Jour Anniversaire

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Assis dans une cage, comme personne ne le savait vu que personne n’a lu la fiche de présentation, Raphael attendait. Quoi au juste, lui seul le sait. Mais le fait est que ça faisait déjà quelques heures que ses amis l’avaient amenés à se trouver où il était et que le temps commençait à se faire long. Pas que l’espace exigu qu’il occupait n’était pas confortable, c’était un euphémisme, mais il s’ennuyait ferme et la situation qui au départ l’amusait lui paraissait morne, le laissant indifférant.
Tout ce qu’il lui restait à faire : Patienter, jusqu’à ce que la plaisanterie prennent fin, et si ça n’en était pas une alors, jusqu’à ce qu’une âme charitable ne le sorte de là.

Au départ, il avait joué avec les pants de son écharpe, mais au final il s’en est lassé rapidement. Par la suite, il a bien tenté de compter le nombre de cages ou de taches de crasse {ou de propreté qui transparaissent} sur le sol. Mais en vain, rien ne pouvait le satisfaire autant que sa liberté. Il se retrouva donc entrain de prier…Prier pour sortir plus vite, prier pour se réveiller, qui sait ?

D’apparence extérieure, il était clean, pas d’autre mot possible. Habillé en conséquence, c’était son anniversaire après tout, alors autant être class’ non ? Aucune tâche, aucuns faux plis, juste une mine grise et défaite par les circonstances. Si on oubliait ce petit détail, il était à croquer et son prix serait à son image, assurément exorbitant…

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Yosuke venait venait de finir a l'aube son "métier" qui était de vendre son corps pour avoir de quoi payer le loyer de manger et de s'habiller convenablement pour le jour. Il était 6h du matin, Yosuké était habiller en noir, des vetements plutôt sexy, de cuir. Genre un travesti. Mais a son grand étonnement il n'était pas le seul homme a le faire. Cet petite blond, au corps féminin avançant hors de son térritoire pour rentrer enfin chez lui après de longues nuits passer avec des clients. Toujours son bandeau a l'oeil, l'air épuiser, il entama son chemin d'un pas lent avec son allure sensuel, qui se déhenchat, c'était une habitude, il ne le faisait pas expret loin de là. Dans son silence, il regardait les marcher et les magasins s'ouvrirent se préparant a d'eventuel clients quelques soit se qu'ils vendaient.

Yosuke était pas très fière de ce qu'il faisait mais personne ne le reconnaissait le jour, mais la peut être que si. De type en générale pudique et reserver, il s'extravestissait a contre coeur les soir rien que pour survivre pourtant il s'était enfin enfuis de son ancien maitre pour devenir libre a son tour. Alors qu'il passait dans les ruelles le jeune garçon s'arreta devant la boutique d'esclave. Il ne l'avait encore jamais vu, il regarda intriguer sur ce comment était traiter ces derniers...

Curieux de nature, l'air neutre il ouvrit la porte pour entrer. Se lieu infecte le répugnant il aurait aimerait repartir, mais n'aimant pas la solitude une idée lui vint. Pourquoi ne sauverait-il pas un d'entre eux? Cert il faudrait faire des choix mais il ne pouvait pas sauver la planete. Alors qu'il marchait dans les allés, un garçon habiller assez chiquement par raport au autres esclave, sa attira évidemmet l"oeil du blond qui s'apporcha l'air assez confiant malgré la fatigue qui se lisait sur son visage.
Tout près des barreaux il dit d'une voix douce .

" Salut toi.. Dis-moi sa te dirais de venir chez moi? je te sors d'ici tu est d'accord?... Comment-t'appel tu?"

Il souria avec une voix rassurante , il attendit la réponse du jeune, le vendeur gaieté evidemment le jeune blond.

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Etouffant un bâillement, il en était venu à compter le nombre de carré que faisaient les barreaux entre eux. Là au moins, il ne pouvait pas dire que ça risquait de l’ennuyer vu que le nombre n’était jamais le même, ainsi il devait toujours recommencer. C’est quand il en fut arrivé au cent quarante-sixième qu’il entendu la porte du magasin ouvrir. Seul un sourd aurait pu échapper au cliquetis grinçant et au son atroce de cette vieille clochette qui pendait il ne savait ou. Autant dire que par moment, être imperméable au bruit environnant lui semblait être une douce solution.

