Tôt...Très tôt... Trop tôt? |Pv|

Koyori ne se sentait toujours pas à sa place dans cette maison trop fermer à son goût. Elle avait passé la nuit dehors, endormit dans l’un des arbres du jardin et maintenant, il était très tôt, le jour était à peine levé et la Neïko venait juste de trouver des habits qui lui seraient plus confortable pour se défouler un peu. Avec un peu de chance son « maître » dormirait encore à cette heure ci de la journée. Elle posa doucement une main à plat sur le mur et soupira doucement avant d’ouvrir la fenêtre, c’était mieux ainsi. Elle s’étira un long moment, chassant la fatigue de chacun de ses muscles.

La Neïko ferma un moment les yeux et un sourire se forma sur ses lèvres, elle allait voir si elle était toujours aussi souple que lorsqu’elle faisait rager les éducateurs en en faisant qu’à sa tête et les hommes mettaient toujours des heures à lui courir après pour la remettre à sa place… La jeune femme bondit et s’élança vers l’avant avant d’atterrir sur sa main droite, elle appuya vivement sur sa main pour se donner de l’impulsion nécessaire à s’élever dans les airs… Un moment après, elle atterrit avec souplesse sur une poutre qui se trouvait là. Elle écarta les bras en croix pour conserver son équilibre. Ça faisait du bien de décrasser ses muscles…

Cette nuit Mickael avait fait un rêve, il était retourné en enfance et revivait le jour ou sa soeur avait disparu, il eu beau crier mais rien ne sortait de sa bouche, il se reveilla en sursaut et en sueur, il regarda sa tête a travers un mirroir et se touche le front, bizarrement il semblait lui faire mal, il s'étira un peu et repris son sourire habituelle, il avait envie de se défouler et alla vers la salle de sport, mais quand il allait ouvrir la porte il entendit du bruit et l'ouvrit doucement, il regarda alors Koyori faire un peut d'acrobatie, un sourire assez chalereux le gagna mais au bout d'un moment il redevint un peu triste, il est vrai qu'il se souvenait encore qu'elle ne l'aimait pas, il baissa la tête et ferma la porte derrière lui, il se dirigea alors vers la cuisine ou il pris un café bien serré et le bu d'un coup, il regarda ses mains un moment et vis une larmes tombé sur celel-ci, il n'avait pas la grande forme et il sevait se ressaisir, rien que pour pouvoir montrer a Koyori qu'il ne lui voulait rien de mal, il essaya de reprendre un sourire mais rien a faire, il posa alors ses mains sur la table et laissa les yeux, il était un peu triste ce matin mais bon, il est impossible de rester joeux 24h sur 24, un moment passa et il ne faisait rien, il était comme plongé dans ses souvenirs, il se tenait sa cicatrice et regardait sa tasse qu'il avait fini de boire, il esperait quand même qu'il allait vite retrouver le sourire et pourvoir continuer la journée tranquilement, même si il n'avait pas beaucoup de chance avec Koyori.

Après de longues heures passer dans la salle de sport, elle sourit et, toujours vêtue des affaires qu’elle avait emprunter et ses cheveux attacher en deux couette assez épaisses. Elle s’étira légèrement avant de se passer une main derrière la nuque… Elle avait soif, elle ne serait pas contre un peu de lait bien frais ! Elle vint se glisser dans la cuisine et vit alors Mickael, elle fronça légèrement un sourcil… Il n’avait pas l’air de bien aller. En silence elle alla chercher une brique de lait. Bien sur, elle l’avait vu, mais elle ne s’était pas arrêter pour autant.

« Salut, ça a pas l’air d’aller toi. »

Koyori porta la brique de lait à ses lèvres et en but la moitié d’un coup avant de se percher sur un tabouret en face de lui. Non, elle ne le portait pas dans son cœur, comme tout les humains, mais il avait au moins l’honneur de la laisser tranquille ! Alors elle pouvait bien essayer d’être gentille avec lui… Au moins, pour se faire pardonner du vase qu’elle lui avait lancé au visage.

« Au fait, t’aurais pus rentrer dans la salle, t’es chez toi après tout… »

Et oui, elle mettait peu à peu de l’eau dans son vin… Ou plutôt du miel dans un verre de lait qu’elle comptait se faire chauffer…

Mickael était toujours dans ses pensée, essayant de retrouver son sourire habituelle car il n'avait pas encie que quelqu'un se fasse dusouci pour lui, c'était quand même étrange car il aidait souvent les autres mais il ne voulait pas que les autres l'aide, il entendit du bruit et releva la tête, c'était Koyori qui venait d'arriver, il vit son froncement de sourcil et baissa encore la tête, décidement il était mal partie avec elle qui ne voulait pas comprendre qu'il ne lui ferait rien, enfin pas si elle ne le veut pas, elle lui parla un peu et eut un petit sourire, il n'avait rien a voir avec le sourire qu'i laffichait habituellement mais au moins il souriait, c'était déjà cela.

