Fin de mission et mélancolie [liibre]

Viviane venait de finir la derniére "mission" qu'elle avait a acomplire. A présent il lui faudrait attendre le prochain client. Elle ne voulait pas rentrer chez elle directement donc elle s'atardat au bord de la falaise.
Elle regardait en dessou d'elle, c'était haut, trés haut. Qu'arriverait il si elle faisait un pas en avant ? Elle, la petite fille qui avait tout perdu, son pére, sa mére, celui qu'elle avait aimé ... Non, elle ne pouvait pas se laisser sombrer dans la déprime et vouloir donner fin a sa vie, maitenant elle travaillait, elle faisait la fête le reste du temps, sa vie était plutot facile ... et surtout, elle devait retrouver l'homme blond, celui qui avait tué sa mére juste devant cette petite fille de 7 ans ... devant elle.

Les cheveux de Viviane volletaient dans le vent, déssinant une traine de feux dans le dos de la jeune femme. Elle était là, face au vide, dans le vent, entrain de se rapeller son triste passé.
Elle revoyait les traits de celui qu'elle avait aimé, elle voulait s'en souvenir sous son plus beau jour, mais la seule image qui lui revenait sans cesse a l'esprit était le visage de son ami, couvert de sang, les yeux fermés, la bouche a moitiée ouverte avec quelques fragments de verre dans la lévre.

Cette image revenait sans cesse, elle devrait faire avec. Elle n'y pouvait rien, son esprit ne voulait aps effacer cette vision.

Perdue dans se spensée, elle n'entendit pas les pas dériére elle, d'un côté, c'était plus sur pour l'inconnu dériére elle.

Viviane se retourna d'un bloc en entendant quelqu'un lui parler, les yeux grand ouverts, scrutant l'homme en face d'elle, un blond ... mais pas celui qu'elle recherchait, ou sinon, il avait raptissé, ses cheveux et ses yeux s'étaient éclaircis, ses trait s'était adoucis et sa carrure était devenue moins importante.

Elle était sur ses gardes mais se doutait qu'il ne lui voulait pas de mal, déja parce qu'il lui avait demandé de faire attention et ensuite, s'il voualit l'attaqué, il aurait profité du moment d'absence de la jeune femme.

Elle s'approchat de lui de sa démarche féline, ses cheveux et sa longue veste de cuire flottaient dans le vent. Elle s'approchat lentement de lui, a la foie belle et effrayante. Elle s'arettat devant lui, ses beaux yeux bruns n'avaient pas de reflets rouges pour une foie, et le fixa dans les yeux.
Elle lui sourit gentilment.

-Merci ...

Le ton de sa voix était calme et enjoué a la foie, mais elle n'en restait aps moins sur ses agrdes, préte a déguéner une lame ou une arme a feu au moindre geste suspect.
C'en était fatiguant de toujour devoire surveiller ses arriéres, toujour étre sur ses agrdes, préter l'oreille a tout et n'importe quoi, toujour les muscles bandés ...

Elle soupira et se détendi légérement, il n'avait vraiment pas l'air dangereux ... même si les apparences pouvaient étre trompeuses.

Elle sourit plus franchement et retrouva vite son visage d'ange.

Anthony sursauta quand la jeune femme qui était en face de lui ce retourna vivement. Mettant une main sur son coeur qui battez à tout rompre, ça lui avait fait peur. Mais il a dû lui même faire peur à la jeune femme, heureusement qu'il avait parler doucement.

Il avait l'empression que la femme était sur ces gardes. Elle n'avait pas à l'être, il n'était pas dangeureux, il n'attaquerait jamais personne. Si il attaque c'est uniquement pour ce deffendre.

Anthony regarda la femme d'un air curieux, cette dernière s'approcha de lui lentement. Il se mit à l'observer, en effet la jeune femme était plutôt belle.

Une minute, pourquoi était-il simpat avec elle...? Il ne devez pas montré cette personnaliter de lui dès la première rencontre. Normalement il doit être froid, méchant et tout ce qui s'en suis avec tout le monde. Bref, maintenant c'était trop tard, elle connaissait directement ça vrais personnaliter.

Anthony rougit doucement, quand il la vie sourire. C'était pas son genre de rougir devant une femme.

- Hoo je vous en prit...il n'y à pas de quoi.

Il prit une pose, puis il demanda:

- Puis-je vous demander, ce que fait une jeune femme comme vous dans ce genre d'endroit....?

