Libéré(e) ? Oui
Nom : Lun’Argent
Prénom : Sorrel
Âge : 27 ans
Sexe : Féminin
Sexualité : Hétéro
Modifications : Oreilles pointues, une paire d’ailes de libellule cristallines, ses os sont creux, ce qui lui permet de voler.
Histoire :
« Il n'avait pas de gîte, pas de pain, pas de feu, pas d'amour ; mais il était joyeux parce qu'il était libre. »
Contrairement à beaucoup, Sorrel naquit dans une famille d’hybrides aisé financièrement et loin de l’oppression des humains à leur encontre. Habitant en retrait d’un petit village de campagne, les Lun’Argent n’était pas spécialement aimé de la population en général, mais on les laissait vivre en paix, car ils ne faisaient pas de mal et ne cherchaient pas les problèmes. La petite famille était composé respectivement de Sorrel, notre héros, Stefan, son frère plus vieux de quelques années, sa mère, Sana, et de son père, Silver.
Sana Lun’Argent, secrétaire, et Silver Lun’Argent, simple livreur, faisait particulièrement attention à ne pas s’attirer les foudres des villageois. Ils étaient des citoyens exemplaires, très impliqués et serviables.
À cette époque, Sorrel n’avait que douze ans. Petite fille sans histoire, elle s’amusait le plus clair de son temps avec son frère. Ils restaient la majeur partie du temps chez eux, s’occupant sans se mêler aux autres enfants de leur âge. Leur différence physique ne les aidait pas du tout à s’en faire...
Arriva un jour une famille de milliardaire venue passer une semaine de vacance dans les environs. Les parents de Sorrel mirent en garde leurs enfants. Ces personnes venaient d’Olphéra, une ville où l’esclavage des gens de leur race étaient permis, encouragée même. Résultat, même si aller faire leur connaissance était tentante, hors de question de les approcher. Ces personnes, pour avoir un nouvel esclave, était prêt à tout, même chasser et enlever les enfants qui ne faisaient pas attention.
Même à cette époque, Sorrel était... Comment dire? Téméraire? C’est pourquoi elle alla outre les instructions de sa mère et, un moment où son frère, plus prudent, était ailleurs, en profita pour faire la connaissance du fils de la famille.
S’était un jeune garçon à l’allure noble, peut-être un peu trop hautain et sombre, mais lorsqu’il la vit, aucun expression de dégoût ou de peur traversa son visage, qu’une petite lueur de curiosité.
Sorrel et lui se lièrent d’amitié rapidement. L’humain ne semblait pas du tout porté sur l’esclavagisme. Il lui parlait de tout et rien, s’amusait avec elle et, surtout, ne la jugeait pas sur la longueur de ses oreilles ou son sang.
Il repartit à la fin de la semaine, au grand chagrin de Sorrel.
Toutefois, l’année d’après, il revint. Et l’année d’après aussi. Et l’année suivante.
L’hybride en était d’ailleurs tombée amoureuse. Cet époque de l’année était bien la plus attendue pour la jeune fille, maintenant une bien jolie adolescente.
L’année de ses quinze ans, l’adolescente avoua ses sentiments à l’humain, qui y répondit par le positif. Ils devinrent rapidement amants, se voyant en cachette pour assouvir leurs jeux de luxure.
Cependant, à la fin de cette semaine, alors qu’il s’en allait de nouveau, une chose inhabituelle se produisit: Alors que la jeune adolescente retrouvait son bien aimé à leur point de rendez-vous depuis des années, elle fut arrêté par de solide gaillard qui la capturèrent, l’attachèrent, lui bandèrent les yeux et l’apportèrent avec eux.
Lorsqu’on la délivra enfin, elle se trouvait dans la pièce la plus belle qu’elle est jamais vue. Tous devaient coûter atrocement cher. Toutefois, la beauté de l’endroit fut refroidi rapidement, alors qu’elle comprenait l’horreur de sa situation. Elle avait été attrapée comme un vulgaire animal! Et maintenant, que devenait-elle? Elle voulait voir sa famille, demander pardon à sa mère pour la stupidité de son comportement.
