On ne choisi jamais notre destiné... [PV Aaron]

Invité

Tard ce soir-ci, la jeune femme était encore planqué dans cette réserve, où il y avait nombreux jeunes hommes et jeunes femmes eslaves comme elle, dévoués à obéir toute leur vie, jusqu'à leur mort. Mais comme Katrina, il arrivait que certain était rebel, qui se foutait pas mal de tout c'est maîtres. Certain avait même le dessus sur leur maître, leur donnant des ordres. C'est ce qu'elle adorait le plus; contrôle total envers ces maîtres. Quelques uns arrivaient à avoir le dessus sur la jeune femme, mais la plus part y passait, leur corps remplit de sang, à motié mort sur leur plancher vernis, criant ou la supliant d'arrêter. Elle avait eue une enfance tellement malheureuse, qu'elle c'était forgée un caractère dur et ainsi, elle était improchable et ne pouvait aimer qui que se soit. Si quelqu'un voulait abuser d'elle, jamais elle ne se laissait faire...

La nuit allait bientôt arriver, le magasin allait lui aussi fermer ses portes d'ici quelques minutes pour le réouvrir le jour d'après. Le temps de ranger les jouets de tortures pour eslaves en vente et compter sa caisse de nouveau, le gérant fit un tour dans l'allée pour vérifier si tout était correct. Lorsque la jeune femme le vit passer, elle lui demanda d'approcher en le sifflant. Insulté, l'homme arriva avec un pas lourd vers elle pour lui dire d'arrêter mais Katrina euele temps de passerses bras entre les barreaux pour prendre l'homme par le cou. Elle laissa le temps s'écouler, pour avoir la chance de le tuer. Mais lorsqu'il allait enfin s'éteindre, elle entendit la porte s'ouvrir. Les pas avançait vers eux. Lorsqu'elle vut le charmant jeune homme, elle lâcha prise du pauvre vendeur pour le laisser tomber au sol. Il toussa de toutes ses forces pour reprendreson souffle. Lorsqu'il se remit debout, il recula de la prison de fer et dit dans un courtsouffle:

''Jamais je ne lui trouvera un foyer... La pauvre.''

Katrina fit volte-face pour aller s'asseoir par terre, adossé contre le mur de béton. Le sol étant un peu gelé, elle s'en fichait pas mal. Mais que pouvait bien faireun beau jeune homme ici, à ette heure de fermeture? Sûrement repartirait-il avec un ou une charmante eslave bien sage. Pendant ce temps, Kat attendait adossée, le temps que l'homme fasse son achat et qu'il parte avec sa chose qui lui servirait d'esclave.

Aaron marchait doucemet dans les rues d'Olphera, il avait le sourire sur les levres et beaucoup de femmes semblait le suivre, il savait bien sur ce qui se passait et cela faisait partit de sa petite manigence, qui sait il pourrait peut être en vendre une ou deux a un marchand d'esclave, il s'étira un peu et fit un clin d'oeil derrière lui, les jeunes femmes en tombèrent a la renverse, il se retint de rire et marcha un peu plus vite pour finalement les semer, il se mit alors a rire, cela était si amusant qu'il ne pouvait s'en empecher, il regarda ou il se trouvait et vit qu'il était a son endroit favori, la réserve d'esclave, son sourire s'aggrandit et il entra a l'interieur.

Quand il fuit dedans, il vit alors une scene assez peu banal, une esclave qui était au gout de Aaron était en train d'étrangler le marchand, il eut un petit rire et s'approcha un peu, il remarqua alors qu'elle lacha prise, il était un peu décu, c'était dommage elle était si bien partit, il s'en fichait pas mal du vendeur, il le regarda alors un moment et bailla un peu, le vendeur lui reconnu tous de suite la personne et s'inclina plusieur fois.

"Darken-sama, que me vaut l'honneur..."

"C'est simple, je veux la belle jeune femme qui vient de vous étrangler."

"Mais Darken-sama..."

"Je n'aime pas qu'on discute mes paroles...."

Le vendeur surtauta et donna les clefs de la cage, Aaron paya bien sur et il ouvrit la cage, il tappota ensuite sur un mur et lui fit un sourire qui semblait assez particulier.

"Tu est a moi maintenant, Aaron Drken est mon nom, on verra plus tard pour le reste, suis moi c'est tout ce que je te demande."

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Restant dans son coin patétique, la jeune femme se leva en voyant celui-ci lui ouvrir la porte. Elle resta avec un visage peu convaincant. Le vendeur avait l'air plutôt bizarre lorsqu'il lui parlait. Peut-être était-il reconnu dans cette ville? Bien entendu, il avait l'air charmant. Sexy et craquant.

''Vous m'avez l'air bien sur de vous mon cher. À votre place, je ne m'achèterais même pas, vous aller vous décourager.''

Sur ce, la jeune femme fit demi tour sur elle-même et elle regarda devant elle tout en se dirigeant vers le lit peu confortable d'on elle avait possession. Pendant un cours instant, elle eue une vague de sentiments qui submerga son corps en entier. Était-ce de l'attirance? Était-ce de l'amour? Non... Ce ne pouvait être rien de cela. Sur ce, elle resta sur le lit, étendue et elle attendait que le jeune homme parte et lui fiche la paix.