Viviane l'observa encor plus longtemps, en silence, un visage de plus gravé dans sa mémoire déja remplie de tout le monde et n'importe qui, d'amis, d'enployeurs, de clients, d'énemis, d'inconnus maitenant en prison, de morts, de famille disparue ...

Elle scruta le visage du jeune homme, il était entrai de se faire une sorte de petit conflit intérieur ... Aurait il dut se comporter auteement au premier abord ? Esqu'elle lui rapellait quelqu'un ?

Viviane ne put retenir un sourir amusé en le voyant rougire.
Il lui posat ensuite un question ,la question ou même Viviane ne savait aps quoi répondre. Que pouvait elle dire ? Elle ne savait même pas pourquoi elle s'était aréttée la.

Elle mit une main sur sa hanche et fit un petit sourir en coin.

-Trés bonne question ...

Elle le fixa de ses yeux émeraude avant de construire sa réponse pour ne pas lui mentir inutilement et pour ne pas tout révéler non plus, simple habitude.

-A vrai dire, je ne voulais pas rentrer a Olphéra directement, j'ai donc déssidé de m'aretter en route pour admirer le paysage.

Elle le regarda a nouveau et se souvint du début de sa question.

-Comment ça une femme comme moi ?? Que voulez vous dire par là ?

Elle fronça les sourcils en le regardant. Alors comme ça il lui avait déja colé une étiquette ? Viviane était bien curieuse de savoir laquelle.
Il jugeait les femmes au premier coup d'oeil ? En combiuen de catégorie clasait il les femmes qu'il rencontrait? Les clasait il seulement ? Viviane ne s'était elle aps fait d'idées ?

Viviane ocha simplement la tête pour ses preméires phrases mais ne put se retenir de rire quand il ésséya de s'expliquer. Elle éclata d'un rire clair, ça l'embrouillait ? Bin voila elle n'était pas la seule a ne aps savoir ce qu'elle faisait ou disait.

-J'attend d'avoir une explication avant de me véxer ... Ca devrait aller pour cette foie ... Ne me demandez pas si vous pouvez faire quelques chose pour réparer ça, vous risqueriez de le regretter ...

Elle lui fit un petit sourir provocateur en le regardant dans les yeux. S'il lui proposait de faire ce qu'elle voulait, il ne savait aps a quo is'attendre.
Viviane sourit a nouveau, plus naturellement, elle le trouvait trés beau quand il faisait la moue. Il avait du faire ça toute sa vie, c'était impressionant.

-Au passage, merci pour le compliment...

Tien il la trouvait belle ... A part si c'était de la simple flaterie, possible aussi. Ou simplement une technique pour ne aps se faire baffer quand il disait ça a une femme. La flaterie marche souvant sur les femmes, pas toutes. Il n'y a que deux sortes d'êtres sensibles a la flaterie, les animaux domestiques et les femme. Viviane se le répétait souvent.

Ben oui, si Anthony pouvez réparé ses erreurs il le ferait, qu'importe de quoi il s'agissait il était habitué à tout, même aux trucs les plus fou.

- Pourquoi ça je pourrais le regretter, si je vous dit ça...? Sachez que j'insiste, j'ai vraiment étais nul sur ce cou...enfin maintenant c'est vous qui voyer, qu'importe ce que vous demandez.

Anthony ce demandai vraiment ce que la jeune femme allez faire, si elle accepter la demande qu'il avait fait. Il en avait aucunes idées, franchement. Mais bon pour le moment il s'en ficher. Tony vit soudain le sourire provocateur qu'eu la jeune femme en le regardant. Il rougit gêné, en parlant de rougir, il commencer à en avoir mare. Mais bon c'était dans la nature de son vrais lui, il n'y pouvez rien.

- Hooo ben de rien...si ça vous fais plaisir...

Bien que Tony fait de temps à autres des bourdes, il n'a presque jamais était baffer par les femmes. Quand il disait à une femme qu'elle était belle, c'était parce que il le pense vraiment et que c'était pas une pensée qui venez comme ça. Soudain il sentit un vent fort s'abattre sur eux, le faisant frissonner, heureusement qu'il n'était pas à coter du vide, sinon vue la force du vent, lui il serait forcément tomber dans le précipice.

[mouahahahahahaha ^^ je suis diabolique ^w^]

Viviane le regarda, légérement étonée. Il ne devrait aps lui dire qu'i ferait n'importe quoi ... Même si pour le moment, aucunes idées ne lui venaient a l'esprit, elle pouvait demander des choses vraiment affreuses. Si, il y avait une chose, une seule qui pourait vrailent l'aider et la soulager.

