Regarde le cour de l'eau [PV Akiko]

Cela faisait un moment que Talen n'avait pas fait quelque chose avec Akiko, d'accord il lui laissait le droit de sortir et il était content qu'elle parte quelque fois pour se dégourdir un peu les jambes, aujourd'hui il lui avait demander de venir avec lui faire un tour, il voulait avoir quelques souvenirs avec elle, cela n'était pas trop demander, il arrivèrent donc près d'une casdade, le paysage était magnifique et il eut un grand sourire et voyant cela, il s'approcha de l'eau et remarqua qu'elle était pur et clair, il s'asseya sur le bord et regarda la cascade tomber, il eut un petit sourire a nouveau et s"étira, il aimait toujours autant la nature et cela lui faisait du bien d'être comme cela, il le releva et alors voir Akiko, il ne savait pas ce qu'elle faisait mais bon, il lui caressa un moment la tête et lui parla gentiement.

"J'espere que sa te plait, moi je trouve cela très beau, surtout la cascade."

Il eut a nouveau un sourire et retourna auprès de cette cascade, il se demandait si cela faisait du bien de rester en dessous du flux de l'eau, il avait vu quelque chose de ce genre la a la télé mais il n'avait pas trop envie d'essayer, surtout qu'il allait mouiller ses affaires, il s'allongea un moment et regarda le ciel, il n'y avait pas de nuages et il était a peine 14h, ils avaient encore le temps avant de rentré.

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Depuis que Talen l’avait achetée, Akiko s’ennuyait ferme. Son maître lui laissait faire des sorties, c’était généreux de sa part… mais elle était active, et loin des montagnes, loin des forêts dorées, elle s’ennuyait. Talen n’était pas souvent là, ou alors il parlait brièvement. Bien qu’il avait acheté d’autres esclaves, ce n’était pas ça qui changerait quelque chose. Souvent, elle sortait pour aller jouer en forêt, dormir et chasser un peu, bien que les animaux y soient rares. C’était la limite de la déprime quoi… enfin il ne fallait pas trop exagérer, elle essayait tout de même de paraître contente ! Aujourd’hui, avant qu’elle ne parte encore une fois, pour revenir dans des heures et des heures, le propriétaire du club de gym demanda à Akiko d’aller faire un tour avec lui.

Pourquoi il lui demandait ça d’un coup ? Akiko baissa les oreilles vers l’arrière signe de contrariété. Dieu qu’elle détestait les humains. Elle acquiesça tout de même et redressa les oreilles, acceptant de suivre Talen. Ils quittèrent la ville pour aller dans les lieux naturels. Tiens, pas de mauvais goût de la part d’un humain. Ensuite Akiko dressa les oreilles, en entendant la cascade. Ils y arrivèrent rapidement, le paysage était ravissant, étrange pour un lieu proche de l’occupation humaine. L’eau de la cascade était claire, mais était-elle potable ça restait voir. Elle s’approcha de l’eau, regardant son cours.

Talen était partit près de la cascade et il était revenu pour caresser un moment la tête de l’hybride. Lui demandant gentiment si ça lui plaisait. Lui trouvait ça très beau, le jeune maître sourit avant de retourner près de l’eau. Il s'allongea un moment, regardant le ciel, il n'y avait pas de nuages. Akiko trouvait ça étrange, elle s’approcha à son tour de l’eau et la toucha pour voir sa température et surtout si elle semblait potable ou non. L’eau était « fine » elle n’avait pas de proportion huileuse ou malodorante. La jeune renarde se souvenait de son enfance dans la forêt, elle remplit ses mains du précieux liquide, avant de l’amener à sa bouche. Elle n’avait pas mal au ventre, elle était potable apparemment. Elle se nettoya un peu le visage et secoua vivement la tête pour sécher son poil, avant de le lisser.

« Hum… oui, c’est beau… et agréable… Mais pourquoi avez-vous voulut venir ici en ma compagnie ? »

La jeune hybride était un peur sur les nerfs en ce moment, allez savoir pourquoi. Même elle ne le savait pas vraiment, elle est lunatique et ne peux pas décider toute seule de son état d’esprit. Elle s’assit sur les genoux, en « seiza », les chevilles sous les fesses, ses queues pendant sur le sol.

Talen la regarda faire avec le sourire, elle était sauvage mais si gentille, peut être un peu trop dicipliné mais cela n'était pas sur, il se gratta la tête et regarda le haut de la cascade un moment, la lumière du soleil faisait un effet assez beau et cela le faisait sourire, puis il remarqua qu'elle avait avait bu un peu d'eau, si elle le faisait cela voulait surement dire qu'elle était potable, il la regarda se laver un peu le visage et recu un peu d'eau sur lui et il rigola un peu, de toute façon cela allait sécher vite a cause du soleil, il se gratta la tête et l'écouta alors, il y avait une raison assez simple et il s'approcha d'elle avec le sourire.

"Je trouve jsute que je passe moins de temps avec toi, c'est dommage qu'on ne puisse pas mieux se connaitre."

