Arrivée [libre]

Akira, vêtu d’un pantalon de cuir et d’une chemise noir semi-ouverte, était arrivée un peu plus tôt dans la journée par le train. Il avait fait le reste du chemin menant à Olphéra en taxi. Son sac à dos en bandoulière sur l’épaule gauche et un sabre au fourreau noir sur l’épaule droite, les sourcils froncés, le jeune homme jète un vague regard aux alentours.

*S’il s’est trompé, il aura tout le temps de le regretter.*

Le jeune homme n’avait eut qu’un témoignage assez évasif sur sa présence en ville. Mais c’était le seul depuis des mois et donc Akira n’avait pas d’autres choix que de suivre cette piste. Olphéra est une patrie inconnue du jeune homme et ce dernier n’avait pas eut à perdre de temps pour se renseigner dessus. De toutes manières, il n’a que faire des lois et des règles régissant cet endroit.

*Seule ma sœur compte. S’il faut affronter des lois, je le ferais.*

S’asseyant pour réfléchir, Akira s’installe sur un banc en pierre. Son sac à dos est posé aussi sur ce dernier, mais son sabre n’a que le bout de son fourreau d’appuyer sur la pierre. Malgré qu’il soit plongé dans ses pensées, le jeune homme n’en demeure pas moins conscient d’une présence s’approchant dans sa direction.

Viviane venait de finir une mission, mission pour les autoritées locales, ça l'arangeait quelques peut, comme cela elle n'avait aps a s'occuper de la disparitio nde sa victime toute seule, a vrai dir, elle laisserait la police s'en occuper.
Elle prit son téléphone, et composa le numéro de son employeur, tout en pénétrant dans la ville qu'elle avait quité il y a moins d'une heure pour courser sa proie. Quand elle entendi une voix lui répondre, elle demanda tout de suite l'homme qui l'avait payée pour ce travail. Elle dut attendre quelques secondes avant d'entendre la voix qu'elle conaissait, elle lui indiqua l'endorit ou se trouvait sa pauvre victime, elle lui préssisa qu'elle l'avait épargné et qu'il était juste saucissoné, et acroché a un arbre apr les poignets ... TOut en donnant des détails elle continuait d'avancer, malheuresement elle s'était déja bien fatiguée pendant sa missio net elle n'était aps consentrée et ne faisait aps attention aux personnes alentours, si bien qu'elle ne vit pas le sabre apuyé entre le banc et le sol. Elle se prit les pieds dedant, fit une roulade, se redressa rapidement, en trébuchant sur l'arme, celle-ci s'envola dnas les aires, et retombait en tournant. la jeune femme tendi la main devant elle et rattrapa l'arme. Elle termina de donner quelques détailles plus ou moins glauques a son interlocuteur, racrocha, rangea son téléphone et posa els yeux sur le sabre. Elle le dégaina, le posa délicatement, sur deux de ses doigts (horizontaement) et admira la lame. Elle fini par le reprendre apr la garde et passa son doigt sur le tranchant de la lame, quelques goutes de sang perlairent tandit qu'elle rengainait le sabre.

-C'est une belle arme, vous ne devriez aps la laisser en traver du chemain ...

Elle ne s'était pas retournée, et, du banc sur lequel était assi Akira, on ne pouvait voir qu ses longs cheveux rouges sang, qui tombaient en cascade le long de son dos, et l'ariére de son jean délavé, couvert de poussiére, et d'une ou deux taches écarlates.

[désolé du retard]

Akira n’avait pas vraiment fait attention aux personnes autour de lui. Il avait juste senti la disparition de sa lame. Les paroles féminines qu’il avait entendues ne l’avait pas fait bouger plus.

"-Au lieu de faire des cabrioles et de jouer avec, rendez-le moi.

La voix du jeune homme, sur un ton monocorde, ne montre aucun signe d’énervement ou d’une autre émotion d’aucune sorte. Lui-même ne semble pas montrer de signe d’agacement, ni même d’intérêt envers la personne qui s’adresse à lui, plus qu’à ce qui l’entoure. Il se contente d’émettre un long soupir. Akira poursuit presque dans un murmure.

"-Vous portez l’odeur du sang."

Lentement, le jeune homme brun remet une mèche de ses cheveux, déplacée par le vent, en place. Il est bien plus préoccupé par le fait de retrouver sa sœur dans des lieux inconnus.