-Si vous tenez vraiment a vous faire pardonner ...

Elle sortit d'un geste vif un petit carnet et un crayon qui se trouvaient dans une poche intérieure de son long menteau, faisant bien attention de ne pas montrer le revolver qui se trouvait également dans une poche intérieure. Elle ouvrit le petit carnet, il était toujour utile vut le métier qu'elle faisait, tourantn quelques apges griffonées de nom, d'adresses, et de taches a acomplire; et se mit a dessiner. Elle griffona un visage, le visage d'un homme, un visage dur, mais ressemblant traits pours traits a l'homme qu'elle recherchait.
En dessous elle notat son nom, son prénom, son adresse et un numéro de portable.
Elle déchira la feuille et la lui tendit.

-Si vous croisez cet homme, je vous prirez de me contacter, en principe, il est blond, ses yeux sont bruns et il a la peau claire.

Elle ne souriait plus, ça devenait important. Elle lui tendait toujour la feuille quand une rafale de vent la fit vaciller et elle se rattrapa a Anthony. Elle attendit ainsi, une main tenant son esquisse et l'autre la chemise du jeune homme, la tête légérement béssée et reposant a peine sur le torse de son interlocuteur, que le vent se calme.

[j'avais dit que j'était diabolique non ?]

["Cas t-il fait?" Qu'a-t-il fait ^^ lol moi aussi je suis nule en othographe mais ça j'ai remarqué donc voila ^^]

Viviane rouvrit doucement les yeux quand il lui parla, elle planta son regard brun dans les yeux clairs du jeune homme et se redressa vivement, mais quesqu'elle faisait la, elle était provocatrice, d'accord, mais aps dans un moment pareille, c'était important.

Il voulait savoir pourquoi elle le cherchait ? Viviane n'y voyait pas d'incovénients, elle s'était fait a l'idée de la mort de sa mére depuis longtemps, même si elle n'en avait pas beaucoup parlé. Elle toussota pour retrouver son sérieux et pour repousser les idées provocatrices qui lui venaient a l'esprit, et pour se concentrer sur le ,jeune homme.

-Je ne vois pas pourquoi je le vous le cacherais, si vous pouvez le retrouver, autant que vous sachiez pourquoi vous le cherchez.

Elle fit un mince sourir et le fixa dans les yeux.

-Cet homme a tu...

Le smots restaient bloqués dans sa gorge. Elle baissa les yeux, respira a fond, et recommença.

-Il a tu.. Il a ...

Pourquoi n'y arrivait elle pas? Elle qui paraissait si insensible. Ca faisait 15 ans que ses parents étaient morts, tous les deux par la faute de cet homme et de sa folie. Depuis 15 ans, elle ne les avaient plus vu, elle y avait pensé, elle avait souvent pensé au jour ou elle le retrouverait, elle en avait parlé a son compagon, mort lui aussi... Elle avait 7ans a la mort de sa mére, plus elle y pensait, plus elle détestait cet homme.

-Il a tué m...

En prononsant le mot "tué", les images de ses parents mourants revenait a grand galop dans son esprit. Son pére, alité, soufrant le martir, puis se taisant a jamais.
Sa mére, juste devant elle, le blond en face d'elle, un revolver a la main, il avait tendut le bras, le canon de l'arme a feu touchait le front de sa mére, il apuya sur la détente, ensuite, tout était flou, rouge, oui rouge sang, elle revoyait le corp de sa mre, baignant dans son sang, sur le tapis de l'entrée, c'est comme si elle y était a nouveau, elle la petite fille de 7 ans qui venait de devenir orpheline.

Elle respirait rapidement, difficilement, par a cou. Ses yeux étaient a présents sans vie, vide. Elle avait mal, trés mal. Faisait elle encor une crise d'hyperventilation ? Surement, ça lui était arrivé une foie à l'orphelina, aprés une dispute avec un tyran miniature, le jour ou elle lui avait entaillé le bras ave cun couteau a dents. Elle avait eu mal ce jour la aussi, moins mal que maintenant.
Viviane croyait moiurir, une nouvelle foie, elle tomba a genous, une mains a la poitrine et l'autre au cou. Sa respiration était alletante, elle pleurait légérement, mais elle n'en avait plus rien a faire. Elle avait l'impression de plonger au fin fond de l'enfer, le corp de sa mére revenait sans cesse devant ses yeux, elle avait de plus en plus de mal a respirer. Elle croyait mourir, mais pour la deuximée foie, elle reterait en vie.

