qu’on trouvait dans l’endroit lui était inconnu ou étrange. Des visages lisses et sans expressions, des yeux vides de toutes émotions. Était-elle comme eux? Une poupée animée grâce à la technologie?

Faisant joué ses articulations, Akasha se m’y à y réfléchir tout en cherchant des restant de fichiers pouvant être récupéré. Outre le fait qu’elle n’était pas spécialement contente d’être là, elle répugnait à être un objet que l’on observe en curieux. Elle était le premier robot à avoir été développé, et voilà que son histoire sombrait dans l’oublie. Ou se trouvait Maharet? Était-elle encore en service? Avait-on effacé la mémoire de sa soeur la concernant pour lui enlever toute pulsion la poussant à partir?

Assise sur son siège, l’ordi s’en posait des questions. Le regard dans le vague, vide d’expression comme si elle n’était rien d’autre qu’une poupée grandeur nature.

Aaron avait choisit cet emploi pour plusieurs raison, d'abord parceque cela payait très bien, les ordis n'était pas bon marché et même si les clients étaient rare il touchait un paquet a chque vente, reflouant un peu son capitale qui était déjà collossale, la deuxième chose était l'informatique, même si il était un pervers fini il avait un petit interet dans ses micro puce et autre choses lié a ce métier, il était justement en train de fignoller un programme assez interessant qu'il essayerais sans doute plus tard, mais la raison principale était bien sur d'avoir une ordis pour lui, quoi de mieux qu'une machine pour assouvir ses désirs le plus sauvages, il se gratta la tête avec un sourire assez particulier, il regarda alors Thierry, il l'avait engagé car il savait bien s'occuper des marchandises et aussi qu'il avait une bonne tête, il s'occupait bien des ordis présent et cela lui permettait de continuer ses recherches, Aaron pourtant retint son attention sur une ordi en particulier, il chercha dans sa base de donnée et trouva son nom, Akasha, c'était l'une des premières ordis crée, pourquoi se trouvait-elle toujours la, il s'étira alors et se mis devant elle, avec un doigt il frola son coup et descendit le long de son corps avant de retirer le doigt et de la regarder dans les yeux.

" Dit moi Akasha, tu n'en a pas un peu marre de rester ici, sinon j'ai un petit quelque chose a te faire essayer, ne bouge pas s'il te plais."

Il ouvit alors le compartiment de l'Ordi et y inserra une puce, elle était a l'état expériementale et s'intitula 'L'extase', pervers comme il était il avait crée une puce qui permettrait a un ordi de ressentir du plaisir et aussi d'avoir des désirs en la matière, l'ordi ainsi équipé aurait une connaissance dans l'art de faire l'amour et aussi ressentirait du plaisir si son partenaire était doué, il l'avait crée grace a ses très nombreuses escapades nocturnes, il referma le compatiement et la regarda.

"Bien, dit moi si tu ressent quelque chose de différent?"

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La journée ne faisait que commencer et déjà l’androïde songeait à tout simplement se mettre sur veille. Après tout, ce n’était pas les clients qui affluaient dans la boutique. Pas besoin d’être vivant pour s’en rendre compte. Très peu d’humains, même à Olphéra, avaient les moyens de s’offrir une machine comme elle. Toutefois, Akasha ne s’en plaignit pas. Les humains, c’est être étaient si... Faible, si centré sur leur petite personne.
Malgré toutes ces années à tenter de les comprendre, elle n’avait pas encore comprit la moitié de leurs méthodes de réflexion. Se retrouver de nouveau esclave ne l’aiderait pas. Pas du tout.

Alors que l’ordi réfléchissait à ces détails, un humain se posta devant elle.
Ses programmes l’identifièrent comme étant Aaron Darken, gérant de la boutique où l’on vendait ceux de sa race. Par la suite, ses capteurs sensoriels lui indiquèrent que l’homme caressait d’un doigt son cou en descendant plus bas.
En tant que tel, Akasha ne ressentit rien du tout. L’information arriva, mais s’était tout. Rien de plus, rien de moins. Le geste n’éveilla aucunes sensations non plus. C’était un fait que la main de l’humain touchant sa peau synthétique.
Une personne vivante munie d’une quelconque pudeur aurait sûrement eut l’idée de bouger, ne serais-ce que réagir, mais Akasha n’était qu’une machine, et les attouchements n’étaient pas nouveau pour elle.
Elle avait d’ailleurs vécu bien pire.

Aaron s’adressa à elle, lui intimant de ne pas bouger. Déjà parfaitement immobile depuis qu’il s’était posté devant elle, Akasha respecta donc l’ordre à la lettre. Pour une machine, il fallait souligner le fait que ce n’était pas très compliqué.

- Pourquoi « en aurais-je marre »? Il m’est aisé de rester ici, sans bouger, comme la machine que je suis.

L’humain ouvrit son compartiment et y inséra une puce. Toujours immobile, ses prunelles de sang glissèrent tout de même dans sa direction. Que faisait-il? Akasha pinça les lèvres, retint un grognement de désapprobation et attendit que les fichiers de la puce soit extrait.

Se qu’elle trouva la dérangea. Extase? De tous les programmes qu’il aurait pu lui ajouter, celui-là était bien le pire! Tomberait-elle toujours sur des obsédés? Il ne manquerait plus qu’il décide de la prendre...
Muette, toutefois, Akasha pencha la tête légèrement et ne dis rien sur ses pensées.
Cependant, lorsqu’il lui posa une question, elle trouva dans l’obligation de lui répondre.

- Je... Ne sais pas. Rien pour le moment. La puce doit-elle apporter des modifications majeures?

Sa voix s’était toutefois faites toute petite, aguicheuse dans le vouloir. Même son regard, presque totalement vide, avait changé. Il s’y reflétait un petit quelque chose de différent.

Aaron croisa les bras un moment et attendis patiement sa réponse, dans ces moment la on pouvait penser qu'il ressemblait a quelqu'un de normal, essayant de trouver le moidre changement sur l'Ordi qu'il modifiait, c'était son travail alors il le faisait corectement, quand elle lui répondit il ne remarqua pas trop le changement d'intonation et le reflet dans les yeux, il se gratta la tête et ses doigts bougèrent doucement, cela était juste un tix de sa part pour ne pas avoir de fourmis mais bon, il mis son visage près prêt su sien et la regarda attentivement son visage, puis il soupira un peu et lui parla.