Reprenant son compte…Ou plutôt recommençant au début, il fut bien vite distrait en entendant des pas se rapprocher. Levant la tête, il se trouva face à un blondinet, borgne à priori, qui en fait était bien plus proche qu’il ne s’y était attendu. A moins qu’en fait, il ne marche vite, ou ne fasse de grandes enjambées…Ou plus simplement, Raph’ n’avait pas fait attention. Toisant l’inconnu qui lui causait, il réfléchit quelques instants avant de…

« Alors c’est comme ça que ça se passe ? Un oui et le proprio te sort de là ? Ou bien j’ai un traitement de faveur ? »

Bon ok on a vu plus sympa, mais se retrouver pendant des heures en cage, délaissé par sa famille, ses amis et son mec ! Ca vous fout dans un état…psychologiquement instable et pitoyable. Après un certain temps pendant lequel il était resté silencieux à bougonner…

« Raphael »

Simple mot, mais présentation quand même.

« Je t’ai tapé dans l’œil pour que tu veuilles de moi ? »

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Le blondinet n'appreciait pas cette endroit, qui lui rappelait quelques souvenir de son passer quand il était plus jeune, lui aussi avait était un petit esclave mais maintenant cela était finis. Devant le barreau d'un entre eux, ce dernier le toisa. Yosuke resta neutre mais toujours avec un sourire plutôt rassurant. Malgré sa le petit brun prenait un ton ironique mais accepta son offre. Après tout cela était normal qu'il n'avait pas confiance, Yosuké était un inconnu pour ce gosse, mais il ne dit rien de plus appelant le vendeur par un simple petit son qui sortit de sa bouche. Avant de passer ses mains dans ses cheveux, il soupira la fatigue prennait vraiment empleur sur lui baillant la main devant la bouche. Il répondit d'une voix douce.

" Apparement oui. Je comprends que tu n'est pas confiance mais sache que je ne te veux aucun mal."

Il avait un regard sérieux et une voix vraiment appaisante, comment pouvait-il faire pour rassurer un tel homme? Il venait être priver de sa liberter! Yosuké n'avait pas détacher son regard de celui du jeune homme, son corps ne lui interressait pas . Il voulait faire un bon geste sachant ce qui avait lui même vécu.... il se sentit géné pendant un instant, se raclant la gorge, fronçant très légerement les sourcils, voyant le vendeur enfin arriver.

" Non tes habits mon intriguer. Pas rapport aux autres tu est bien habiller alors je suis venu.. voir. Je ne suis pas un pervers même si mes habits dise peut-être le contraire. Peut importe ton jugement. Voila ce que l'ont va faire. Je t'achete vu que je suis obliger pour te sortir de la et après tu est libre. Soit tu part car tu est libre ou soit tu viens chez moi et je t'offre un toit, de la nourriture, des vêtement, mais je te garantis pas la luxure...ouvre s'il vous plait."

Toujours son petit sourire sincère et se regard aussi rassurant, il parla d'une voix douce en regardant le vendeur ouvrir avec ses clefs la cellules du jeunes esclave Il sortit ses quelques billets quil avait recolter cette nuit . Yosuke se retourna pour aller vers la sortit mais avant il dit.

" Te voila libre, prends soin de toi. salut"

Sur ce il passa la porte dans un silence, et une marche lente..

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En pleine réflexion qu’il était, Raph’ zappa une partie du monologue de l’inconnu qui semblait bien décidé à prendre racine face à lui. Seuls quelques mots furent captés par son cerveau : Confiance, ça il ne risquait plus de l’offrir ; Pervers, était-ce un détraqué sexuel ?; Libre, et comment qu’il le voulait ; Toit, ça pourrait être sympa ; Luxe…Ca lui manquait déjà ça…Ce n’est qua lorsqu’il entendu les mots : « Ouvrez s’il vous plait », qu’il reprit pleinement possession de ses moyens.
Bon le bruit de la porte et des clés à un peu aidé, ou même beaucoup, mais qu’importe, porte ouverte = sortie, sortie = liberté alors autant ne pas rester là-dedans. Ce n’était pas comme s’il avait le choix. Ou comme si l’envie de rester pourrir dans ce taudis lui prenait soudain.

« Je suppose qu’un Merci s’impose …»

Ce que ça pouvait l’énerver d’avoir une dette envers quelqu’un, et quelle dette ! Envers un inconnu en plus. Dans quelle galère l’avait-on foutu au juste ? A présent que l’extérieur l’appelait, que devait-il faire ? Rentrer chez lui était une idée plaisante, mais pour y trouver quoi au juste ? Après tout on l’avait jeté en cage et vendu…Et cette personne l’avait acheté aussi… Bon le premier point était…

« Et bien merci. »

Replongeant dans les méandres de son esprit tordu, il continua son monologue intérieur…A quoi bon rentrer si on se foutait de ce qui pouvait lui arriver ? Non si on avait fait un trait sur son existence, il ne donnerait à personne la satisfaction de semblait avoir besoin d’eux. En attendant il semblait avoir trouvé un compromis et en attendant mieux, il ne pouvait que suivre l’inconnu.