Anthony prit la jeune femme dnas ses bras, apparament il savait comment calmer la crise. Il fouilla dans ses poche, et il tomba sur celle contenant le revolver, mais Viviane n'y prétait pas attention ,elle souffrait trop, n'arrivait pas a se calmer, elle avait peur, elle avait mal, et elle stressait, ce qui n'arangeiat pas son état. Le jeune homme tomba enfin sur le sac en papier et le plaça devant le nez et la bouche de viviane, celle ci posa sa main droite sur le sac, et elle attrapa la chemise d'Anthony de l'autre. Sa respiration ralentit légérmeent, elle serra la main gauche, elle avait surement griféé Antohny au passage, mais elle avait d'autre préocupations pour le moment. Elle ferma les yeux et essaya de se calmer, c'était dur mais faisable. Sa respiration devenait a peut prés normale. Elle restait les yeux fermés, encor un instant, elle souffrai toujour, mais c'était suportable. Les derniéres larmes coulérent le long de ses joues, elle respira profondément et lentement, toujour le sac en papier sur la bouche et le nez. Elle rouvrit les yeux, serrant d'avantage la main gauche.

Elle restat un instant muette, le temps de se reprendre, elle retira le sac en papier et atendit un instant, toujour dans les bras du jeune homme. Elle avait l'air de respirer a peut prés normalement. Pour répondre a la question préssédente d'Anthony.

-Maman, c'était ma mére ... Sous mes yeux ...7 ans

Les larmes s'étaient remises a couler le long de ses joues, pourquoi lui raontait elle tous cela ... La seule persnne a qui elle en avait aprlé, c'était son petit ami. Et maintenant, elle racontait sa vie a un parfait inconnu ...
Même si elle éssayait de s'aretter, les larmes coulaient toujour le long de ses joues, et elle serra d'avantage la chemise du jeune homme dans le creu de sa main.

Après que Anthony eu mit le sac en papier sur le nez et la bouche de la jeune femme, il vit avec surprise, cette dernière attraper sa chemise et de la serrer. Bien sur il lacha le sac de papier, pour laisser la jeune femme ce débrouiller d'elle même, maintenant qu'elle tenez le sac. Tony vit avec plaisir, Viviane réussir à ce calmer doucement. Il la tenez toujours dans ses bras, comme il le faisait avec ses clients quand il y avait ce genre de crise, jusqu'a temps que sa ce calme completement.

Puis une fois calmer, la jeune femme retira de son visage le sac de papier et elle parla. Viviane lui répondit que sa mère a était tuez sous ses yeux quand elle était jeune. Ainsi voilà pourquoi elle rechercher cet homme, c'était lui le meutrier et elle voulait venger la mort de sa mère.

- Ho...je suis désolé...je ne penser pas que c'était aussi grave que cela...

Anthony prit une petite pose, serrant d'avantage la jeune femme contre lui, pour tenter de calmer ces pleure, la berçant doucement, comme pour les enfants. Il reprit:

- Je vous promez de vous aidée à rechercher cet homme, dès que je le voie je vous préviens...est ce que vous avez besoin de quelque chose, maintenant...?

Voir Viviane pleurer comme ça, le rendez triste, même si il ne la connaissait pas du tout. Et dire quand premier lieux il aurait du être froid et distant, mais il avait completement oublier de mettre son masque. Tony penser qu'il a eu en fin de compte bien fait de ne pas avoir était froid et distant, sinon il penser qu'il n'aurait pas pu savoir tout ça.

Elle l'écoutait d'une oreille distraite,elle était plongée dans ses pensée, dans son passé, et luttait intérieurement pour revenir au présent. Il parlait, mais elle ne l'écoutait pas, elle désséra légérement la main gauche et, le regard vide, se redressa légérement. Une fois assise, elle leva ses yeux bruns remplis de larmes vers Anthony. Elle alcha sa chemise et éssuya ses larmes d'un geste simple. Elle ferma les yeux un court instant et repenssa a ce qui venait de se passer, i lavait fouillé dans ses poches pour trouver le sac, étiat il tombé sur une de ses armes, en principe, elle n'avait qu'un revolver dans les poches de son manteau, l'avait il trouvé?
Viviane passa sa main dans les poches interrieure de sa longue veste pour voir si tout y était encor, elle avait l'habitude de ne faire confiance a personne, il n'échapait pas a la régle. Ses doigts éfleurèrent le métal froid. Viviane soupira de soualgement, même si elle préfairait les armes blanches, un révolver était bien pratique.