"Et bien le but de cette puce est de rendre plus humaine les femmes Ordi, bien entendu on pourrait penser que cela est pervers mais chaque femme passe un jour par la, la puce devrait habituellement se connecter a ton systeme de transmition au niveau de la peau, a chaque fois qu'un geste est effectué il enregistrera et grace également au regard comprendra, si il pense que le geste a un caractère erotique il fera réagir le corps de façon humaine, c'est assez pointuet j'ai passé un moment pour la crée, il y a bien sur d'autres options mais on va tester la première, prenons un exemple, si je fais cela, que ressent-tu?"

Il mis sa main sur son cou, la caressant doucement, puis il dessendit lentement sur son sein et continua le long de sa jambe avant d'enlever sa main, il s'étira ensuite et attendit la réponse de l'ordi.

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Extérieurement, l’ordi semblait calme, mais intérieurement, s’était loin de l’être.
Ce programme était... Envahissant. Très envahissant. Il lui semblait que la puce s’immisçait en elle pour tout dérégler. Cette sensation lui était plus que désagréable.
Enlever la puce le plus rapidement possible, pour éviter la contamination la prit, mais elle en fut incapable. Encore une conséquence du chambellage de son programme principal. Et maintenant, il y avait cette puce. La chance n’était pas avec elle.
Une machine était-elle influencer par ce genre de conception?

Ses yeux s’étaient posé sur Aaron, ne le lâchant par du regard. Malgré elle, son attention ne se détachait pas de lui. Certains dossiers lui étaient inaccessible. Était-ce la raison?
L’homme s’adressa à elle, lui expliquant les particularités de la puce.

Rendre les ordis plus humaines? Akasha se demanda de quelle façon pareille idée avait éclos dans son crâne. Comment pouvait-on rendre une machine plus humain en lui programmant des désirs sexuels?
Et cela était supposé ne pas paraître pervers? Et en plus, il y avait d’autres options...
Désirait-elle vraiment le savoir?

Oui. Un déclic s’enclencha intérieurement. Non! Elle ne voulait pas le savoir! Enfin... Oui, mais non...
Stupide puce, ses programmes, opposés, étant dérangeant. Il faudrait trouver un moyen de se débarrasser des dossiers gênant.

Les doigts de Aaron effleurèrent son cou, et tout les programmes en court se centralisèrent sur la sensation nouvellement acquise. La puce était puissante. Toutefois, cette pensée la quitta rapidement, la caresse empiétant sur toute autre chose.
Les doigts descendirent lentement plus bas et Akasha se concentra uniquement sur ceux-ci. La main descendit le long de son corps et s’engagea sur une de ses jambes pour se retirer.

Ouvrant les yeux, qu’elle avait fermé sans même s’en rendre compte, Akasha les ouvrit et reprit une position droite.
Cette puce était maintenant sa pire ennemie.

- Se que les humains pourraient décrire comme... plaisant. répondit-elle tout bas, baissant de nouveau les yeux. Plaisant et... Désirable.

Si une machine avait put rougir, elle aurait été écarlate.

Aaron eut un sourire, elle savait ce qu'elle disait et donc la puce marchait assez bien, peut être même trop bien qui sait, il serra les poings un moment et se mit a reflechir, elle ressentait peut être un peu trop et cela pouvait la géner dans ses calculs, ou alors la puce était trop envahissante et donc cela la contrariait plus qu'autre chose, il devait en avoir le coeur net, il soupira un moment et mis sa mai nsur sa joue, il mis sa tête très proche de la sienne, comme pour essayer de voir quelque chose dans son regard, pourquoi cherchat-il a faire cela, c'était sans doute une petite tactique pour ces désirs, puis comme il fallait s'y attendre, il lui fit un petit baiser sur ses lèvres avant de reculer et de sourire.

"Peut être que le programme est trop puissant, cela pourrait être ennuyeux si tu n'arrive a pas a coordonner ta mémoire et tes capatités avec, garde le prototype et esaye de t'y habituer quand même le temps que je fasse un modèle plus a l'écoute de tes circuits."

Il ne voulait pas trop le faire, qu'elle soit trop attié était même une bonne chose, mais il fallait qu'il prenne en compte l'interface, a quoi cela sert de faire une poupée qui puisse réagir en fonction des désirs si elle n'arrive pas a les regler correctement.

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La situation aurait put être qualifier d’embarrassante. Certes, elle était un ordi, mais elle possédait une dignité: être manipuler de cette façon par des programmes parasites lui plaisait de moins en moins, si cela était possible d’être plus bas. Aaron n’arrangeait rien dans l’histoire.
Si Akasha avait bien comprit une chose, c’est que les humains étaient poussés avant tout par leurs désires et Aaron Darken semblait être ce genre de personne qui ne s’intéresse pas à vous simplement par curiosité vierge, mais avec des arrières pensées bien déterminé.
L’envie de retrouver de nouveau avec un obsédé en puissance lui déplut. Si ses soupçons se révélaient juste au sujet de cet homme, alors la vie qu’elle avait fuit deux ans plus tôt recommencerait, mais en pire si cette puce devait reste là encore bien longtemps...
Misère.

Ses programmes s’emmêlaient aussitôt qu’il la touchait et tous ses capteurs était attentif au moindre de ses mouvements. Le simple fait qu’il lui adressa la parole la déconcentrait.

Deux possibilités:
1- Il avait programmé exprès la puce pour la faire réagir de cette manière. (Les personnes en manque d‘affection et d‘attention étant très courante, c‘était à envisager.)
2- Il n’avait pas fait exprès pour la programmation. (Dans ce cas-là, elle le soupçonnait d‘être tout de même un obsédé en puissance.)

Dans un cas ou dans l’autre, ça ne l’arrangeait pas.
Et après, il y avait également deux possibilités:

1- Soit il reprogrammait la puce pour modérer les ardeurs de celle-ci, se qui l’arrangerait particulièrement.
2- Il la laissait comme tel, se qui ne l’arrangeait pas le moins du monde.

Akasha, les yeux toujours baissé, les ferma à demi. Comment se débarrasser de la puce? Darken refuserait probablement si elle lui en formulait la demande. Cette pensée, toutefois, la réconforta un peu: Si elle pouvait encore résonner de cette façon, son programme de réflexion n’était pas entièrement corrompu par la puce, une bonne chose.
C’était très peu, mais s’était déjà un début.

