Une folle journée [PV Hatsuko]

Hatsuko était encore dans les bras de l’homme lorsqu’il s’assit sur le canapé. D’un œil épuisé, elle vit le sourire de l’homme et le lui rendit légèrement. La jeune femme lui obéirait corps et âme, si l’homme comblait toujours ses attentes de la sorte. En quelques sorte, elle avait de la chance d’être tomber sur un tel maître tout de même. La jeune Hybride se sentait totalement vidée, c’est pour ça qu’elle se laissa faire lorsqu’il la porta. Dans les escaliers, elle eut le réflexe de s’agripper au cou de l’homme en enlaçant un peu plus ce dernier de ses bras, comme si elle avait peur de tomber, mais c’était normal, la situation état plutôt risquer si il venait à la lâcher par mégarde. Quand il l’embrassa, elle n’eut même pas la force de réagir à ce baiser. Quand ils arrivèrent dans la chambre, elle observa cette dernière d’un œil endormit. La chambre était tellement belle… Elle se retrouva allonger dans un immense lit et son maître s’allongea près d’elle. L’homme l’embrassa à nouveau et elle répondit à demi à ce nouveau baiser… Un frisson lui parcourut l’échine et elle se pelotonna contre Aaron avant de fermer les yeux, s’endormant peu à peu, blottit tout contre son nouveau maître.

« Bonne nuit Aaron-sama… »

Avait elle soufflé juste avant de sombrer dans le sommeil, elle était vraiment épuisée.

//Quelques heures plus tard dans la nuit…\\

Il était très tôt le lendemain, le jour était encore loin de se lever. Hatsuko, elle, se réveilla. Jamais elle ne parvenait à dormir toute la nuit. Elle s’éloigna légèrement d’Aaron, et, après qu’elle se soit assurée qu’il dormait toujours, elle se leva en silence et alla regarder à la fenêtre. Pour la première fois de sa vie, elle n’était pas enfermée. Elle se demandait ce que ça faisait d’être seule dehors. A pas de loup, elle quitta la chambre et descendit les escaliers en silence. Elle récupéra ses affaires avant de les enfilées. L’appel de la liberté était trop fort… Elle ne voulait en aucun cas s’enfuir, juste savoir ce qu’était la sensation d’être seule dehors. Elle ouvrit la porte et sortit, plus qu’inquiète à l’idée des conséquences de son geste…

[scuse je me suis permise de mettre fin au topic, on en refait un quand tu veux]