"Désolé, j'ai juste fait un cauchemar a propos de ma famille."

Pourquoi il devait toujours en dire plus qu'il ne devrait, car il était du genre a ne pas mentir et a dire ce qu'il avait en tête, il se gratta la tête et la regarda se mettre en face de lui, il ne souriait pas et l'entendit parler, elle l'avait vu la regarder et elle lui disait u'il était chez lui donc il pouvait rentrer comme il le souhaitait, il eut encore un petit sourire et releva la tête pour la regarder.

"Peut être, maisje ne voulais pas te gener pendant que tu t'entrainait, je n 'aime pas gener les gens qui m'entoure..."

Koyori ne lui répondit pas, elle savait que les cauchemars pouvaient démoraliser même la personne la plus endurante, surtout quand ils concernaient les parents… Elle s’étira doucement et mis la décoction qu’elle avait préparé à chauffer avant de revenir avec le reste de la brique de lait. Elle se percha à nouveau sur le tabouret où elle était avant de le regarder.

« Au fait… Il leur ait arrivé quoi à tes parents ? Si c’est pas indiscret… »

Elle le regarda et liquida encore une partie de la brique de lait… elle adorait vraiment ça… Un petit sourire se posa sur ses lèvres et ses oreilles se couchèrent sur son crâne alors qu’elle baillait vivement. Elle avait, elle aussi le sommeil agiter ses derniers temps. Au bas du tabouret, la queue de la jeune femme se balançait doucement dans le vide. La Neko secoua la tête pour chasser la fatigue.

« Te soucie pas de ça… Ça me dérange pas que tu viennes dans les moments où je m’entraîne, de toute façon j’ai jamais pus m’entrainer tranquillement avant… »

Un long soupire franchit ses lèvres pales et elle reposa doucement la brique de lait au sol. Elle serait bien retourner dormir, ou aller prendre une douche. Elle plissa doucement les yeux et soupira doucement avant de regarder la brique qu’elle avait toujours dans la main… Hn… Si elle ne le calmait pas sur ça elle allait le ruiner en lait. Il eut un léger rire.

Mickael ne savait pa exactement quoi lui dire, il était simple delui raconter les fait exact mais mais il ne voulait pas qu'elle s'en fasse pour lui, d'un autre coté elle ne semblait pas trop en clin a l'apprecier, quoi que pour une fois elle ne lui avait pas trop cirer dessus, c'était peut être qu'elle essayait de le comprendre, il se gratta la tête et voulut bien la regarder dans les yeux, les yeux de Mickael étaient toujours magnifique mais avaient pour le moment une pointe de tristesse, c'était bien sur assez facile a comprendre mais bon.

"Et bien tous cela c'est passé le soir de mes 17 ans, j'étais assez fatigué et j'avais ouvert la porte doucement pour ne pas reveiller mes parents, je pensais bien sur qu'il n'avait fait une surprise, il aimaient bien faire ce genre de chose et depuis que ma soeur avait disparu il ne manquait pas un seul de mes anniversaire, je m'avançait donc et je trouvait que quelque chose clochait, non seulement les lumières étaient allumé, et alors pour l'effet de surprise c'était loupé, mais il manquait quelques objets dans l'entrée, je m'étais avancé et quand j'ai ouvert la porte menant au salon, j'eu un frisson, mes parents étaient par terre, je couru vers eux pour savoir ce qu'ils leurs étaient mais quand je tourna mon père qui était sur le ventre, je vis la trace de la balle qui était passé par sa tête, le reste est un peu flou mais je me souvient quand même avoir pleurer un bon moment"

Il baissa la tête un moment, il le voulait pas d'elle le voit aussi triste, il savait qu'elle allait surement ne pas s'en soucier mais quand même, son sourire était toujours la malgré la grande tristesse qui se trouvait dans ses yeux, la seul chose qu'on entendait était le vruit de la mixture que faisait chauffer Koyori dans le micro-onde.