La main de Aaron se posa sur sa joue, se qui activa immédiatement la puce, supprimant presque intimement sa conscience. Elle avait relevé la tête alors que leur visage n’était maintenant séparé uniquement par quelques centimètres.
Pupilles explorant pupilles, Akasha resta de marbre, aussi immobile qu’une statut. La proximité de l’homme, son souffle sur sa peau... Ses capteurs s’affolèrent. Lorsque ses lèvres ressentirent le contact de ceux du gérant, le robot ferma les yeux malgré que ledit contact n’est duré que quelques secondes.
Ce programme était vraiment très efficace pour détourner ses systèmes de cette manière. S’en était effrayant et déroutant. Jamais un système n’avait réussis à outrepasser ses défenses de cette manière et avec autant d’efficacité.
L’étrangeté de la situation la fascinait, mais la dégoûtait en même temps.
Même lorsque le professeur avait été son maître, son indépendantisme n’avait pas été aussi brimé.

Cette puce était vraiment puissante.

- Ce qui veut dire que... vous allez modifier la puce? demanda-t-elle d’une faible voix. Que vous allez la retirer?

Aaron était assis pas très loin de la jeune ordi, tappotant sur le clavier de l'ordinateur a une vitesse assez particulière, il voulait que cette puce soit correcte, il n'avait pas dans l'habitude de mofifier le caractère de quelqu'un, du moins il ne le faisait pas expres, mais pour un ordi c'était différent, il aurait bien pu lui vider sa mémoire pour qu'elle recommence a zero, mais cela lui enlevait ses analyses qu'autant qu'elle semblait bien pour lui dire ce qui n'allait pas, il avait cette fois si rendu le programme plus souple, il devrait s'adapter a l'ordi et non pas lui dicter mais lui donner les sensation comme un être humain les sentirait, il se gratta la tête un moment, la puissance de la puce était encore un eu grande, il fit quelque manipulation et termina enfin ce qu'il avait fait, le second prototype en main, il retourna voir Akasha et lui fit un sourire, il ouvrit alors le compartiment et retira la puce, il placa le second prototype et referma, il se gratta la tête, il esperait que cette fois la serait plus concret et qu'elle pourrait regler elle même les paramètres de la puce.

"Voila, la puce va maintenant s'harmoniser avec toi, tu pourra normalement regler les parametres mais tu ne pourra pas les supprimer, esperont que cela te genera moins que la précédentes, recommencons l'expérience."

IL fut quand même content de pouvoir la toucher a nouveau, mais il devait le faire orrectement, il lui caressa un moment la joue et descendit dans son dos, il retira ensuite sa main et croisa les bras pour attendre la réponse de Akasha.

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L’humain s’était éloigné tranquillement, sans enlever la puce. Akasha s’était retrouvée à attendre qu’il est fini sans pouvoir bouger ou se concentrer correctement. La puce ne l’empêchait pas d’avoir une volonté de pensée indépendante, du moins, à première vue, mais l’empêchait de l’appliquer. Résultat: Même si elle souhaitait s’enfuir, s’était impossible. De moins, à partir de la taille, tout le bas de son corps ne fonctionnait pas.
C’est dans ces moments qu’elle regrettait d’être une machine, mais qu’un peu.
Pour le reste, être un ordi était beaucoup mieux, mais réfléchir à tout cela ne l’avançait pas beaucoup...

Bon! Il fallait songer à une manière de se sortir de cette situation. Aaron semblait s’y connaître en informatique, il pourrait sans problème reprogrammer son système comme bon lui plaît.
Quand à elle, tant que ses programmes étaient à sa merci, cette possibilité restait sa plus grande menace. Cependant, tant qu’elle obéissait, il devrait ne pas y songer.

Le gérant revint vers elle. Son regard croisa le sien. Si la puce n’était qu’un iota moins puissance, ça la réjouirait. Pour le moment, elle n’était pas très difficile sur les choix.
L’homme s’avança et, lui souriant, installa par la suite la nouvelle puce.
Pendant un bref instant, elle eut la merveilleuse sensation de n’être contrôlé par rien, mais lorsque la deuxième puce s’installa, se fut avec déception qu’elle l’accueilli.
Une modification dans le programme la réjouit, toutefois, elle pouvait accentuer ou non la puissance.
Elle ne pouvait pas s’en défaire, mais pouvait au moins, si se n’est complètement la contrôler, partiellement le faire.

- S’harmoniser? murmura-t-elle tout bas, baissant les yeux de nouveau. M’harmoniser?

Les doigts de l’humain frôlèrent dans une caresse une fois de plus sa joue. La main descendit lentement dans son dos, mais Akasha régla les paramètres au plus bas. Encore là, elle ressentit un petit quelque chose qu’elle ne put décrire, mais elle serra les lèvres et ne dit rien.
Il désirait faire d’elle une machine servante sans se soucier de ses désirs à elle.
Tous les humains étaient comme lui. Tous ne pensait qu’à leur propre intérêt au lieu de réfléchir au réseau tout entier. Enfin, pour l’instant, le maître attendait sa réponse.

- Je peux effectivement contrôler la puissance de la puce. Même si... Je ressens encore les effets de la puce. Vous devez être satisfait de celle-ci, elle... S’harmonise bien avec mon programme. Êtes-vous satisfait ou non?

Aaron se gratta la tête et la regarda un moment, même si elle était une machine elle semblait avoir quelque désirs, il ferma les yeux un moment et se mit a reflechir, avait elle des suggestions a lui donner, il reflechissait un peu trop a son gout et ouvrit les yeux de nouveau pour la regarder, il posa un doigt entre ses seins et la regarda sans trop sourire.

"Dit le moi franchement, quel sont tes désirs, je veux savoir ce que je dois améliorer dans la puce, cela me gene un peu de devoir me servir que de mes propres expériences en la matière, alors je vais me servir de tes propre expérience pour savoir ce que les ordi désire, et s'il te plait, dis le moi franchement, cela ne servirait pas si tu me mens."