*Des cabrioles ... S'il ne laissait aps son arme au milieu d ela route je ne ferais pas de cabrioels avec ... Espéce de ...* Elle laissa échaper un long soupir, elle ne devait aps s'énerver contre n'importe qui ... Elle devait rester calme, elle avait le droit de se défouler autant qu'elle le voulait durant se smission, mais pas quand elle n'en avait aucunes raisons.
Dans un seul geste, elle dégain a a nouveau le sabre et fit un demi tour rapide, dans u ngeste ample, elle décrivi une superbe courbe avec la lame, et s'aaretta a 2 ou 3 cm de la gorge de l'homme. Elle sourit et rangaina l'amre, elle aimait les armes blanches, elle les adorait ... Même si elle s'amusait comme une eptite folle avec un sabre, un katana, un épée légére ou n'importe quelle lame longue, elle répfairait largement els courtes.
Aprés avoir rangainée l'amre, elle la déposa sur le banc a côté de son prpriétaire.

-Hum ?... Je sens le sang ? Ca arrive télement souvent, je ne fais même plus attentio na l'odeure.

Elle aurait pu parler d'un parfum de la même fasson. mais ce n'était aps faut, elle était habituée a sentir le sang et a avoir des tahces de sang partout sur ses vétements. D'ailleur elle avait déja bousillé un jean en le levant a chaud, le sang avait coagulé, et plus moyen de l'enlever... Bon maitenant elle n'avait plus trop d eproblémes de ce côté la, elle était au point.

Akira n’a pas bougé, malgré les mouvements et la lame proche de son cou. Il n’affiche, ni peur, ni colère, pas la moindre émotion ne transparaît sur son visage ou le reste de son corps. Le jeune homme regarde du coin de l’œil, son arme reprendre sa place initiale.

"-C’est triste de voir quelqu’un qui ne semble pas savoir pas ce que cette odeur signifie."

Le reproche dans sa phrase est à peine voilé.

"-Surtout pour quelque chose d’aussi futile et basique que de l’argent."

L’une de ses mains glisse et saisit fermement le fourreau du sabre. D’un mouvement, il pose sur ses genoux et le regarde vaguement. Son autre main se pose sur le manche du sabre. Il lève lentement les yeux et pose son regard sombre sur la jeune femme.

La jeune femme le regarda intesivement, ses beau yeux bruns avaient tournés au rouge. Au premier abbord, elle ne suportait aps cet homme. Elle plongea ses yeux bordaux dans ceux de son interlocuteur avant de reprendre d'un ton glacial.

-Je m'excuse d ene plus savoir ce que cet odeure signifie, mais elle a bersé toute mo nenfance ...

On ne pouvait plus lir aucunes expressions ur le visage de Viviane.

-Ce n'est pas celement pour cette chose aussi futil que l'argent qui me permet de vivre ... C'est aussi pour avoir des armes sous la main quand je pourait enfin vanger l(honeur de mes aprents.

Elle avait dit tout cela sur ce même ton glacial u'elle réservait aux gens qui ne l'interaissaient absolument pas, ou qui lui sortaient apr els yeux, et d'un ton plus que calme. Elle soupira, fixant toujour l'homme dans les yeux. Elle apssa une main dans son cou et senti un liquide chaud et poisseu. Elle soupira a nouveau, il avait réussi a la toucher cet espéce de ****. Bon elle était habituée aux blessures, et ce n'était pas ça qui allait lui faire peur. Sa main retoma le long de son corp^, un petit filet de sang goutant légérement sur le sol.

*Je vais tout de même devoir m'en occuper bientot, même si ce n'est pas profond, je perd du sang ... *

Elle était lassée de tout cela. Elle fini par s'assoir a côté de l'homme, le regardant toujours de ses yeux redevenus bruns.

Le regard furieux de la jeune femme et son comportement agressif laissent le jeune homme de marbre. Il ne laisse paraître aucune émotion sur son visage aux paroles de colère. Il observe s’asseoir sans un mot.

"-Je doute qu’une famille laisse un de ses membres devenir une machine à tuer pour quelque raison que ce soit. Ca ne va pas ramener les personnes que vous pleurez. De plus…"

Vivement, Akira sort le sabre de son fourreau et place la lame à quelques millimètres du cou de la jeune femme.

"-Vous semblez bien peu tenir à la vie en vous asseyant à côté d’une personne armé et que vous avez menacé de la même manière dont j’use actuellement."

Lentement et silencieusement, il rengaine la lame dans son fourreau.

Viviane le reagrda l'air amusée, toutes ses éxpressions se lisaient sur son visage, contrairement au jeune homme se trouvant a côté d'elle.