Il le releva alors et se dirigea vers la cascade, il voulait regarder le flot de l'eau de plus pres, il toucha a un moment l'eau et regarda sa main, la pression que provoquait l'eau a cause de la gravité était quand même interessante, il se gratta la tête et ferma les yeux un moment, écoutant le bruit de l'eau qui tombait dans le petit cour.

Invité

Akiko trouvait que l’eau de la rivière était plus agréable que l’eau qui coulait de ses étranges tuyaux de métal dans les demeures des humains. L’eau de la cascade était fraîche, et au moins là on ne polluait pas. Akiko portait toujours son kimono orange et rouge, et elle ne pouvait pas le mouiller en se jetant dans l’eau, sinon elle n’aurait plus de vêtement à se mettre ! Même si elle avait caché des draps dans un coin de la chambre, pour en faire sa cachette… La jeune hybride jouait, en essayant d’attraper les poissons qui passaient, ils n’étaient pas bien grands et ils étaient tout fins, tout noir, nageant rapidement. La renarde les taquinait. Talen répondit à sa question, en disant qu’il trouvait juste qu’il passait moins de temps avec elle. C’était dommage qu’ils ne puissent pas mieux se… connaître ? Akiko tourna la tête vers lui, le regardant faire.

« Si vous le dîtes… »

Répondit-elle à voix basse, le propriétaire du club de gym partit vers la cascade. Décidément, il mourrait d’envie de passer en dessous ou quoi ? Mais Akiko n’irait pas le pousser, elle ne lui suivrait pas. Elle trouvait le comportement de Talen étrange, et de plus elle lui en voulait. La jeune renarde le regarda néanmoins près des chutes, le bruit de l’eau semblait apaiser le jeune homme. Un comportement étrange encore une fois. Akiko bailla discrètement, avant de se lécher l’épaule, lustrant son pelage aussi souvent que possible. Elle se gratta derrière l’oreille, avant que son attention ne soit captivée par un papillon aux couleurs éclatantes. Akiko telle une enfant, courut après, mais s’arrêta au bord de l’eau, elle ne pouvait pas sauter une largeur pareille.

« Mia… »

Glapit-elle, en regardant l’insecte s’éloigner. Elle se tourna vers Talen, se demandant vraiment pas mal de chose sur cet homme qu’elle voyait tellement :

« Dîtes mois Maître, je peux vous posez une question ? »

Elle attendit la réponse, avant de continuer par :

« Pourquoi m’avez-vous acheter ? »

Talen se gratta la tête et retourna s'asseoir non loin de la cascade, il aimait bien rester la a ne rien faire, il regarda alors Akiko qui s'amusait avec un papillon, au moins elle semblait plus heureuse que dans sa cage, il se gratta la tête un moment se demandant bien ce qu'il allait bien pouvoir faire ensuite, il n'y avait pas beaucoup de monde qui allait a la salle de gym et il allait peut être avoir des problèmes d'argent, mais non, il se frappa doucement tête et se mit a rire doucement, il suffit juste de faire un peu de publicité et le tour sera jouer, il entendit alors Akiko lui demander si elle pouvait lui poser une question, il lui répondit que oui et elle lui demanda alors pourquoi est ce qu'il l'avait acheter, il se gratta alors la tête, c'était une question assez délicate, mais il pouvait bien y répondre tranquilement.

"Et bien pour deux raison, la première était que je manquait de compagnie chez moi, je susi souvent seul et cela m'ennuie un peu, la seconde était que tu semblait triste quand tu était en cage alors je t'ai pris pour que tu ai de la liberté, tu sais même si on ne ce voit pas souvent je suis contente que tu te sente bien."

Invité

Talen retourna s'asseoir non loin de la cascade… il avait l’air de bien aimer être là… sans rien faire. Beaucoup d’humains d’ailleurs, n’aimaient pas travailler et pourtant ils s’efforçaient de le faire… Akiko trouvait ça étrange… les humains sont si bizarre. Enfin, Talen répondit à la question de la jeune renarde… il l’avait acheté parce qu’il se sentait seul, ça l’ennuyait, il avait besoin de compagnie. Et puis Akiko semblait si triste dans sa cage, qu’il l’avait prit pour qu’elle ait de la liberté. Même s’ils ne se voyaient pas souvent, il était plutôt content qu’elle se sente bien. C’est là qu’il avait légèrement… faux. Akiko était certes heureuse d’être en liberté… mais comme la plupart des animaux, elle s’ennuyait ferme en captivité.

« Oui… je vous suis reconnaissante… »

Akiko baissa les oreilles, mais toujours attentive aux bruits de la nature. Cette fois, un autre papillon s’était posé sur sa main droite. Elle sourit, contente de l’exploit de l’insecte, et le présenta à Talen :

« Regardez ! »

Talen ressentait quand même un peu de peine de ne pas rester plus longtemps avec elle, mais il ne voulait pas qu'elle n'ait faim quand elle rentrait a la maison alors il bossait plus dur a la salle de gym pour faire rentrer plus d'argent, cela e voyait quand même un peu car il avait de minuscules cernes sous les yeux, il s'étira un peu et se retint de bailler, il ne voulait pas qu'elle le remarque et qu'elle se fasse du souci pour lui, il regarda encore la cascade, cela l'apaisait dans un certain sens et lui otait un peu sa fatigue, il se gratta la tête et entendit Akiko lui demander de regarder, il regarda alors et vit le papillon sur sa main il était très jolie et ne voulait pas le toucher au risque qu'il ne s'envole de peur, il caressa un moment la tête d'Akiko et s'eloigna alors pour ne pas qu'elle le voye baillé, il se gratta ensuite la tête et retourna la avoir avec le sourire, le papillon eut un peu peur de lui et partit a tire d'ailes, Talen baissa un peu la tête et regarda Akiko.