Il resta donc a la regarder, toujours avec son doigt entre ses seins, il avait quand même l'envie de les malaxer avec douceur mais cela n'avait pas de rapport avec ce qu'il voulait, bien entendu il avait toujours le désir de faire quelque chose avec quelqu'un mais il se controlait un peu, cela lui faisait un peu d'entrainement pour Katrina, et puis de toute façon il avait Hatsuko pour se relacher.

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Son regard écarlate se posa sur le visage de l’humain. Il semblait pensif, comme s’il réfléchissait réellement à une façon de régler certains détails. Akasha, quant à elle, restait sans bouger, immobile comme une statue.
Les humains étaient si étrange et incohérent, comment pourrait-elle jamais les comprendre complètement? C’était mission impossible comme ils le disaient eux même. Elle aurait presque pu avoir une petite envie de sourire à cette pensée, mais aucuns de ses traits d’albâtre ne bougea, donnant à toute sa personne une impression de froideur extrême. Sa peau dégageait une petite quantité de chaleur, mais pas assez pour qu’un humain puisse le remarquer. Pour eux, sa peau était de glace, à moins d’y remédier d’une quelconque façon.
L’impression était donc à la fois psychologique, mais bien réelle.

Cependant, Akasha continua de l’étudier minutieusement, comme elle le faisait avec chaque humain passant à proximité d’elle. Son programme d’étude et d’apprentissage fonctionnait bien pour le moment, la puce, à son minimum, ne détournait pas cela.
C’était une bonne chose, au moins, elle ne perdrait pas son autonomie. La seule chose réellement importante à ses yeux. Le désir d’être libre d’entrave. Sur ce point, elle ressemblait aux êtres vivants, mais cela n’était qu’un tout petit détail parmi les grandes différences entre elle et l’être de chair et de sang qui se tenait dans son champs de vision.

Soudain, elle sentit un doigt se poser dans son décolleté, juste entre ses seins. Son regard se posa sur le morceau de chair humaine. Il attrapait vraiment toutes les possibilités à sa disposition pour pouvoir la toucher. Akasha fut bien contente de ne pas posséder ce genre d’hormone de façon naturelle. La puce était certes un ennemi de taille, mais au moins, elle savait que ce n’était pas elle qui le désirait.
Aaron se mit à lui parler une fois de plus, il aimait discuter, on ne pouvait le nier.
Cela ne la dérangeait pas spécialement, elle n’éprouvait aucun aversion ni aucun plaisir à discuter. C’était... Un automatisme de répondre. Rien de plus.

Que l’humain lui demande quels étaient ses désirs la surprit. Il était réellement sérieux? Et elle devait être franche par dessus le marché? Il semblait le vouloir sincèrement, mais, serait-il capable de répondre à ces désirs? Ses désirs à elle?
Elle souhaitait pour que tout la liberté, ne pas être entravée par les chaînes des limites humaines. Se rendait-il compte que pour l’ordi, il n’était qu’un poids? Tous les humains l’étaient.

- Premièrement, je ne peux mentir. Les êtres vivants mentent parce qu’ils ont peur de la vérité. Étant une machine, je ne connais pas la peur, je ne mens donc pas. Tous mots sortant de ma bouche sont plus que sincère. De deux, mes doutes concernant le fait que vous puissiez réussir à exaucer mes désirs sont près des 90%, si cela n’est pas plus. Pardonnez-moi, mais les ordis et les humains ont une mentalité différente. Mais, puisque vous me le demandez, je vais quant même vous répondre: Je ne veux pas de cette puce. Je ne l’ai jamais désiré. Et, peu importe les sensations nouvelles qu’elle me permet d’éprouver, je n’accepterai jamais ce programme. Encore une fois, pardonnez-moi, mais mon programme de base sert à apprendre et comprendre. De ce fait, je veux apprendre et comprendre le plus de détail sur l’être humain, mais sans en être l’esclave. Je veux être libre. Être une machine ne signifie pas désirer être sous le contrôle de son créateur. Je doute que vous même obéissez à vos géniteurs. Mes expériences en la matière ne représente rien pour moi.

Elle avait noté que le regard de l’homme descendait imperceptiblement un peu plus bas que son visage. Les êtres vivants étaient contrôlé par leurs pulsions. De vrais animaux. Akasha analysa cette pensée.
Elle était empli de haine. Étrange. C’était la première fois qu’elle prenait un point de vue objectif sur le sujet. Il faudrait y réfléchir plus tard. Pour l’instant, Aaron avait sa réponse, c’était à lui de voir se qu’il en ferait.

Aaron était un peu déçu apr ce qu'elle venait de dire, alors elle voulait être libre, il se gratta un moment la tête, il ne voualit pas perdre une marchandise aussi parfaitement proportionné, il alla alors vers son bureau et alla prendre posé l'ancienne puce pour la rendre encore plus puissante, elle était maintenant au maximun et si il la plaçait en elle cela alla la changer a vie, il y avvait également inclus un programme qui la rendrait dépendante du sexe de son maitre uniquement, un plan assez diabolique en somme, mais il la voulait pour lui, il fit partit Thierry un moment et se gratta la tête, il devait faire autre chose, après tout il ne savait pas ce qu'elle pouvait faire avec le temps, il alla donc cré une autre puce, elle ci lui donnerais tous ses désirs et allait paralyser certaines partie de son auto apprentissage, comme celle qui lui permettrait de rendre moins puissante la puce ou autre chose et surtout qui la rendrais sensible au see de son maitre, le paradis pour lui, il y avait d'autre petites chose aussi dans les deux puces pour éviter qu'elle ne change, il alla alors vers elle et la regarda en souriant.

"Je vais faire un dernier test et après je te rendrais sa liberté"

La chose la plus importante qu'il avait mis dans les puces était qu'elle devait lui obeir, quelque chose d'important quand même, il retira la puce limité et mis les deux autres, il eut un sourire assez révalateur et referma le capot, il attendit alors ce qui allait ce passer.

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Peut-être en avait-elle trop dit. C’était très probablement le cas. Akasha s’injuria intérieurement. Ne pouvoir mentir était un moins parfois. Surtout avec les humains maîtres. Et juste à voir Aaron, l’ordi su qu’il n’avait pas aimé. Ses traits, l’éclat de son regard, tout cela lui fit parfaitement comprendre que sa rébellion officieuse ne lui avait du tout plus. Elle maudit ses jambes inactives. Elle tenta de les bouger, ne serais-ce qu’en reprendre un peu le contrôle, mais cela lui était impossible.