Elle se mit sur les genoux et posa un main a sa poitrine, elle aviat encor mal, mais c'était a nouveau suportable.

*De toutes fassons je vis dans la souffrance, un peut plus un peut moins, pas de grandes différences.*

Elle récupéra le sac en appier qu'elle avait lessé sur le sol a côté d'elle et le rangea dans une poche. Elle regarda un instant Anthony, son regard était encor un peut vague, mais il retrouvait rapidement son expression froide, en résumé, elle revenait a son état normal.

Viviane bessa la tête un isntant pour chasse a nouveau les souvenirs qui la torturaient encore. Son comportement avait changé trés brutalement, mais en tout, elle n'avait que 4 versions, l'appparance froide et dur qui n'a peur de rien, celle qui replonge dans ses souvenir, qui déprime et se met a pleurer, la provocatirece, et la douce. Pour le moment, c'était la froide, elle ne savait comment se comporter avec lui, c'est grace a lui qu'elle s'était calmée ... a vu de nez il avait l'air gentil, et elle 'laimait bien, pourquoi ? absolument aucunes idée.

-Oui, ça va mieu merci

Elle lui souri pour fair bon effet, alors qu'en principe elle n'en avait absolument rien a faire. Elle allait se lever quand il reprit la parole. Son arme ? Apparament il était tombé uniquement sur le revolver, il aurait aussi eu du mal a tomber sur ses armes blanches qu'elle dissimulait un peut partout sur son corp.

-A quoi elle peut me servir ?

Viviane ne put s'empécher de sourir, pour elle c'était presque naturel d'étre couverte de lames et d'avoir u nrevolver dans sa poche ... toujours.
Elle passa sa main dans sa veste et d'un geste rapide et préssis, elle sortit le revolver. Au lieu de le tenir comme si elle allait tirer, elle le prit a plat dans sa main droite.

-Vous avez bien senti. Si vous voulez tout savoir, elle me sert assez souvent. Mon métier est risqué et je met souvent ma vie en péril, donc soit elle me sert a me défendre, ou sinon ... a attaquer.

*Yaou, quelle logique ... je suis encor fatiguée, c'est surement pour ça ...*

Elle avait dit cela trés naturellement, elle en avait l'habitude. Mais même si en la fouillant c'était son revolver qu'on trouvait en premier, elle préfairait les armes blanches. D'ailleur elle avait en tout aumoins 4 dagues ou fins couteaux sur elle, un dissimulé sous ses vétement, entre ses homoplates, un autre sous sa ceinture, un 3éme accroché a une fine laniére de cuire sur sa cuisse gauche, et le 4éme dans sa botte droite ... elle ,était presque sur de ne jamais être désarmée, ça la rassurait.

Elle passa la main gauche ds ses cheveux, ça ne la dérangeait aps de montrer le revolver a cet inconnu, mais elle ne savait pas comment il allait réagir, peut être surpris, ou appeuré, ou sinon, rien du tout.

Il avait l'air plus surpris que appeuré ou autre. Il la questionna sur son métier aprés avoir observé l'amre sous toutes ses coutures, elle ne pourait aps garder son hatitude froide avec lui, elle le trouvait charmant et attendrissant. Il n'auserait pas porter une arme ?? la peure de la prison peut être, oui surement, et il n'en avait surement aps l'utilitée.

-Je suis détective privée, elle me sert donc assé souvent ... Et je n'ais aps a avoir peur des otoritées, mon droit de port d'arme est en régle, donc en principe il n'y a pas de probléems.

Elle n'était pas habituée a parler autant d'elle et de son travaille mais avec lui elle n'y voyait aps d'inconvéniants, ua pir si elle en disait trop et qu'il répétait, elle pourait régler cela et le réduir au silence, mçeme si elle n'avait aucunes envies de faire du mal a Anthony, s'il le fallait elle le ferait.

-Maintenant ? Je ne sais pas, je pense que je vais rentrer chez moi et attendre une future mission, ou un coup de fil de votre aprt me disant que vous avez trouvé celui que je recherche ... Tiens, j'y penses, je ne connais même aps votre nom.

Elle fit un petit sourir en coin en le fixant dans les yeux et en attendant qu'il parle de lu ia so ntour.

Le jeune homme écouta avec attention Viviane parler. Alors comme ça elle est détective privée...? Il n'aurez jamais crut que son métier serais ça. C'est donc aussi la première fois qu'il voyer un détective. Il comprenait maintenant pourquoi elle porter une arme.

