Libérée : Non
Nom : Shuurei
Prénom : Abigaëlle
Âge : 17 ans
Sexe : Féminin
Sexualité : Bisexuelle mais a une légère préférence pour les hommes.
Histoire :
Abigaëlle n’était pas un enfant désirer au début, c’était un accident survenu il y a 17 ans. Sa mère travaillait tard le soir à cause d’un dossier qu’elle devait finir pour le lendemain. Elle avait quitté son travail avec une assez bonne humeur d’avoir bouclée cette affaire et pour rentrer plus vite à la maison, elle avait l’idée de passer par un parc. Il faisait sombre dans cette allée de terre, personne au alentour, c’était le calme plat. Sa mère continua à marcher de plus en plus rapidement, trébuchant de temps en temps sur une motte de terre. Ses genoux étaient écorchés, elle ne pouvait pas revenir en arrière…Pourquoi, elle n’avait pas appelé un taxi ? Pour économiser de l’argent, certainement. Malheureusement, des pas se faisaient entendre derrière elle, elle voulait ouvrir sa bouche pour crier mais une main se posa sur ses lèvres et la projetait sur le sol. Un homme se tenait devant elle avec un sourire malsain et assouvit son désir sans souciant peu des pleurs et des cris de sa mère, lui suppliant d’arrêter. Cette fameuse nuit, sa mère était morte de l’intérieur, ronger par la culpabilité. Son mari ne pouvait même plus la toucher, à peine qu’il effleurait son bras…La jeune femme hurlait se souvenant de souffle du violeur sur sa peau. Après un mois, sa mère avait apprit qu’elle était enceinte ce qui lui redonna le goût de vivre, de savoir qu’un enfant grandissait dans son ventre. Abigaëlle était l’union entre sa mère et le violeur ce qui répugnait son père.
Pendant l’accouchement, sa mère perdit la vie en donnant naissance à Abigaëlle. Son père pleurait corps et âme sur le triste sort de sa femme qui avait enduré beaucoup de chose durant sa vie. Dès qu’il eut Abigaëlle dans ses bras, il fait une promesse de la chérire toute sa vie. Il aimait sa fille et faisait tous pour qu’elle ne ressente pas le manque d’un amour maternel. Dès l’âge de 8 ans, son père était sous pression pour plusieurs raisons, le travail, la maison, les frais scolaires…Il avait trouvé refuge dans l’alcool et quand il était vraiment saoul, il battait Abigaëlle oubliant sa promesse. La jeune enfant se taisait car elle connaissait la vérité sur sa naissance et elle se disait que si elle n’était pas née, rien ne serait arrivé. Elle ne parlait pas de sa mère avec lui, de peur qu’il replonge dans des souvenirs douloureux. Maintenant, son plus grand souhait était devoir son père sourire à nouveau. Son calvaire avait duré deux ans, sans que personne ne sache ce qu’il se passait dans cette maison. Cette pression devenait trop forte pour son père qui n’avait pas d’autre choix que d’aller rejoindre sa femme abandonnant la jeune fille.
A la mort de son père, Abigaëlle n’était qu’une enfant de dix ans et elle fut envoyer chez son oncle qui était devenu son tuteur. Il l’éduqua comme un garçon, à la dure, c’était une délivrance pour elle car elle croyait qu’elle était punie pour toutes ces fautes qui avait détruit toute sa famille. A l’âge de 17 ans, son oncle avait accumulé des dettes de jeux et était obliger de vendre la jeune fille…
Physique :
Abigaëlle a un visage doux qui laisse très peu d’émotion apparaître sauf si elle se sent obliger de le faire. Sa chevelure est de couleur châtain et des yeux bleu-vert qui s’harmonisent parfaitement avec son visage. Tout près de son œil, il y a une petite tâche de naissance dont la couleur est rouge ce qui est assez voyant. Son corps est élancé avec des formes généreuses, sa peau est blême mais çà ne gâche nullement son charme. Pour les vêtements, la jeune fille a une préférence pour les pantalons mais parfois elle porte des jupes. Elle ne veut pas qu’on remarque tout de suite sa classe d’esclave et donc elle prend soi d’elle avec un peu de maquillage. Mais c’est surtout ses ongles qu’elle chouchoute beaucoup.
Mental :
Abigaëlle va être dans un premier temps douce avec la personne essayant d’analyse son comportement. Elle se soumet mais tout dépend de l’ordre car sinon elle va négocier pour tirer un certain avantage. Pour mieux amadouer les gens, elle doit tout faire pour gagner leurs confiances et ensuite utiliser ces personnes sans être trop directe. En fin de compte, c’est une manipulatrice.. Mais dès qu’on se montre brutale envers elle, la jeune fille devient imprévisible et se met dans des situations qui peuvent lui nuire. La jeune fille prend les gens comme des objets car elle ne veut pas s’attacher de peur de souffrir à la suite. Abigaëlle a beaucoup de fierté et le montre dès qu’une occasion se présente à elle. Si une personne est précieuse pour elle, elle devient quelqu’un de sensible et de chaleureuse.
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