La personne qui entra dans la pièce finit de lui briser le coeur. Celui qu’elle avait crut aimer et être aimer en retour était maintenant devant elle, son petit air supérieur sur ses traits. « Tu m’appartiens désormais. Idiote chose inférieure. Tu es mon esclave. »
Elle se résigna. Ignorante de l’endroit où elle se trouvait, incapable de réagir à sa nouvelle situation et réduite à l’état de simple objet sexuel, l’hybride ne restera pas longtemps dans cet état.
Quelques semaines à peine après son arrivé, toutefois, elle tomba malade. Le diagnostique rendue, cependant, l’étonna. Elle était tombé enceinte. L’identité du père n’était pas très compliqué à deviner. Son maître était la seule personne à l’avoir jamais touchée.
Elle n’attendit toutefois pas qu’il prenne un décision concernant son enfant. Même si cette petite vie n’était encore rien, Sorrel l’aima déjà. Son enfant serait peut-être le fruit d’un amour illusoire, mais elle s’en occuperait de tout son coeur.
Elle s’enfuit quelques jours plus tard sans prendre la peine de réfléchir.
Le bébé ne pourrait jamais avoir une vie convenable s’il naissait au milieu de ce monde. Il avait redonné à la jeune mère une raison de se battre pour son indépendance. Elle devait s’enfuir et vivre libre pour son enfant.
L’hybride fut retrouvée par un groupe de libéré qui la protégèrent.
Elle donna naissance à sa fille quelques mois plus tard et resta avec le groupe, les aidant du mieux qu’elle le pouvait ses nouveaux alliés.
Onze années passèrent jusqu’à aujourd’hui.
Physique :
La première qualité que l’on peut associer à Sorrel est belle. Élégante et gracieuse, l’hybride aurait plus sa place dans un palais que dans un camp de réfugiés. Son corps est souple et flexible. Ses membres sont fins et longilignes. Son visage aux traits d’adulte adopte un ovale doux, parfait. De minces boucles blondes encadre ce visage d’ange, soulignant la beauté de la jeune femme. Ses yeux, opalescent, son d’un doux émeraude où il y manquerait cependant une lueur de joie. Ils sont souvent vide, ou emplie d’une tristesse issu d’un passé bien longtemps. Le teint de sa peau est très pâle, légèrement rosée pour tout dire. Elle est un véritable poids plume. Ses os creux jouant beaucoup sur la donne. Cependant, elle reste bien proportionnée, possédant des courbes appétissantes et très enviables. Le premier signe de son hybridation est sans conteste ses oreilles, longues et fines comme les elfes. Également, une paire d’ailes de libellules, comme les fées, ornent son dos. Transparentes avec des allures de verres colorés, elles laissent passer la lumière, créant des jeux de lumière multicolores sur le sol. L’hybride peut les pliés pour qu’elles tombent dans son dos comme du tissus. Habituellement, elles seront camouflées sous un vêtement long léger pour ne pas les abîmer.
Mental :
Aux premiers abords, Sorrel pourrait sembler froide et distante. Autaine même. Se qui n’est pas totalement faut d’ailleurs. Préférant gardé ses distances avec les autres, la jeune hybride garde constamment un visage fermé et impassible, comme si elle ne possédait aucun sentiment. Calme et fière, elle n’est pas le type de personne qui s’énerve facilement. Cependant, ses colères font peur. Non pas parce qu’elle s’énerve, mais parce que sa froideur en est renforcé. C’est dans ces moments que l’expression « Si un regard pouvait tuer... » prend tout son sens. Son pire défaut, si on omet son asociabilité, doit être ce réflexe de tout garder en elle. Que quelque chose lui fasse plaisir et la blesse profondément, Sorrel gardera toujours un calme placide, n’en disant rien, jusqu’à se que ses émotions débordent. La seule personne qui peut prétendre à un sourire doux et aimant de sa part est sa fille, petit soleil dans sa vie et également se pour quoi elle se bat au côté des libérés. Son amour n’a dégal que les sacrifices qu’elle est prête à accomplir pour cette enfant, même s’il faut en mourir. Sa volonté est d’acier et son bras est une main de fer dans un gant de velours.
Liens : Elle a une fille de 11 ans appelée Sofia. Ainsi qu'un frère dénommé Stefan.
Autre : http://manganotenshiv1.free.fr/images/filles/222.jpg
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