- Ouaaaa Détective Privée....j'aurez jamais penser ça...

C'était impressionnant quand même de faire ce genre de métier, il y avait des risques aussi bien sur , d'ou le port de l'arme sur soit. Anthony se demanda qui est ce qui était au courant du métier de la jeune femme. Il lui posa la question curieux comme tout:

- Combiens de personnes sont au courant de votre métier...?

Tony devrait arrêter d'être aussi curieux comme ça, cela allait lui apporter des ennuies à la force. Enfin c'est ce que dit le dicton. Puis la jeune femme lui dit qu'elle allait sans doute entrée chez elle, attendre soit une futur mission ou alors son appele. Son prénom...? Aurez-t-il oublier de ce présenter...? Faut dire qu'il ne connaissait pas non plus celui de la jeune femme.

- Je m'appele Anthony Ashina...et je vit à Olphéra depuis que je suis né...

Il prit une pose, puis regardant la jeune femme il retourna la question:

- Et vous...?

Elle ne put s'empécher de sourir a la réaction du jeune homme, un peut éccéssive a son gout. Il la questionna a nouveau, il était bien curieux, enfin tant qu'il ne révélait aps a tout Olphéra quel métier elle éxerçait ... ça ne la dérangeait aps vraiment.

-Combien de personnes conaissent mon métier ? Tous mes clients, et mes "victimes", ainsi que vous a présent, mais personnes d'autre que vous n'aiyant pas encor eu a faire a moi n'est au courant ... Donc je vous prirais de ne aps le révéler a la terre entiére...

Sa derniérre phrase était prononcée sur un ton pas trés rassurant, une menace dissimulée. Elle le fixait dans les yeux, le soleil se couchait et ses élcats brillaient dans les yeux de la jeune femme, colorant ses yeux en rouge sang, un peut comme ses cheveux. Elle l'écoutat répondre a sa question. Anthony ... Anthony Ashina, elle s'en souviendrait. Il lui retourna sa question, elle se tut un instant avant de aprler.

-Je vit égualement a Olphéra depuis ma naissance ... Et pour mon nom ...

Elle fit un petit sourir en coin et, d'un geste vif, elle sortit la feuille sur laquelle elle avait fait le portrait de celui qu'elle recherchait, de la poche du jeune homme. Elle la déplia et désigna le nom qu'elle y avait notté, entre l'adresse et le numéreau de téléphone ...

*Comment ais-je pu donner autant d'informations sur moi a un inconnu ?*

la jeune femme se mordi la élvre en se rendant compte de ce qu'elle venait de faire.

Viviane eu un petit sourir en coin a sa réplique ... un de ses énemis ? Elle n'avait qu'un seul énemi, les autres étaient des victimes, des prois sur lesquelles elle se gettait comme un fauve enragé et assoifé de sang ... Cette comparaison lui convenait a merveille.

Pendant qu'elle se faisait ces réfléxions, le jeune homme s'étona sur le fait qu'il ne ml'ai jamais aperçue avant. QUand elle y rélféchissait bien ,elle ne l'avait jamais croisé non plus. Sinon elle l'aurait reconu, elle aurait retenu la forme de son visage, la courbe de ses joues, la couleur de ses yeux et de ses cheveux...

"A vrai dir, je sort plutot la nuit, dans des bars ou des boites de nuit ... Si vous ne fréquentez aps ce genre d'endroits et que vous n'étes aps un client ou une de mes victimes, vous avez peutt de chance de me croiser."

Effectivement, a part les hommes qu'elle atirait dans ses filets ses clients et ses victimes, peut de gens la voyait de prés. Si, les barmans.
Il regarda le petit papier qu'elle lui agitait sous le nez avant de lui deamnder si c'était bien elle Viviane Darah.

*Non je suis la suzeraine d'une bande de loups garous ...*

"Oui je suis Viviane Darah. Et je ne suis aps spécialement inquiéte, je me dis juste que je suis une aprfaite idiote ... Un détective se doit de toujour rester sur ses gardes et surtout, de ne pas révéer tout et n'importe quoi sur lui ... Et je vien de vous raconter une aprtie de mon enfance, de vous donner mon nom, mon adrese et mon numéro de téléphone ... tous ça pasque je veux retrouver un homme ... alors que je ne vous connais pas ... Je suis uen aprfaite idiote."

Elle soupira en baissant la tête. Si elle avait pu se dédoubler, elle se fraperait en se traitant de tous les noms d'oiseaux possibles et imaginables.