Koyori l’écouta en balançant ses pieds dans le vide… Alors il avait trouvé ses parents morts… Il avait donc lui aussi perdu ses parents même si ce n’était pas dans les mêmes conditions… Elle baissa les yeux au sol et se mit à suivre les lignes du carrelage des yeux. Elle se passa une main dans les cheveux avant de dire d’une voix un peu trop rauque à son goût.

« Tu vois, moi aussi j’ai perdu mes parents… A cause des « maîtres »… Ma mère a été capturée avant ma naissance… J’ignore tout de ce qu’elle et mon père peuvent être maintenant… Parce que des personnes on juger que nous autre Neïkos étions une sous race… »

Elle ferma les yeux, pour empêcher des larmes de coulées sur ses joues, elle voulait revoir sa mère… Elle voulait savoir qui était son père… Elle voulait… pleurer… Ce laisser allez à la tristesse et la douleur qui étaient enfermés au fond de son cœur depuis des années et des années pour enfin les évacuer. Mais non, elle ne le ferait pas, jamais elle ne se laisserait submerger par sa douleur devant une personne dont elle ne pouvait pas avoir pleinement confiance…

« Au fait…Désolée pour le vase… »

Dit elle en évitant soigneusement de le regarder, elle acheva la brique de lait avant de la lancé, son tir arriva juste dans la poubelle et elle sourit alors que son breuvage finissait de chauffé…Elle baissa légèrement la tête et s’étira doucement et se leva…

« Et désolée d’avoir fait ressurgir des mauvais souvenirs avec ma curiosité mal placée… »

Elle récupéra son lait au miel et sortit de la pièce avant d’allez s’asseoir sur un fauteuil, ses jambes à demi repliées sous elle, les genoux collés l’un à l’autre. La tasse reposait être ses deux mains jointes sur ses genoux… Elle avait le regard triste, et même si aucune larme ne coulait, elle avait les yeux rouges… Elle ne songea même pas à boire son lait, comme si elle se contentait de se réchauffer. Elle était marqué par la tristesse et ne voulait en aucun cas que l’on puisse la voir dans un tel état.

Mickael l'écouta sans pour autant parler, il se rendit bien assez vite compte que sa vie était peut être triste mais que d'autre personne avait aussi eu des moments aussi triste que lui, Koyori avait perdu ses parents et il était quand même un peu triste pour elle, mais ce qui l'ennuyait le plus c'était que certains hommes considéraient les neïkos comme une sous races, pourquoi dire cela alors qu'il ressemblait quand même assez bien au être humains, juste parcequ'ils avaient des oreilles différentes et qu'ils avaient une queux, c'était vraiment débiles mais il le pensait déjà depuis très longtemps, il trouvait qu'elle semblait triste et surtout qu'elle ne voulait pas pleurer, il voulait la réconforter mais le problème était qu'elle allait encore mal le prendre alors il resta sur sa chaise a l'écouter, elle s'excusa alors pour le vase qu'elle lui avait lancé dessus, il avait oublié cet incident et se gratta la tête avec un petit sourire.

"J'avais completement oublié cela alors ne t'en fais pas."

Quand elle s'éexcusa encore pour les mauvais souvenirs qu'elle avaient ravivés, il ne it rien d'autre que sourire, il avait un peu retrouvé de sa bonne humeur grace a elle, puis il la regarda partir et se leva a son tour, il avait besoin de prendre une douche, alors qu'il sortait et qu'il montait doucement les marche il regarda Koyori et s'arreta au millieu des escaliers.

"Koyori, tu ne me fais peut être pas confiance mais si un jour tu change d'avis je serais la pour t'aider au mieux...."

Il monta un peu plus vite les escaliers pour enfin arrivé dans une des salles de bain.

Il avait oublié sa violence… Cet humain était vraiment quelqu’un de bizarre. Enfin, celon ses critères personnels tout du moins, elle ne savait vraiment plus comment elle devait se concentrer avec son « maître », c’était franchement déstabilisant.

Quand Koyori entendit le garçon lui parler elle tourna vivement les yeux vers lui… Pouvait elle vraiment lui faire confiance ?? Elle ne savait plus du tout… Elle avait envie de courir, de partir à la recherche de son père et d’apprendre ce que pouvait bien être la vraie liberté. Elle se mordit doucement la lèvre et soupira longuement .

« Oui… Peut être… »

Avait elle simplement soufflé, mais finalement, elle but son verre et alla le laver avant de retourner se terrer dans la salle de sport… Cette fois, c’était plus pour se défouler que pour s’entrainer, elle avisa un sac de boxe et se mit à passer ses nerfs sur le pauvre objet, des larmes dévastaient ses joues et elle s’acharnait contre le sac de manière totalement désorganisé. Elle ne savait pas se battre, ce n’était pas une chose qu’on apprenait au Neko. Elle se contentait donc de frapper le sac sans aucune retenu avec tout sa force, et ce, même lorsqu’elle commença à avoir le souffle court.