-A vrai dir, plus personne ne peut m'enpécher de devenir une "machine a tuer", car je suis fille unique et mes parents sont, tous deux, morts. Donc je ne voix aps qui pourait ésséyer de raisoner une jeune femme qui ne vit que pour vanger latroce mort de ses parents.

Toutes éxpressio navait dispares du visage de la jeune femme, également. Quand il dégaina son sabre pour fair glisser la lame sous le menton de la jeune femme, celle ci ne bougea pas d'un cil. Il n'était aps une menace, elle le sentait. Elle apssa a nouveua la main sur sa nuque en soupirant, son sang commençait a l'agacer.

-Pourquoi devrais-je tenir a la vie ? Je n'ai plus rien qui me retien dans ce monde, plus personne ... et j'ai déja télement souffer dans ma vie, pourtant aps si longue que ça, que ce n'est aps un petit coup de sabre qui me fait peur, s'il me tu pas, je m'en remétrais.

Elle le fixait de ses yeux redevenus rouges, l'hatitude détachée de cet homme l'énerviat au plus haut point, et elle ne le cachait aps.

"-Vous n’avez pas peur de ma lame, car vous pensez que je ne représente pas un danger pour vous."

La voix d’Akira devint glaciale.

"-Mais si vous représentez une menace. Ma lame vous tranchera la gorge. Homme ou femme, elle ne fait aucune différence."

Sa voix reprit son ton habituel. Akira garde son implacable visage de marbre.

"-Je suppose que chacun se donne un but pour donner un sens à sa vie. "

Le jeune homme tourne un regard transperçant sur la jeune femme.

"-Que ferez-vous quand votre but sera atteint ? Y avez-vous seulement songer ?"

Elle n'aimait aps le ton du jeune homme, il pensait qu'elle ne représentait aps une menace ... Mais pourtant, si pour lui, un homme ou une femme ne fait aucune diference, il devrait la prendre au sérieux ... Ne aps la sousestimer. Si il pensait qu'elle était inofencive, il se trompait. Elle serra les poingts, enfonçant ses ongles dans la pome de ses mains, ésséyant de rester calme.

"-Mais si vous représentez une menace. Ma lame vous tranchera la gorge. Homme ou femme, elle ne fait aucune différence."

Un petit rire nerveux s'échapa des élvres de la jeune femme, elle se leva, écarta els bras, et regarda le jeune homme d'un ton froid, ou l'on pouvait déceler une note de folie et un énervement toujours grandissant.

-Et bien, si pour toi ça ne fait aucune diférence d'exterminer une homme ou une femme, qu'attends tu ? Peut être préféres tu que je te menace ... Avec un petu de chance tu remarquera que je ne suis aps si inofencive que ça, quand tu auras les carotides tranchées peut pêtre remarquera tu que je ne suis aps seulement une jeune femme d'agrément ...

Ca y est ... Elle commençait a péter son cable, toute sa colére acumulée depuis des années ressortait enfin, et ça risquait de ne pas être beau a voir.
Viviane n'avait aps remarqué que ses propos étiaent en aprtie incoérants, c'était comme si elle aprlait a son ancien comapgnon, qui la prenait pour uen jolie jeune fille totaleent sage, inofencive, et bien docile.
Elle déguaina une dague cachée entre ses homoplates, et glissa dériére le banc ou se trouvait Akira, et fit apsser al lame sous le cou du jeune homme. La dague étiat comme animée par une volontée propre, le émtal mordait légérmeent la peau de sa proie, et s'amusait a parcourir son cou, sans pour autant lui infliger de blessures graves.
Si le sang de Akira ne tracé qu'un mine filet de sang sur son cou, celui de Viviane coulait dans sa nuque, et quelques goutes vinrent se perdre dans le cheveux du jeune homme.

-Quand j'aurais attein mon but ? Il faudrait déja que je retrouve ce que je cherche, et que je réussise a survivre, j'ai réussi une fois, mais je ne pense aps être lsa seule a avoir progressé en 15 ans. Et si j'y parvien, j'éssérait de me recréer une nouvelle vir, ou je ne serais aps poursuivie apr la mrot et ou les cadavres ne s'acumuleront pas dérirée moi.

Elle apralit comme si de rien n'était, comme si le sujet de conversation n'était que le apssage a l'heur d'hiver ou la pluis prévue pour le lendemain. Cependant, son sang continué de gouter sur Akira, et sa dague taquinait égalemnt le cou du jeune homme.

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