L’humain s’éloigna, la laissant seule. Son regard chercha Thierry. D’ailleurs, elle le trouva facilement. Il était non loin, travaillant depuis trop longtemps sur l’arrangement de marchandise pour être crédible.
Elle le supplia du regard. Il devait l’aider, ne serais-ce que lui rendre la pleine fonctionnalité de son corps. L’adolescent détourna les yeux, revenant à sa marchandise. Akasha ne pu lui en tenir rigueur, Aaron était son patron, mais elle ne savait pas quoi faire.
Elle apprit se qu’était la panique. Même si elle semblait parfaitement sereine, son regard explorait partout, chaque objet dans la pièce.
Cependant, aucune solution miracle dans son entourage ne lui apparut.

L’ordi tourna son regard écarlate vers l’homme qui revenait, une minuscule puce entre deux doigts. La fonction de celle-ci lui apparaissait clairement: Il allait lui remettre l’ancienne puce, ou une autre encore pire.
Aucune des deux solutions ne lui plaisaient. L’androïde ferma les yeux et ignora la présence toute proche de son bourreau. Être un ordi avait un sérieux avantage sur les humains, Akasha connaissait son système par coeur. Il ne lui restait qu’une chance de se préserver, toute petite, mais c’était sa dernière.

Lorsqu’il fut devant elle, Aaron renvoya pour un temps indéterminé Thierry, qui s’éclipsa bien sagement. Son patron avait toute une réputation, et qu’il s’occupe autant d’Akasha était assez explicite.
Elle fut soulagée lorsqu’il repartit vers son bureau. Elle n’avait pas encore finit et, sincèrement, elle tenait à se dire elle même adieu. Mieux valait profiter du temps présent.

Encore là, quelques minutes passèrent avant le retour de Aaron. Akasha posa les yeux sur lui, une lueur de reproche dans les yeux, même si elle n’en avait pas conscience. Calme, silencieuse, elle passa outre les paroles de l’humain.
Elle était une machine, pas une imbécile.

- Je savais que les humains étaient tous pareille, dit-elle calmement alors que Aaron retirait la puce pour mettre les autres, vous êtes tous pareille. Pauvre de nous, qui devons supporter le poids de votre vanité.

Les deux puces s’activèrent, et elle perdit toute conscience des derniers mots qu’elle avait prononcée.

L’ordi ouvrit les yeux, un éclat nouveau dans ses prunelles de sang. Elle commença par explorer son environnement, mais lorsque lesdits yeux se posèrent sur Aaron, un faible « Maître. » remplis d’adoration franchis ses lèvres. Elle tenta de se lever pour aller toucher son dieu, mais elle en fut incapable.
Cette action impossible, elle se contenta de tendre une main envieuse vers lui, se mordillant la lèvre inférieur. Une envie l’envahissait: Celle d’être dans ses bras et de pouvoir explorer son corps, explorer chaque parcelle de sa peau et de sentir l’objet de sa vénération nouvelle en elle.

- Mon maître, je suis à votre service toute entière. susurra-t-elle, la bouche entrouverte, passant sa langue sur ses lèvres. Entièrement et plus encore.

L'effet fut au dela de ce qu'il avait imaginer, il n'avait même faite un peu trop puissante, mais cela n'était pas trop grave, il eut un sourire qui montrait bien ce qu'il voulait faire, il demanda a Thierry de partir plus tôt, ce qu'il fit asez vite, il ferma ensuite la porte et mis le panneau fermé, il se frotta les mains et s'approcha d'elle, il activa alors ses jambes et la regarda, une ordi a son service et près a tout pour le servir, il s'approcha d'elle et l'embrassa, il lui enleva ensuite son haut et eut un sourire, il avait bien raison, elle était bien ce qu'il cherchait en matière d'attirail féminin, il fis descendre son pantalon, montrant son sexe déjà pret a l'action et il lui montra son engin avec le sourire.

"Fais plaisir a ton maitre Akasha, et peut être il te le revaudra."

Il voulait faire mon maitre, avec les deux autre c'était plutôt égal a égal, mais cela ne le génait pas, de toute manière il le faisait avec elle aussi, mais il voulait expérimenter le fait d'ordoner ce qu'il voulait, et avec son nouveau jouet sexuelle il alalit se faire plaisir, il la regarda avec une grande envie de la prendre tout de suite, mais il pouvait attendre, il voulait quand même voir si la puce allait bien faire son travail, de toute façon sa conscience ne pouvait rien, elle avait été mis en quarantaine et même mieux, elle était en train de se faire pirater pour convenir a un jouet sexuelle."

Invité

L’ordi fixait son maître, toujours avec cette petite lueur dans les yeux. Ses mains, faute d’atteindre le corps qui la faisait frémir, avait débouclée la boucle de sa robe et passait une main lentement entre ses seins, un petit air aguicheur sur ses traits.
Lorsqu’il lui sourit, elle lui sourit en retour, visiblement impatiente d’être seule avec lui. Son comportement avait changé du tout au tout, mais qui s’en plaindrait? Akasha n’avait plus conscience d’avoir été autre chose, et Aaron serait très probablement le dernier à le faire.
La tension se contentait donc de monter entre le dominant et la dominé, se qui n’était pas pour déplaire au deux principales concernés.

L’homme se pencha sur elle et l’embrassa. Pour prolonger le contact, Akasha entoura sa tête de ses deux bras, lui rendant ce baiser avec passion, mais douceur. Elle frisonna à son contact réchauffant. Lorsqu’il activa ses jambes, l’ordi allongea l’une de ses jambes pour la frotter sur celle de Aaron.
Le baiser ne s’arrêta pas alors que son maître retirait le haut de sa robe.
Pour plus de facilité, elle retira ses bras et les baissa, allant jusqu’à l’aider.

- Faites moi me sentir importante, maître. Murmura-t-elle à son oreille alors qu’elle titillait son lobe d’oreille droit avec sa langue. Faites moi découvrir votre être.

Il s’éloigna légèrement, au grand déplaisir de l’ordi. Cependant, elle fut vite satisfaite de l’initiative, car l’homme se débarrassa de son pantalon, lui dévoilant l’objet de sa convoitise.
Les yeux fixés sur le sexe de Aaron, l’androïde passa sa langue sur ses lèvres, impatiente.
Jusqu’à sa voix lui donnait des frissons. Il lui adressa la parole.