Mickael arriva dans la salle de bain et commença a se désabiller, il alla ensuite dans la douche et ouvrit les robinet pour avoir une bonne température, il regarda un moment l'eau coulé et soupira, pourquoi il avait autant de mal a lui parler, il ne le savait pas lui même, il regarda ses mains moment, l'une d'enre elle portait encore les marques d'Aphrodite, il se gratta la tête et commença a se laver, il profitait de ce moment pour faire le vide dans sa tête, ne pensant a rien et écoutant juste le bruit des gouttes d'eau qui tombèrenty sur sa peau, puis au bout d'un moment il fut quand même assez propre, il se lecha doucemtn et se coiffa, puis il se regarda un moment dans la glace et toucha sa cicatrice avec son doigt, elle était un peu détendu a cause de l'eau mais cela lui faisait toujours un effet bizarre quand il la regardait aussi intesement, il s'étira et s'habilla, il mis une chemise bleue ciel qu'il garda ouverte, un pantalon noirs et des chaussettes, il alla ensuite vers la salle de sport ou il vit Koyori frapper le sac de boxe, il semblait voir des larmes sur ses joues et entra, il arreta ses poings et se mit en face d'elle pour la regarder dans les yeux.

"Calme toi Koyori, ce n'est pas comme cela que tu va allé mieux, et puis tu ne frappe pas correctement, si tu veut je peut toujours te montrer comment faire."

Koyori était en train de s’acharner sur le sac, ne voyant même plus ce qu’elle faisait. Soudain, elle sentit ses poings se figés, il lui fallut de longues minutes avant de remarquer que Mickael s’était mis entre elle et sa cible. Sa vue était brouillée et ses joues ravagées de larmes. Elle eut un faible mouvement pour le repousser, mais ce geste ne contenait pas énormément de force. Elle l’entendit parler, mais les paroles lui parvinrent lointaine et elle secoua vivement la tête.

« Qu’est-ce que tu peux en savoir de si ça me calmera ou pas. »

Sa voix était colérique, et même si elle refoulait sa peine, les larmes n’étaient pas décidées à cesser. Koyori avaient trop retenues, elles se vengeaient à présent. La Neïko baissa les bras, elle sentit ses jambes se dérobées sous elle et elle tomba à genoux, laissant les larmes coulées librement sur ses joues. Elle se sentait au fond du gouffre comme si rien ne pouvait aller pire que ce n’était le cas en ce moment même.

« Pourquoi ? Pourquoi tu agis comme ça ?... Je..Je comprend pas pourquoi tu agis comme ça avec moi ? Je comprend pas comment tu peux encore vouloir m’aider ? »

Elle était totalement perdue, elle se laissait aller aux larmes. Elle n’en pouvait plus de toujours tout renfermer en elle-même, il fallait bien qu’un jour tout lâche, qu’elle craque… Et bien, ce jour là était enfin arriver et ses larmes semblaient intarissables.

C'était la première fois qu'il la voyait pleurer ce cela lui faisait de la peine, elle était si forte habituellement et maintenant elle semblait si fragile et triste, il ne sourait plus du tout et la regarda être a genoux et pleurer de plus de plus, il ne voulait pas la voir comme cela, même l'ancienne Koyori avait de bon coté, il serra les poing et mis un genoux a terre près d'elle, il passa ses mains dans le dos de la jeune neoki et la serra contre lui, il ne voulait plus la voir triste, il voulait retrouver la belle Koyori qui le critiquait un peu mais qui pourtant était sympatique, il sentait les larmes de la jeune femme couler sur sa chemise mais ce n'était pas important pour le moment.

"Je n'aime pas te voir comme cela, et sourtout je t'aime ien et cela même si on ne se connait que depuis peut de temps."

Il resta comme cela a la serrer contre lui, il ne voulait plus la voir triste, peut etre que plustard elle lui expliquerait la raison mais même si elle ne le faisait pas cela ne lui importait peu, il ferma les yeux et resta dans cette positnio pour attandre qu'elle ne pleure plus, même si sa chemise deviendrait entièrement humide a cause des larmes.

