Avant qu’il ne parte, Talen avait dit à Akiko qu’il allait se balader. Le temps était parfait pour en même temps… Akiko acquiesça et le regarda partir, une fois que l’humain eu quitté la maison, elle se retrouva seule entourée de plusieurs objets qu’elle ne connaissait absolument pas… comme cette mystérieuse machine qui fait de la musique ou cette grande boîte qui enferme des gens, que beaucoup d’humains se régale à regarder… Elle s’aventura alors dans la cuisine, en quête d’un petit reste. Elle fouilla dans le placard et la poubelle, toujours les petites habitudes qui reviennent. Elle avait trouvé une boîte de… chocolat en poudre ? Elle l’ouvrit et renifla ce qu’elle contenait pour faire un sourire et versa le chocolat en poudre à même sa bouche. Un peu dégoûtée, Akiko rangea la boîte et se redressa pour voir une bouteille blanche que Talen n’avait pas rangée.
Elle l’ouvrit et appréhenda légèrement… mais c’était du lait ? Youpi ! Elle but goulûment comme un nouveau-né, et laissa tout en place. Elle partit ensuite à la conquête des autres pièces telle que la salle de sport et la chambre. En passant par la salle de bain et prit un drap sec et le roula en boule, avant de le cacher dans un coin de la chambre, elle préparait déjà sa cachette. Mais pas pratique de creuser sur du béton ou du bois ou elle ne sait quelle matière fut utilisée pour construire la maison. Elle cacha un drap dans la penderie, vue qu’elle était grande, derrière les boîtes de chaussure tient !
Elle fit le tour mainte et mainte fois pour voir s’il n’y avait rien de dangereux ici, enfin pour elle… et puis en quittant la chambre elle s’approcha de la salle de « gym » c’est comme ça qu’il l’appelait son maître. Elle ouvrit la porte, mais toutes ces machines l’effrayaient, elle referma la porte, avant de retourner dans la chambre, grognant après la salle de gym. Elle entendit la porte d’entrée s’ouvrir. Elle reconnue l’odeur de Talen, mais il n’était pas seul… il y avait une odeur qu’elle ne connaissait pas… une odeur humaine oui, mais plus douce, une femme ? Celle-ci était sale, Akiko connaissait bien l’odeur de la saleté, pour y avoir vécu plus de dix-sept années. Elle entendit Talen dire qu’il était rentré.
Akiko secoua les queues et s’avança à quatre pattes vers le chambranle avant de regarder vers l’entrée, son regard remontant le couloir. Elle avait bien raison, c’était une humaine… son maître avait-il acheté une esclave ? La jeune renarde, glapit faiblement avant de se redresser sur ses jambes et d’aller rejoindre les deux personnes à l’entrée.