« Tu as un nom ?»

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C'était réelement ce qu'il pensait, il ne traiterait jamais cet homme comme un esclave si celui-ci décidait de le suivre. Après avoir dite les "conditions" de cette liberté, Yosuké avait commençer a partir. Il était presser oui, il voulait son lit, paix et tranquillité s'était tout ce qu'il demandait a cet instant. Il avait fait ce qu'il devait et voulait faire a présent, son seul bien l'attendait dans son chez lui. Dormir serait la meilleure chose. Il bailla encore un coup s'étirant légerement, maintenant hors de la boutique, il admirait le soleil levant qui réchauffait son visage, eclairant ses cheveux blond. Toujours silencieux, avec une petite moue, il entâma une marche silencieux vers son petit appartement qui ne se trouvait plus très loin heureusement. Il n'avait pas encore entendut l'esclave et ne savait pas ce qu'il était devenu, et ce qu'il avait donc choisis. Après quelques pas, presque trainard, ou feignant pour certain, malgré un allure très belle Yosuké entendit un "merci" et demanda même son nom.

Il pouvait en conclure qui le suivait . Après tout peut être que celui-ci n'avait plus de toit, en faisant cette proposition il n'avait pas réfléchit que raph' avait peut être tout perdu. IL eu un petit soupire entre plaisir et soulagement, sachant qu'il n'allait plus être seul enfin. Malgré qu'il n'allait pas toucher a ce garçon . Puis il répondit d'une vois plus chaleureuse encore.

" Tu n'as pas a me remercie. Tu me dois absolument rien. Je m'appel Yosuké azaami. A tu des questions particulières? "

Il détourna son regard vers lu pour lui offrire l'un de ses plus beaux sourire qui ne devoila que très peu souvent, marchant il remarqua alors les appartements aux quels le siens y étaient...

" Nous y voila! ^^"

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Le voilà enfin dehors mais qui suivait un type de qui il ne savait au final rien du tout. Marchant en retrait, faudrait pas sembler trop dépendant ou lèche botte non plus, Raph’ ne savait pas ou allait le mener cette petite promenade, d’ailleurs il appréhendait assez ce qu’il découvrirait. Soupirant légèrement face à la tournure que prenait la situation et le tournant que sa vie allait prendre sous peu, il laissa son regard se fixer sur le dos de son pseudo « maitre ». Parce qu’autant le dire d’entrée de jeu, il n’allait jamais s’abaisser à appeler quelqu’un de son âge ou pas loin : Maître. A moins qu’il ne tombe sur la tête, vous êtes nez cent ans trop tôt. C’est bien une des choses qu’il serait incapable de sortir sérieusement à quelqu’un et puis le blondinet n’avait-il pas dit qu’il pouvait partir ? Juste ça confirmait le fait qu’il n’était pas totalement un propriétaire, plutôt un compagnon de fortune assez cool pour accepté quelqu’un chez lui.

Sur ces entrefaites, il se prit un sourire radieux auquel il ne s’attendait pas du tout. Ce Yosuke, c’était donc son nom, semblait crevé et pourtant de plutôt bonne humeur…Mais ou était-il tombé ? Plus correctement, sur qui ? Quelle idée de se promener à l’aube, fringué et crevé ? A moins qu’il ne travaille la nuit…
Suivant toujours celui qui serait son hôte pour une durée indéterminée, il perdit à nouveau son regard dans le vide, ne faisant pas du tout attention à ce qui se passait devant lui. Et ce jusqu’à rentrer en collision avec le blondinet qui s’était arrêté…

« Oh, on est arrivé…J’avais pas vu le paysage défiler »

Ok, il avait carrément zappé les trois quart du chemin et du dit paysage, mais c’était une excuse comme une autre pour ne pas paraitre con…Encore quelque chose qu’il faudrait éviter, mais c’était surement la fatigue. Parce qu’après tout, lui non plus n’avait pas fermé l’œil, plus occupé à compter tout et n’importe quoi qu’à penser à son sommeil.

« Alors voilà ou on va vivre…J’ai droit à une visite guidée ? »

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