Enfin rentré [PV Aphrodite et Koyori?]

Aphrodite ne comprenait pas. Pourquoi n'était-il pas homosexuel si elle ne l'intéressait pas? Enfin, elle allait pouvoir jouer avec lui une fois arrivé à la maison. Son maître la fit entrer en premier, Aphrodite visita en courant la maison. À quatre pattes, elle visita une chambre qu'elle apprécia, elle allait sûrement prendre cette chambre. Même si elle aurait cette chambre, ce qu'elle aimait le plus, c'était de dormir à la pleine lune. Au pire, si elle ne s'amuserait pas comme prévue avec son jouet, elle partirait en fugue... Bref, elle allait sans doute passer une belle soirée en compagnie de son maître.

Aphrodite se rendit dans le salon où reposait le jeune homme. Un sourire en coin se dessina lentement sur ses lèvres encore enfantines. D'un pas silencieux, elle vint s'assoir sur se membre de son maître, elle mit ses mains sur les larges épaules de celui-ci. Comme une déchainé, elle vint l'embrasser avec une telle fougue, que même un humain normal aurait eu de la misère à faire mieux. La neïko continua ainsi de l'embrasser, commençant à mouvoir son bassin sur l'entre jambe du garçon. Elle caressa ses épaules en mettant une pression dessus pour qu'il la sente assez bien. Elle adorait cet homme. Elle avait comme un présentiment que ça irait plus loin ses avances... Mais il fallait en rester là! Elle avait envie de lui, elle le voulait qu'à elle seule. Aphro continua ses baisés, les rendants plus désirables. Elle voulait que son maître la touche, qu'il ait envie d'elle, qu'il ait cette flamme de désir qui le fairait aider à envoyer Aphrodite au septième ciel. Ou même plus, on ne sais jamais...

La neïko vint prendre les mains de son maître pour les mettres sur elle. La main droite sur sa hanche, cet endroit si désirable et si agréable à caresser. Elle mit l'autre sur son sein droit, qu'il pourait malaxer si il en avait envie. Elle lui laisserait le droit de faire ce qu'il voudrait de son corps. La chose qu'elle adorait le plus, c'était quand le jeune homme se laissait faire... Alors, voyons voir comment celui-ci allait réajir à ses avances.

''Rien me conviendra, mon ange.''

Quel étrange sensation de vouloir abuser de son maître. Jamais la jeune femme avait voulu faire une telle chose à un homme, surtout un maître. Mais elle avait envie de lui, de lui faire regretter de ne pas l'avoir embrassé en premier. Elle continua ses chastes baisés, lorsqu'une toux féminine se fit entendre. Les yeux grand ouverts, Ultima balança Aphrodite sur le côté, la faisant chuter contre le divan. La jeune femme posa son regard noir sur le corps de cette suposé neïko. Koyori. un nom affreux... Quoique, ce n'était pas vraiment un prénom affreux, mais aphrodite ne l'aimait déjà pas alors...

La jeune chatte se leva, regardant l'autre minette s'assoir au côté de leur maître. Elle leva un sourcil en l'air, la dévisageant. C'était son maître... Même si elle était la deuxième à être arrivé, elle voulait Mick que pour elle. Étant devene des plus égoiste, Aphro ne savait plus ce que le verbe ''partager'' voulait dire. Elle voulait tout pour elle, ne voulant pas prêter rien à qui que se soit. S'avançant vers l'inconnu, connu (XD), Aphro avait une envie folle de lui sauter au visage et de lui défaire sa jolie peignure, mais elle n'avait pas envie de se salir les mains... Donc elle ne fit rien.

La jeune chatte mit ses mains sur les cuisses de son maître, comme appuis et elle lui vola un autre baisé, plus tendre et plus... Désirable. Elle lui fit un petit sourir en coin presque invisible. Continuant de le regarder dans les yeux, elle fini par se remettre à la vertical pour se diriger vers sa chambre. elle ne voulait pas provoquer Koyori, elle avait juste envie de Ultima... Enfin rendu dans sa chambre, elle esperait que Mick viendrait vers elle. L'attendant plus ou moins, elle déplia un cartable rempli de poèmes. La dedans, elle écrivait tout ses émotions depuis qu'elle était enfant. Elle commença à les lires, un par un... Elle arriva à un poème qui décrivait un de ses anciens maîtres. Un cuisinier... Elle se souvenait très bien de lui. Il lui avait offert l'amour dont elle cherchait, tout deux, ils s'aimaient et vivaient une vie merveilleuse... Comme celle qu'elle pensait avoir avec Mickael.