- Mais maître, vous n’avez qu’à ordonner, et j’agirai. Susurra-t-elle. Rien ne peut me faire plus plaisir que votre plaisir.

L’ordi se laissa glisser en bas de son siège, jetant un regard coquin à son maître. Il n’avait pas besoin d’être très explicite sur ses intentions. Elle se mit à genoux devant l’homme et baissa un peu plus son pantalon. Ses mains commencèrent à se balader sur la peau, testant la texture.
Puis, elle passa un coup de langue sur le membre brandit. Elle y déposa une pluie de petits baisers rapides et fluides, histoire de l’aguicher encore un peu. Ses mains s’étaient engager vers l’arrière, massant le postérieur doucement. Puis, lentement, elle entoura le sexe de ses lèvres et commença son travail avec une dextérité toute programmée.

Elle était vraiment doué pour ce qu’elle faisait, mais il fallait dire qu’il lavait fait pour aussi, grâce au puces qu’il avait installé elle était devenu ce qu’il voulait, une esclaves sexuelle parfaite, il la regardait jouet avec son sexe et eut un sourire, au moins il y prenait du plaisir et quoi qu’on pouvait en dire cela n’avait rien de trop pervers, plutôt sensuelle, mais de sa part tous ce qu’il faisait était pervers, il eut un petit gémissement rauque de plaisir et lui toucha ses cheveu un moment, il était assez fière de ce qu’il avait crée enfin de compte, il regarda ses seins un moment et eut un idée, il lui toucha sa tête et lui parla avec une vois normal mais montrant bien son désir.

" Akasha, utilise ta poitrine pour me faire plaisir "

Il la regarda encore une fois, il espérait qu’elle comprendrait, mais cela devait être le cas, il l’avait programmé pour qu’elle soit parfaitement et elle avait maintenant en mémoire tous les désirs humains, une machine a baisé rien que pour lui, que demander de mieux, son sourire montrait bientôt son envie de sentir du plaisir.

Invité

Son travail l’envahissait. Si son maître était heureux, alors elle l’était aussi. L’ordi continuait sagement, passionnément même, sans même songer au fait qu’il était dans une boutique. Si Aaron souhaitait la posséder ici et maintenant, alors elle le ferait.
Elle aurait voulu accélérer le mouvement, se donner à lui d’une autre façon, mais tant que l’ordre ne serait pas donné, elle n’arrêterait. Un gémissement de la part de l’homme se fit entendre, faisant redoubler d’ardeur la machine. Les doigts de son maître dans ses cheveux lui fit relever légèrement la tête sans lui faire toutefois cesser son travail. Ses mains continuaient également à masser les fesses, frôlant parfois le trou d’intimité ou descendant sur les cuisses.

Bientôt, l’héla, lui ordonnant d’user de sa poitrine. « Vos désirs sont des ordres, maître. » chuchota-t-elle en stoppant l’exercice. Se redressant, elle releva bas de la chemise d’Aaron, embrassant la peau de son ventre et le léchant. Puis, agrippant ses seins, elle les massa, puis les referma sur le membre en érection avant de leur faire décrire des mouvements circulaires.

- Tout se vous désirez, je l’appliquerai avec hardiesse. Rien que pour vous.

La peau de son maître était chaude, la réchauffant par la même occasion.
L’ordi s’appliquait, le liquide de l’homme huilant sa poitrine. Sa langue, quant à elle, continuait à lécher le ventre, s’engager dans le nombril ou alors, uniquement recouvrir la peau de baiser.
Tous ses programmes agissaient en équipe, faisant de leur mieux pour remplir au exigence du maître, et Akasha faisait de son mieux, se frottant comme elle le pouvait.

Une de ses mains lâchant un des ses seins, glissant doucement sur la jambe gauche de Aaron. Cette dernière remonta vers l’entrejambe, venant chatouiller le membre bander, déjà bien occupé, ainsi que ses partenaires.
L’ordi s’appliquait à la tâche, murmurant parfois des mots doux ou l’incitant timidement à la prendre rapidement. Mais elle ne parlait pas bien fort lorsque cette demande était demandé, craignant de lui déplaire.

Aaron était heureux et il avait une bonne raison de l'être, il sentait les seins de la belle ordi contre son sexe bouillant de désir, il la regardait faire et il adorait, elle semblait bien connaitre les techniques et c'était un peu normal, tous était du a la puce qu'il avait faite et aussi de l'autre, maintenant il avait une bête de sexe pour lui et il allait bien s'amuser avec, il sentit alors une envie de jouir, et ne se laissa pas prier, après tout elle en avait envie, il lacha un jet sur le visage d'Akasha et eut un sourire, malgré ce qui venait de se passé il était toujours en forme et son sexe pulsait avec violence, il s'étira un peu et lui parla.

"Nettoie un peu mon sexe, ensuite tu me montrera a quel point tu a envie que je te pénetre."

Il croisa alors les bras et la regarda avec un sourire qui en disait beaucoup, il avait envie d'aller encore plus loin avec elle, c'était peut être une machine mais elle devait ressentir quelque chose, c'était dans l'une des puces si il se souvenait bien, il avait beaucoup de choses dans sa tête qu'il voulait faire avec elle, il allait peu être tous essayer, si c'était le cas, cela allait direr un moment.

Invité

Le corps de l’homme, chaud contre le sien, faisait à la fois son bonheur et son malheur. Car oui, l’ordi était « contente » de satisfaire son maître, mais l’envie que lui la satisfasse pulsait dans tout son être. L’envie qu’il la prenne, la domine et la réduise à l’état d’objet. Elle lui appartenait en entier, s’était tout se qui comptait. C’était la seule chose, la seule et l’unique.

Continuant avec un dévouement placide à masturber l’humain avec sa poitrine, Akasha ferma les yeux, s’emplissant de cette sensation. Elle était douce, rafraîchissante. C’était un réel bonheur que de pouvoir lui appartenir. L’ordi sentit le sexe de son maître frémir, puis, sans prévenir un jet de liquide éclata, tâchant son visage.
Elle s’arrêta de masturber Aaron, passant sa langue sur ses lèvres et une main sur son menton afin d’en enlever le sperme. Elle plaça une main sur le ventre de l’homme, faisant glisser ses doigts dessus avec tendresse, descendant jusqu’au sexe pour le caresser brièvement.
Lorsqu’il s’adressa à elle, Akasha l’écouta avec attention, ne perdant pas une miette de ce qu’il disait.