La jeune femme pleurait, son masque de force, voir de violence, avait volé en éclat. Était ce là la vraie Koyori ? Qui pouvait le savoir ? Personne sûrement. Elle le sentit la prendre dans ses bras et elle n’avait même pas le courage de le repousser, finalement, elle n’était qu’une petite fille qui voulait jouer les grandes… Elle voulait revoir ses parents. Il lui parlait… A nouveau, il lui disait qu’il l’aimait bien alors qu’il ne la connaissait presque pas… Mais cette fois, il avait ajouté qu’il n’aimait pas la voir pleurer. Elle émit un léger sanglot, restant totalement immobile. Non, décidemment, elle n’arrivait jamais à comprendre son « maître ».

« Et qu’est-ce qui te fait dire que tu m’aimes bien hein ? Pourquoi tu m’aimes bien ? »

Si elle n’arrivait pas à avoir sa réponse, l’homme se retrouverait sûrement avec d’autres nouvelles blessures, qui seraient dues à la jeune Neïko, dans le futur. Étrangement, elle se sentait un peu rassurer par son étreinte, peut être avait elle identifié cette étreinte à celle d’un père qui n’avait jamais eut l’occasion de la voir, mais bien sur, Mickael n’était pas son père, loin de là. Elle restait donc là, à pleurer tout contre l’homme, elle n’arrivait même plus à calmer ses pleurs.

La jeune femme se calma peu à peu, ses larmes se tarirent peu à peu elles aussi et elle sentit la tête lui tournée. Elle avait les yeux rouges et se sentait épuisée, ses oreilles félines se couchèrent sur son crâne, signe qu’elle avait vraiment le moral très bas.

Sa question était assez particulière, elle était toujours contre lui et cela lui procurait une sensation assez étrange, comme si quelque un de se sproblèmes avait disparue, il devait ui dire ce qu'il pensait, et cela même si elle allait le griffer ou autre, mais dans un sens elle semblait tellement fatigué, il l'allongea sur le sol et regarda ses yeux, il était médecin quand même et savait quand quelqu'un se sentait mal, dans son cas elle était vraiement au bout du rouleau et il lui tenait la main pour la réconforter un peu, puis il s'asseya juste a coté d'elle et eu un petit sourire, il se demandait déjà pourquoi il était aussi gentil avec elle, pourquoi il ne lui répondait pas avec une remarque cinglante, peut être parcequ'il était trop gentil, ou alors c'était peut être autre chose, il lui répondit alors avec une voix assez calme.

"Et bien c'est assez compliqué a expliquer, disons juste que même si tu ne n'aimait pas trop, moi je me sentait assez bien que j'était près de toi, je ne comprend pas très bien moi même alors je tiens juste a dire que cela me donne ne sensation agréable au niveau du coeur."

Mickael résonnait un peu trop comme un médecin mais il fallait dire aussi qu'il n'avait jamais connu ce genre de chose auparavant, il se gratta la tête et attendit la réponse de la juene personne qui se trouvait allongé sur le sol.

Koyori se laissa faire, il était médecin après tout non ? Et puis, elle était trop lasse pour à nouveau se rebellée, et puis, il n’avait pas encore répondu à sa question… En silence, elle attendait qu’il lui réponde, le regard perdu dans le vide du plafond. Il lui avait pris la main mais elle restait totalement amorphe, comme si elle ne s’en était même pas aperçut. Ce qui n’était pas totalement faux, elle était plongée dans son petit monde de rêverie. Soudain elle entendit sa voix et se redressa légèrement pour le regarder alors qu’il lui parlait… Il se sentait bien près d’elle ? Une sensation agréable au niveau du cœur ? Son esprit mit un temps fou à analyser ses données… Elle le regarda, le regard vide, alors que son oreille de chat droite tiqua légèrement durant quelques instants…

« Euh attend tu veux dire… »

Elle se figea, maintenant assise et baissa vivement la tête, sa longue frange brune masquant la vive rougeur que venaient de prendre ses joues, elle ouvrit la bouche mais la referma avant qu’un son n’est pus franchir ses lèvres… Un instant plus tard la porte s’ouvrait à la volée et Mickael était seul dans la salle… Mais à peine avait elle fait quelques pas qu’elle fut prise de vertige et du se rattraper à un mur. Elle s’y adossa, le monde tourna autour d’elle… Et elle sombra dans l’inconscience…

