Libéré(e) ? Non.
Nom : On lui donne de nombreux noms comme Amzer, Maelstrom ou même Af Isafjördhur. Elle ne le dévoile pas.
Prénom* : Vilhelmine
Âge* : 16 ans
Sexe* : Féminin
Sexualité* : Bisexuelle
Histoire* : Je suis née il y a 16 ans de ça, dans un pays couvert par la neige. Je n’ai pas été toute ma vie une esclave, bien au contraire, j’étais plus libre qu’un souffle de vent ou un mince filet d’eau de roche. Environ sept ans après ma naissance, mes parents, deux personnes tout à fait honorables, ont eu un garçon. J’avais plus d’hostilité qu’autre chose pour lui au premier abord. Mais quelques mois ont suffit pour qu’il devienne celui que je protégeais plus que tout au monde. J’apprenais, de mon côté, l’équitation et les arts, la façon de bien se comporter, portant ainsi de longues robes, et des corsets sévères. Mais ces terres si paisibles n’ont pas tenues longtemps. Nous avons fuit, mes parents, mon frère et moi, dans des contrées plus reculées encore. Les marchands d’esclaves de cette terre que tous connaissaient… Olphera. Ils venaient chercher des esclaves pour leurs maîtres cruels. Ma mère refusait de voir ses enfants pris par ces personnes là.
Ma vie bascula… Le jour où mon frère s’éclipsa, il avait 9 ans. Il jurait qu’il n’allait pas aller loin. Je partais à sa recherche, apprenant que les marchands d’esclave ne cessaient d’avancer et n’épargnaient personne. Montée à cheval, car ma mère m’avait appris à être une parfaite cavalière, je m’engageais sur les chemins enneigés de la forêt, longeant les lacs, hurlant à pleins poumons le prénom de mon frère. Au loin résonnaient des bruits de cavalcade et des cris. J’arrêtais mon cheval, je priais, tenant la crois qui pendait à mon cou pour qu’il n’ai pas été attrapé.
Abandonnant mon cheval, j’avançais, comme une panthère, entre les arbres, tentant de repérer un quelconque signe de mon frère. J’arrivais près du camp de ces marchands. Des porcs… Ils regardaient les esclaves déjà prises qu’ils obligeaient à danser de la manière la plus lubrique qui soit.
Je regardais cela et soudain… Un bruit, un couperet sous ma gorge, une main sur ma bouche. Traînée de force parmis ces cochons qui se firent un plaisir de me déshabiller, je me défendais pourtant bien.
« Ahh ce n’est pas une chienne comme les autres, elle cherche à se défendre, ce sera une farouche demoiselle ! On l’embarque, redonnez lui ses vêtements de princesse. »
Je fus emmenée et ne voyait pas mon frère. Ce n’est qu’en retournant vers Olphera que je vis mon frère tapis dans les fourrés, lançant sur moi un regard emplis de larme. J’imprimais sur mes lèvres ces quelques mots.
« N’ai pas peur, dis à maman et papa que tout va bien… On se reverra, un jour. »
Le voyage fut long, bien plus d’une fois, on tenta d’abuser de moi. Je prenais sous mon aile une petite gamine de quatorze ans qui, effrayée et violée, ne trouvait de réconfort qu’entre mes bras tendres. Elle découvrit bien vite qu’une femme était bien plus douce qu’un homme, et cela dans tous les sens du terme…
Nous avons été séparée, je ne sais pas où elle est, mais me voilà au marché des esclaves…
Une nouvelle vie de servitude s’offre donc à mes yeux effarouchés.
Physique* : Vilhelmine est loin d’avoir un physique ingrat. Ses cheveux longs (ils lui arrivent aux reins) et foncés (on ne peut savoir si ils sont noirs ou cuivrés, cela dépend), contrastent avec ses yeux d’un bleu tout aussi changeant. Ses deux perles d’océan sont entourées par des cils assez épais mais gardant une certaine discrétion. Sa peau est claire et ses lèvres sont teintées d’un rouge presque sanglant. Ce que personne ne sait c’est qu’elle pourrait se montrer tout à fait capable de se faire ardente, dévoilant son corps légèrement en formes dont la cambrure et la chute de reins sont exagérées par le port de corsets. Corsets qu’elle aime tant porter. Elle porte toujours des vêtements qui savent la mettre en valeur sans pour autant être trop vulgaires. Sa poitrine est un peu trop menue à son goût mais est en harmonie avec ses hanches. Sa taille est particulièrement marquée. Ses gestes déliés, presque ondulants, rivaliseraient avec ceux des danseuses de charme. Elle mesure 1m72, ce qui lui offre de jolies jambes longues et fuselées qui lui permettent d’avoir une démarche féline, de courir vite et de sauter et grimper à son aise. A son cou, elle porte une croix…
Mental* : Vilhelmine semble timide et très discrète. Elle sait se plier aux ordres mais aussi se montrer farouche et rebelle. Même rossée jusqu’au sang, si elle a des idées, elle les garde. Dotée d’un grand raffinement, ses gestes délicats montrent qu’elle n’a pas été élevée dans une famille de pauvres paysans. Fière, elle déteste être descendue dans son orgueil ce qui rend sa servitude digne de l’Enfer. Il est pourtant facile de la faire tomber amoureuse. Un homme au charme mystérieux et elle tombe immédiatement sous le charme. Tremblante, elle rougit alors et se fait muette. Si il le faut, pour arriver à ses fins, elle peut mettre un maître dans son lit ou même se faire ardente sans jamais perdre sa délicatesse. Ne jamais tomber dans la vulgarité des filles de joies qui (excusez-moi des termes) « Montrent leurs c*l pour arriver en tête. »
Non, elle sait jouer des regards, comme à la cour, les courtisanes.
Liens : Elle a une grande famille, deux tantes, ses parents, des cousins et cousines, un frère. Mais tous sont encore en liberté…
Autre : Elle chante à merveille et il lui arrive de faire des crises d’insmonie.
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