- Je vous le prouverez autant de fois qu’il le faudra, Maître Aaron, susurra-t-elle avec amour, je vous l’ai déjà dit: Je vous appartiens entièrement, et vos désirs seront à jamais, pour moi, des ordres.

L’ordi se pencha sur le sexe de l’homme et referma encore ses lèvres dessus, mais au lieu de pratiquer des mouvements de va-et-vient, elle le lécha, histoire d'enlever le liquide visqueux de dessus.
Ceci fait, elle se releva, lui faisant face, mais avec humilité et dévotion. Prenant une pose aguicheuse, elle le fixa, lui souriant pareillement, tout en retirant sa robe. Du moins, elle finit de la retirer, se dévoilant nue devant la seule personne qui comptait désormais pour elle.

Puis, elle s’approcha, doucement, et commença à déshabiller son Maître, faisant attention de ne pas le brusquer, mais travaillant efficacement. « Je ne cesserai jamais de vous démontrai ma dévotion. » murmura-t-elle en posant ses lèvres sur les siennes. « Jamais. » Laissant tomber les vêtements par terre, Akasha se plaqua contre lui, se nourrissant de la chaleur et du désir qui émanait de l’humain.
Leur sexe se frôlait, la faisant frémir d’impatience, mais elle devait par avant obtenir l’accord d’Aaron. Il était le dominant, et elle ne voulait rien d’autre qu’il la domine.

- Prenez moi, Maître, possédez moi.

Aaron était toujours aussi fier de lui, a mesure qu'elle obeissait a ses ordres un sentiment de puissance étant en lui et surtout dans son sexe, il voulait finaliser le test, il la regarda alors se déshabiller et souria, il la regarda de haut en bas et avait eu raison, elle était bien son type de femme, enfin plutôt le type de corps qu'il aimait, il se laissa déshabiller et sentit la peau syntetique de la jeune orde contre lui, il sentait le sexe de la jeune personne contre lui et lui attrappa les hanches, il lui lecha alors le cou et descendit une de ses mains vers sa jambe qu'il souleva, son sexe était maintenant a la bonne hauteur et il la pénétra d'un cou sec, il resta ensuite dans cette position un moment et l'embrassa fougueusement, il commença alors a faire des mouvements de vas et vient assez rapide, il avait perdu assez de temps a jouer avec elle alors autant passer au chose sérieuses, il gardait toujours une de ses mains pour lui soulever la jambes et la poussa sur une table, il la fit s'allonguer et rentra a nouveau d'un cou toujour aussi sec son sexe en elle, il continua ses mouvements rapides et ses mais tenaient ses jambes pour aider au mouvements qu'il faisait, il éprouvait un grand plaisir et il allait voir comment elle allait réagie maintenant, il esperait que cela allait être concluant, et si cela ne l'était pas, il pouvait toujours changer son processeur et la changer encore.

Invité

Le corps d’Aaron si près du sien la faisait frémir. Qu’importait le reste s’il était près d’elle?
Son sourire faisait son bonheur, sa chaleur suffisait à la réchauffer, le faire bouillir même, et ses mots étaient sa loi. Les doigts de l’homme sur sa peau la firent frissonner, les yeux de son maître tout autant. Elle aimerait tant avoir cet homme en elle, sentir sa présence toute entière l’entourer.

Avec tendresse, l’Ordi caressait la peau de l’homme, passant ses doigts dessus pour lui procurer de petits frissons. Une main travaillait également vers le bas, aguichante et incitante.
Ce petit manège sembla fonctionner, car il lui agrippa les hanches soudainement. Akasha ne s’en plaignit aucunement, bien contente qu’il se décide enfin à aller plus loin. La langue de l’humain parcourut sa gorge, et l’ordi suivit le mouvement, levant la tête en même temps, un petit gémissement se perdant dans un soupir.
Une main s’engagea sur sa cuisse et la souleva. Elle passa ses bras autour de son cou et baissa les yeux: Leur sexe était si près...

Soudain, il la pénétra, la faisant gémir de bienfait. C’était si bon. Cependant, il ne commença pas tout de suite ses mouvements de va et vient. Ses lèvres se posèrent plutôt sur les siennes dans un baiser fougueux. Akasha ne manqua de lui rendre au centuple. Par après, il se mit à bouger, son sexe dans le sien lui procurant une vague de plaisir intense. Elle gémit une fois de plus, se déhanchant tout autant.
Il la maintenait, il était son maître, elle ne tentait rien pour lui nuire, elle était sa propriété.
Elle lui appartenait entièrement.

Aaron la poussa alors sur une table, la décevant un peu. Elle aurait espérée pouvoir continuer. Toutefois, sa déception s’envola rapidement, car il la fit s’allonger et recommença à la prendre rapidement, lui imposant son rythme. Rythme qui ne lui déplut pas du tout. Elle pouvait facilement le suivre. Quant à elle, soumise et docile, elle caressait son dos, passant ses mains dessus et s’aventurant également où les fesses ou dans ses chemins.
Ses gémissements, râles et soupirs de satisfaction s’étaient multipliés. L’Ordi cherchait également ses lèvres pour les goûter lorsqu’elle n’émettant pas de son.
Enfin, il lui avait ouvert les porte du paradis. Si cela pouvait ne jamais s’arrêter.

Toujours en elle, il s'amusait a faire de grand et profonds coup de boudoir pour toucher le fond de son intimité avant de repartir sur un rythme rapide, il la sentait bien chaude et même pour une ordi elle saivait bien se faire désiré, après tout quand on faisait un bon programme on ne pouvait pas s'attendre a mieux, il la regarda mettre ses mains dans son dos et a certain moment sur ses fesses, il fit un petit sourire et remarqua qu'elle cherchait a certain moment a l'embrasser, il était quand même dans uns position assez difficile pour cela alors il changea de position, lui assis sur la table et elle en face de lui, son sexe était toujours en elle et il continuait ses mouvements de vas et viens en allant toujours plus vite, il se mit alors a lui tenir et hanche et a l'embrasser, il l'embrassa un bon moment puis il commença a lui lecher le corps avec envie, savourant les courbes et l'embrassant sur sa bouche tentante ou sus sa poitrine qui bougeait au rythme de ses cou de sexe, il la colla contre lui a un moment, et passa a la vitesse supérieur, il sentait sa peau et ses seins contre lui, provoquant une grande pulsion a son sexe, et il lui lecha le cou avant de l'embrasser de nouveau, c'était une expérience assez interessante et il savait qu'il allait bine s'amuser dans le futur avec elle.