Mickael ne lui tenait pas la main juste pour le plaisir, il regardait également son niveau cardiaque et en même temps il regardait ses yeux qui était rouges, elle semblait a un moment assez reveuse, il se gratta la tête, c'était peut être du a ce qu'il venait de lui dire, il était du genre a dire un peu trop vite ce qu'il pensait, cela était sa façon de faire depuis toujours mais quand même, au bout d'un moment il se retrouva seul dans la salle, il jetta un rapide coup d'oeil a gauche et a droite mais elle ne semblait plus être la, il se gratta la tête et se releva, il n'avait plus rien a faire ici, tout de même il se demandait d'ou lui venait cette sensation quand elle était près de lui, il sortit de la salle en se grattant la tête et en y reflechissant, il vit alors Koyori adosser a un mur, elle seblait endormie alors il voulu passer doucement a coté d'elle, mais quelque chose clochait, il vérifia son poul ainsi que sa vue et vit alors qu'elle était inconsciente, elle en avait trop fait, Mickael la porta alors et l'emmena dans une chambre, il la posa alors sur le lit et la regarda, elle semblait assez paisible quand elle dormait, il eut un sourire et l'embrassa sur la joue, il avait les joues un peu roses et il passa sa main sans les cheveux de la neiko avant de partir sans trop faire de bruit.

Oui, Koyori avait fuit, en fait, elle essayait déjà de ne pas trop éprouver d’amitié, mais alors là, elle s’était attendue à tout sauf à ça. Heureusement qu’il ne réalisait même pas lui-même la porter de ce qu’il avait dit. Quoi qu’il en soit, quand il l’avait porté, un grognement c’était échappé de ses lèvres et elle se recroquevilla sur elle-même. Elle resta dans la même position quand il la posa sur le lit. Elle était absolument immobile, et, quand il l’embrassa sur la joue, un nouveau grognement échappa à la Neüko, ainsi qu’un frisson quand il lui avait caressé les cheveux.

Plusieurs minutes plus tard, la jeune femme reprit conscience. Elle porta vivement la main à son front, dieu qu’elle avait mal ! Pleurer n’était vraiment pas dans ses habitudes… Tiens, d’ailleurs… Elle était dans une chambre là, non ? Comment était elle arriver là. La dernière chose dont elle se souvenait, c’était d’être sortit en courant de la salle de sport… Bon sang ! C’était pas possible de réfléchir avec un tel mal de crâne…

Mickael devait vraiment être naïf pour parvenir à dire ce genre de chose si facilement. Mais alors… Pourquoi avait son cœur avait il bondit ainsi ? Parce que c’était la première fois qu’on lui disait ce genre de chose, à elle, la sauvage. Elle se leva en douceur, essayant de se convaincre que tout ça n’était qu’un rêve. Défilant dans les couloirs telle une ombre, elle se redit dans le jardin et tant pis si elle ne se reposait pas plus longtemps. Elle s’assit au pieds d’un arbre et s’imagina sa vie telle qu’elle aurait été si elle était née libre.

Après avoir laissé Koyori se reposer tranquillement, il était partit dans la bibliotèque pour se calmer un peu la tête, il pansait un peu trop a ce qu'il venait de faire et pris un livre pour le lire, pourquoi avait-il fait ceci a elle, il se gratta la tête et lu encore une fois le livre, il n'avait vriament pas la tête a la lecture et cela lui servait surtout a reflechir un peu a la suite des evenements, il regarda sa main une seconde, avait-il vraiment fait quelque chose de mal, serait-elle en colère quand elle aurait su qu'il l'avait embrasser, même si cela était sur la joue, il posa le livre sur la table et soupira, il se dvait faire autre chose, il tourna en rond un moment reflechaissant a quelque chose de plus constructif, il eut alors l'idée de s'aerer l'esprit dans les jardins, il s'atira et marcha tranquilement vers le dit endroit, il arriva et eut une grande inspiration, puis il expira et remarqua que Koyori était la égalemet, elle devait se reposer et en tant que médecin il devait faire quelque chose, il s'approcha d'elle et la regarda avec le sourire.

"Tu devrais dormir un peu plus, tu as quand même perdu conscience."

Il resta alors un moment a la regarder, il ne s'attendait pas a une réponse gentille maintenant qu'elle ne pleurait plus, mais au moins cela prouverait qu'elle était redevenu elle même, il mis ses mains dans ses poches et attendit patiemment sa réponse.

Koyori garda les yeux fermer, se laissant envahir par le souffle du vent, elle s’imaginait quand elle était enfant à courir dans la forêt… Elle entendait son nom et se vit se retourner, pour faire face à son père, ou du moins la vision qu’elle se faisait de son géniteur. Mais soudain une odeur la tira de sa rêverie…Elle ne la connaissait que trop cette odeur, une odeur de maître à laquelle elle commençait à s’habituer.