Aaron la trouvait vraiment attirante, il remarqua qu'elle était également bien rebelle et qu'elle n'allait pas être facile a convaincre, a moins que, Aaron eutun sourire qui le caractérisait bien, puis il fit signe au vendue et lui murmura qu'il ne devait pas être dérangé et surtout qu'il ne devait pas regarder, il obeit et partit alors dans l'arrière salle, Aaron lui ferma la cage et se dirigea vers elle, elle était trop inscouciante, elle allait le regretter, il lui aggrippa les bras avec une mains et l'embrassa assez vite, puis il commença a lui embrasser le coup avec deterité et passion, touchant de son autre main ses seins et son clitoris a travers les vêtements, il eut ensuite un sourire et la regarda.

"J'espere que tu vas aimer, cas tu y auras le droit assez souvent"

Son sourire était toujours la et il souleva le haut de katrina, montrant ses ses magnifiques seins, il en malaxa un avec douceur et sucottait le téton de l'autre, il voulait qu'elle ait de plaisir, qu'elle succombe a son pouvoir et ainsi elle aurait ce qu'elle voulait et lui aussi, tous ce qui l'interresait était son corps, il lui lecha le cou et s'occpa a nouveau de ses seins, l'une de ses mains l'empechait de partir.

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La jenue esclave avait de plus en plus peur. Pourquoi le vendeur avait-il accepté de les laisser seuls? Il allait lui faire du mal? Tant pi, il allait y goûter! Le vendeur parti, les laissant réellement seuls. Son corps devenait plus appeurés, tout à coup... Lorsqu'elle voulut le repousser, le trouvant trop proche d'elle, il lui tenu les poignets assez forts pour ne pas qu'elle bouge. De mal, la jeune femme esseya de se débatre, mais en vint. Son nouveau maître, aussi pervers que les autres, peut-être même plus à vu d'oeil et même à la sentation, elle était encore déçu. Le monde se populait de pervers sexuel. Au bout de quelques instants, sans même en avoir conscience, la jeune femme avait ses lèvres déposés contre celles du jeune homme. Ses mains se mirent à vagabonder sur son corps, en dessous de ses vêtements... Son haut se fit lever. Pendant un cours instant, elle avait apprécier la sentation, mais elle s'avait qu'il abusait d'elle. Sa bouche s'occupait d'un de ses seins, tandis que l'autre caressait avec tellement de tendresse qu'elle voulu fondre entre ses mains, sous son corps. De peur qu'il ait trop loin, la jeune femme vint lui mordre l'épaule, puis elle le poussa pour qu'il tombe par terre. Elle remit tout de suite son haut, puis elle s'asisa sur le lit. Comme si elle était sucombé à son charme, ou plutôt parcequ'elle ne voulait pas faire cela dans cette prison, elle baissa la tête et elle dit sur un ton ferme:

''Allons chez toi. Et ne crois pas que tu m'a attiré ou bien que tu m'as eu, je te déteste déjà!''

Aaron sentit une petit douleur au niveau de son épaule et se sentit tomber au sol, dommage il l'avait mal serrer, il voulu repartir a la chasse mais il l'écouta alors, il et vrai que le faire idi était un peu idiot, c'était un endroit répugnant et sale, as très digne d'une beauté comme elle, même si c'était un pervers fini, il appreciait la beauté d'une femme et voulait que la décor le soit aussi, il se frappa un moment la tête lui pris la main, il l'embrassa et la releva, puis il lui fit un sourire avant de la tirer doucement avec lui et d'ouvrit la cage.

"Tu as raison une beauté comme toi ne mérite pas de monter a l'extase ici....j'ai été idiot sur ce point..."

Il était d'une raison assez bizarre, il ouvrit la porte et sortit de la réserve, il faisait attention a ne pas lui lacher la main, il avait fait lamour a de nombreuses femmes mais il n'en avait garder aucune, il ne savait pas lui même pourquoi, peut être parcequ'il les connaissait trop, il voulait une esclave inconnu, même si après il le connaissait mieux il la garderais, il était éxigant mais quand même il avait dans la main une magnifique femme et n'allait pas la lacher.

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Encore assise sur le lit peu confortable, elle recula un instant puis elle se leva enfin. Debout devant le grand jeune homme qui lui, était acroupis encore par terre, elle s'imagina des choses perverses... Non... Il ne lui avait quand même pas donné le gêne deêrversité? Bof, elle s'en foutait un peu. Sa vie était un échec total. Une pauvre esclave qui n'arrête pas de se prostituée pour ses maîtres ou autres genres de pervers possibles.

''Jamais vous me donnerai l'extase que je veux...''

Sur ce, le jeune homme se releva, puis attira Katrina hors de cette prison. Enfin dehors, elle put prendre une bonne bouffée d'air d'on elle voulait avoir depuis déjà très longtemps. L'air l'avait terriblement manqué. Un sourire des plus féminin se dessina alors sur ses lèvres, puis elle se tourna vers le jeune homme. Elle serra sa main comme si il sortait enssemble, elle appréciait étrangement ce moment partagé avec cet homme inconnu.

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