"Désolé, je suis un peu trop épais et sa fait un peu peur...."

Il s'asseya alors et regarda encore une fois la cascade.

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Akiko le trouvait si étrange cet homme… de plus même si Talen le cachait, Akiko avait crût voir des cernes, aussi minuscules soient-elles. L’humain s’étira toujours en train de regarder cette cascade. Qu’avait-elle de si extraordinaire ? Les humains étaient vraiment des créatures intrigantes… ils voyaient tellement peu souvent les miracles de la nature qu’ils restaient en admiration devant des choses si peux impressionnante pour ceux qui y vive.

L’humain se gratta la tête et quand Akiko lui demanda de regarder le papillon, Talen obtempéra… regardant brièvement le papillon avant de caresser la tête de la renarde aux poils dorés. Le propriétaire s’éloigna un peu et revint avec le sourire. Le papillon partit à tire d’ailes, effrayé par la présence humaine. Talen baissa la tête et regarda Akiko, en lui disant qu’il était désolé, trop épais… Il s’assit à nouveau regardant encore et toujours cette cascade. L’eau de la rivière n’était pas assez profonde, sinon Akiko aurait bien fait un petit coup à Talen… enfin. La renarde se leva, et partit vers la cascade. Elle fit signe à son maître de la suivre.

« Venez ! »

Une fois que l’humain fut arrivé près d’elle, Akiko fit un sourire et posa ses mains sur le torse de son maître. Elle pencha la tête sur le côté et dressa les oreilles. Akiko griffa légèrement l’épaule de l’humain, avant de le pousser vers l’arrière, afin qu’il se retrouve sous l’eau… et dans ce cas, peut importe la profondeur. Elle croisa les bras avec un sourire et dit assez fort, puisqu’ils étaient proches de la cascade :

« Alors maître Talen, est-elle agréable ? Vous qui semblez attirer par cette chute. »

Talen ne savais pas trop quoi dire ni faire avec elle, il fallait dire aussi qu'il avait un peu de mal avec les femmes, sauf peu etre Arya mais c'était une autre histoire, il la regarda faire avec le sourire, décidement cette fille était toujours pleine de vie, mais elle l'appela encore une fois et lui demanda de la suivre, il se gratta alors la tête, que voulais elle maintenant, il la suivit et se trouvait devant la petite rivière, il ne savait pas trop ce qu'elle voulait faire mais au moins elle était toujours aussi Dynamique, puis elle posa ses mains sur son torse, il ne comprenait pas, puis elle lui griffa l'épaule, c'était pas très profond et il retint un geste contre elle, c'était instinctif alors bon, et elle le possa jusqu'a dans la rivière, il se retrouva le bas du corpd mouillé et un peu le haut aussi, alors elle voulait savoir si c'était agréable, Talen eut un sourire, il lui attrappa alors la jambe et la lança dans l'eau elle aussi.

"Viens y gouter si tu veut savoir, pour ma part elle est bien."

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Akiko avait bien remarqué que Talen voulait lui donner un coup. Ca ne l’étonnait pas, après tout c’était un humain ! Quand les humains n’avaient pas ce qu’ils voulaient, il paraît qu’ils étaient violents. Quoi qu’il en soit elle avait réussi à le mettre à l’eau et elle était assez fière d’elle-même ! Oui, c’était amusant à voir tien, son maître avec le bas de son corps mouillé, c’était drôle à voir ! Mais l’humain n’avait pas dit son dernier mot ! Quand Akiko lui demanda si elle était bonne, Talen sourit et lui attrapa la jambe, la lançant dans l’eau elle aussi. Elle ne retint pas son cri de surprise et se rattrapa un minimum pour ne pas tomber sur les fesses ou sur le ventre. Mais elle se retrouva bien plus mouillé que son maître. Il la narguait presque ! Elle secoua la tête pour se sécher un minimum, se retrouvant les fesses dans l’eau, jusqu’au dessus du nombril.

« Ah ! Je n’avais pas besoin de tomber dedans pour le savoir ! »

Elle avait prit ses bains dans une eau semblable à celle-ci et elle avait aussi but dedans alors elle savait bien comment elle était. Elle se releva et se secoua vivement, mais maintenant ses vêtements étaient trempés ! Elle regarda Talen et lui demanda plutôt sèchement :

« Retournez-vous ! Que j’essore mes vêtements ! Maître ! »

Ce n’était pas menaçant, mais pas très amicale non plus ça relevait d’un mélange d’ironie et de colère.

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