Elle entendit l’homme parler et poussa un profond soupire et rouvrit les yeux et les posa sur lui… Les paroles de l’homme s’imposèrent à nouveau à son esprit et elle grogna avant de détourner vivement les yeux se mordillant doucement la lèvre…

« J’aime pas rester immobile et dormir quand je suis pas fatigué… »

Répondit elle simplement avant de se passer une main dans les cheveux, les chassant de derrière son oreille. Elle évitait soigneusement de le regarder à nouveau. Elle ne voulait pas se lier à des gens, surtout pas à quelqu’un qui faisait partit de la catégorie sociale qui avait fait en sorte que sa race soit asservie. Elle soupira et replia ses genoux contre son torse avant de fermer les yeux, elle se sentait bizarre maintenant à cause de lui.

Bon d'accord elle était assez particulière mais il fallait quand même qu'elle reste tranquille pendant un moment, il eut un petit sourire et s'asseya contre l'arbre et un peu proche d'elle il le la regardait pas et sa tête était plutôt tourné vers le ciel, il ne savait pas trop quoi penser et surtotu a propos de ce qu'il lui avait dis plutôt, il essaya de comprendre ce quil avait, ce n'était pas une sensation désagreable mais d'un autre coté il semblerait qu'elle n'aimait pas trop ce qu'il lui avait dit, pourtant c'était ce qu'il ressentait pour elle, il se gratta assez fortement la tête et chercha quelque chose a lui dire, au bout de plusieurs minutes de silence il pris la parole d'ne voix assez timide.

"Je suis désolé pour tout a l'heure, mais je pense toujours ce que j'ai dit, je me sens bien que tu est la Koyori...."

Il resta un moment a regarder le sol, visiblement maintenant il était assez géné par ce qu'il venai de lui dire, il ne voulait pas non plus croiser son regard, il était un peut inquiet de la réponse qu'elle allait lui dire et d'un autre coté esperait une bonne réponse, il connaissait un peu son caractère donc cela devrait être une réponse avec un peu de colère.

Koyori était quelqu’un de particulier ? Oui, bien sur, mais tout était particulier en son sens non ? Oui… Bon elle encore plus que quiconque. Mais il fallait dire que ce n’était pas tous les jours qu’on recevait ce genre de déclaration… Et le voila qui recommençait exactement la même chose !!! Les joues de la Neïko s’empourprèrent légèrement. Et elle serra violement les poings et releva les yeux vers lui. Il trouvait vraiment nécessaire d’en rajouter ainsi ? Non, mais c’était vraiment à croire qu’il le faisait exprès pour l’embêter là !!!

« Oh c’est bon tait toi avec ça… J’ai pas envie que tu me le répète encore une fois… »

Sa voix était grinçante et agressive, mais une pointe de déstabilisation y perçait… Elle détourna vivement les yeux pour l’empêcher de voir cette maudite rougeur. Elle donna un violent coup de poing dans le sol et sentit la terre tressaillir la où elle avait tapé. Elle paraissait être une gamine en ce moment précis. Elle fuyait ce sentiment pour lequel elle ne se sentait vraiment pas prête. La jeune femme se releva, évitant au mieux de le regarder et commença à s’éloigner… Non, elle ne voulait plus entendre ces mots là !!!

Mickael ne avait pa du tout a quoi il pensait et pourquoi il avait agi de la sorte envers elle, il mit alors a y reflechir, il avait alors un petit souvenir desa famille, le sentiment qu'il s'en dégageait, une sorte de chaleur interieur qui liait son père et sa mère, il devait comprendre, un mot lui vint alors a son esprit, "amour", pourquoi cela venait d'un coup comme cela, cela était peut être la signification de ce qu'il rressentait a son égare, il se gratta un moment la tête, toujours plonger dans es penser, il regardait dans le vide sans trop comprndre ce qui l'entourait, il ne pensait qu'a la signification de ce mot, il l'entendit alors parler, il ne comprenait pas, il devait lui dire, il la regarda partir et serra les poing, il se leva mais pour le moment il ne faisait rien, les poing serrer et ses ongles transpersait sa peau, un eu de sang en coulait doucement, puis il éleva la voix assez fortement pour qu'elle puisse entendre.

"Reste avec moi!!!"

Il la regardait avec un peu de fureur dans le regard, puis il baissa fortement la tête et parla plus faible.

"S'il te plait....reste avec moi....je....je...."