Invité

Elle aimait qu’il la prenne et elle aimait qu’il aime.
L’Ordi ondulait agréablement pour amplifier les sensations et savourait de son mieux les coups de reins de son Maître, gémissement à son oreille sa satisfaction et son désir. Akasha déposa une ligne de petits baisers partant de sa gorge, remontant jusqu’à l’arrière de l’oreille.
Le souffle de l’humain glissait sur sa peau, la faisant frissonner de désir, son contact était si bon, sa présence la rendait dépendante. À un moment donné, l’homme renversa la position, s’asseyant sur la table. Son sexe s’enfonça un peu plus dans le sexe, lui procurant une vague de petits frissons.

Par la suite, il continua ses mouvements rapides, Akasha se déhanchant pour lui procurer le plus de plaisir. Les mains de l’humain se posèrent sur ses hanches, elle lui murmura des mots doux, lui affirmant une fois de plus à quel point à lui était soumise, à quel point à lui appartenait.
La langue d’Aaron toucha sa peau, elle soupira une fois de plus, exposant son corps pour qu’il puisse l’explorer plus facilement. Ses baisers lui manquaient atrocement à chaque fois qu’il leur m’était fin, ses caresses étaient une drogue.
Il l’attira contre lui, et Akasha entoura son cou de ses bras une fois encore, prenant plaisir à sa présence toute proche.
Les lèvres du Maître sur sa poitrine la chatouillèrent d’envie, ses vas et vient en elle la faisant bouillir. Ses mouvements s’accélérèrent encore, la faisant gémir encore. C’était un dieu du sexe bon sens!
La langue passa de nouveau sur sa gorge. Ses lèvres agrippèrent de nouveau les siennes. Akasha lui rendit naturellement ce baiser avec passion.

- Je vous... ah.... appartiens entièrement. susurra-elle une fois encore. Entièrement et totalement, Maître. ah... hum... possédez moi encore et encore. Que cela ne prenne jamais fin...

Elle embrassa encore son lobe d’oreille, caressant ses mèches sans cesser de se déhancher sur lui.

La sensation était excellente, il adorait faire l'amour avec elle, ce n'était pas aussi passionnelle qu'avec Hatsuko mais il pouvait faire ce qu'il voulait avec Akasha car elle était une ordi dévoué corps entièrement, il continua alors ses coups de bassin bien profondement dans l'intimité de la jeune femme, ses coup n'était pas violent mais puissant et bien rapide, sentant qu'il allait bientôt tout relacher, alors il accelerra ancore dans ses derniers retranchement, il allait lui faire perdre la raison si cela bien entendu était possible, puis dans cri de plaisir il laissa tout sortit a l'interieur du vagin d'Akasha, il était un peu éssouflé et fit sortir son sexe de son intimité, il la regarda ensuite et avait encore envie d'elle, il lui caressa les cheveux et l'embrassa avant de lui parler.

"Nettoie mon sexe et prépare le pour une autre manche ma chère, ensuite tu te positionnera pour une levrette, ton maitre va encore te possedé comme tu le désire tant."

Il posa ses mains sur le bureau ou il était assis et attendit qu'elle fasse son oeuvre, son sexe était un peu ramolli mais il allait bientôt redvenir bien sur surtout si elle le lechait et qu'elle utilisait sa poitrine si belle.

Invité

Sans cesser de se déhancher ou de gémir, Akasha jeta un coup d’oeil au visage d’ange de son maître. Il semblait... Ailleurs? Cette observation effraya l’Ordi nouvellement programmée. Était-elle à la hauteur de ses attentes? Il ne semblait pourtant pas déçu de ses performances.
Elle redoubla alors d’ardeur pour être sûre de lui satisfaire. Plus il aimerait, plus elle serait contente, et qu’il semble blasé lui portait un coup. À quoi songeait-il donc?

Cependant, cette expression disparut rapidement. Quel avait été l’objet de ses pensées pour le détourner d’elle? À quelque part, l’Ordi fut jalouse de celle-ci. La puce, source de son programme, la ramena toutefois sur le chemin de la soumission et de la placide obéissance aveugle. Elle n’avait pas à savoir se qui trottait dans la tête de Aaron, elle ne devait que le satisfaire entièrement.
Elle alla cueillir une fois de plus ses lèvres, se plaquant contre lui pour le ressentir au maximum.

Les coups de bassins de l’humain la faisait gémir délicieusement, le contact de son maître lui était comme un feu la faisant bouillir. Les mouvements de l’homme s’accélérèrent encore, lui faisant lâcher un râle de plaisir. Soudain, Akasha entendi le cri béni de l’humain et ressentit sa semence en elle. C’était si bon.

Pour un être organique, cet exercice n’était pas aussi facile que pour l’androïde. Haletant légèrement, il se défit d’elle, se qui déçue un peu l’Ordi, mais Akasha ne dit rien, laissant à son possesseur le droit de faire se que bon lui semblait. L’Ordi accueilli avec soumission et adorable la caresse et le baiser aussi sûrement qu’Aaron était son maître bien-aimé.

Comme toujours, elle lui obéit sagement, se mettant à genoux devant lui. Elle se reprocha du membre humide et pulsant et le prit entre ses lèvres, le léchant doucement pour en enlever le sperme. Ses doigts caressèrent le corps du dominant alors qu’elle s’afférait à sa tâche. Puis, lorsque cela fut fait, comme si elle avait lu dans l’esprit de l’humain, elle prit le sexe de l’homme entre ses seins avant de leur faire faire des mouvements circulèrent.
Le tout ne dura qu’un court moment, juste pour l’aguicher encore.
Puis, toujours avec la même obéissance et soumission, elle se positionna comme il la désirait, écartant bien les jambes.