Il se retourna alors, il ne pouvait pas lui dire, elle allais encore se facher, il ne voulait pas que cela devienne plus compliquer, il regarda l'arbre devant lui, le sang coulait un peu plus vite maintenant qu'il n'avait plus les poings serrer.

Koyori tourna doucement les yeux vers l’homme après s’être figée… Il venait…de lui…donner un…ordre ? Elle sentit ses poils se hérissés et son regard se fit plus dur, finalement, il était comme les autres ! Elles s’en était toujours douter… Mais alors… Pourquoi avait elle aussi mal ? Elle le fixait dans les yeux, soutenant ce regard empli d’une sorte de fureur avec un autre qui l’était tout autant.

« Tu me donnes des ordres ? J’en ai jamais accepté de personne !!! Tu crois que tu peux m’en donner si facilement !! »

Elle grogna violement et le vis baisser les yeux alors qu’il serrait violement les poings, elle avait envie de tout brisé, de tout détruire et de hurler, mais non, elle se contenta de serrer les poings à s’en écorcher les mains. Elle avait mal, mais elle n’en dirait absolument rien ! Et à nouveau il parla, elle se figea avant de baisser vivement les yeux, son cœur avait bondit dans sa poitrine.

Il la suppliait maintenant ? Elle était plus que troublée, si bien que sa colère retomba en flèche… Il… Il quoi ?? Elle vit quelques gouttes de sang s’échappées de ses mains et elle sentit les reste de sa colère se dissiper. Les traits de son visage se détendirent doucement.

« Tu quoi ? »

Sa voix était sèche, mais un peu brisée, elle n’arrivait pas à le comprendre, elle était totalement pommée. Sans que personne pus comprendre quoi que ce soit, elle pris l’une de ses mains sanglante dans la sienne, qui était dans un état similaire, et la porta doucement à ses lèvres avant de lécher doucement les petites plaies…Puis, quand elle se rendit compte de son geste elle se figea et se raidit tout en relâchent cette main… Pourquoi avait elle agis ainsi ? Elle devenait folle ou quoi ?

Ha ben bravo, maintenant il était dans de beau draps, il venait de commencer une phrases et elle voulait entendre la suite, il voulu sa gratter la tête mais il avait les mains avec du sang, impossible de faire quoi que se soit, il l'entendit alors s'approcher de lui, il sentait qu'il allait avoir mal, mais au lieu de cela il sentit qu'elle lui lechait sa main, il fut assez étonné et dut après soulagé de voir qu'elle se raidit quand elle avait compris ce qu'elle venait de faire, il eut un petit sourire et se tourna vers elle.

"Merci...."

Il devait le lui dire, même si allait se faire tuer au moins il serait mort en lui avouant, il ne devait pas serrer les poings, cela lui faisait encore un peu mal, il s'approcha un peu d'elle, puis il la regarda dans les yeux, une expression serieuse se trouvait dans le regard, mais ses joues était aussi rouge qu'une tomate, il devait se conroler, il se sentirait surement mieux si il lui disait tous de suite.

"Je t'aime....voila maintenant frappe moi si sa te fais envie, moi j'ai enfin avouer...."

Il ferma les yeux et attendit qu'elle le frappe, il était masochiste ou quoi, il était un peu plus calme quand même et se sentait comme un peu appaiser par ce qu'il venait de lui dire.

Koyori l’entendit la remercier et d’un mouvement agacé, elle repoussa ses excuses d’un geste de la main. Puis il acheva sa phrase. Ces trois petits mots résonnèrent dans son esprit comme dans une pièce vide… Son teint vira au pale extrême et elle se mit à trembler avant de se reculer, heurtant l’arbre sans même s’en apercevoir…Elle sentait la panique s’emparer de chacune de ses veines et elle posa sa main à plat sur le tronc pour se donner un certain appuis.

« Je…Tu… Tu es vraiment…. Fou… »

Elle avait les larmes aux yeux et son regard était paniqué… Elle commença à s’éloigner de l’arbre, tremblant toujours de tous ses membres… Elle… Il… Non, elle ne devait pas avoir ce genre de relation avec un maître, c’était à cause d’eux que ses parents et elle avaient été séparés, ce serait les trahir que d’agir ainsi…

« Vraiment…. »

Elle se retourna violement et partit en courant, si elle restait plus, elle allait perdre pieds, et elle ne devait pas trahir ses parents comme ça… Elle avait mal au cœur, tellement mal. Elle avait l’impression qu’elle allait mourir mais ce n’était pas le genre de douleur qui tuait.

» [PV] Dans une cage beaucoup trop petite