Proie ou prédateur ? [PV Holly]

[suite de l'aquisition de Narcisse

La voiture de Narcisse glissait sur le chemin pour rentrer chez lui. On ne pouvait voir à l'intérieur a cause des vitres teintés.

Le chauffeur ne s'inquiétait pas de n'avoir aucune nouvelle de Narcisse, il devait certainement tester sa nouvelle esclave, même s'il ne comprenait pas pourquoi il avait dis à Robert de mettre la chose dans le coffre. Narcisse aurait du la prendre avec lui.

Robert lui n'essayait pas de comprendre Narcisse, il avait depuis longtemps décidé d'obéir aux ordres sans réfléchir, les actions de Narcisse étant trop imprévisible pour être comprise.

Holly sentit une main peser sur son sein, puis une autre sur son cou. Son maître s'était jeté sur elle commme un fou, essayant de lui faire peur, qui sait? Mais il faisait sa absolument pour rien! Étant vampire, Holly n'avait pas de souffle, alors que son maître voulait l'étouffer. Avec un air d'agace et un sourire moqueur, Holly lui dit:

''Tu n'arriveras pas à tes fins! Jamais je porterai ce collier!''

De toutes ses forces, Holly poussa l'homme contre l'autre banquette puis elle lui sauta dessus comme un animal n'ayant pas manger depuis des jours. Son regard prit un air vengeur. Elle voulu le morde et le manger, mais le petit jeu ne fesait que commencer.

''Et puis, pourquoi me touchais-tu le sein, ein?''

Ses jambes glissèrent par dessus celles de son maître, puis elle c'était assise sur son membre, bougeant un peu les fesses sur lui. Son regard changea pour devenir pervers. Sur ses lèvres, l'envie se dessinait. L'ordeur de son maître l'excitait à un tel point, quelle ferait n'importe quoi rien que pour goûter à son sang. Holly vint embrasser l'homme dans le creu du cou, puis elle posa ses mains sur le torse de celui-ci.

Narcisse avait un contrôle parfait sur lui-même ... toujours ... mais il y a des limites a tout, et l'aristocrate dû utiliser toute ses ressource mentale pour que son corps ne réponde pas à Holly. Il la laissa faire, prêts à la repousser si elle tentait de le mordre.

Il lui saisit les mains sans violence, il n'allait pas faire en permanence la même erreur, ses confrontations physique n'avait pas l'air de la déranger. Il sentait son corps et ses pensées lui échapper, mais il gardait encore le contrôle, présentant son masque inexpressif. Il repoussa les mains de son torse et les lâcha.Puis il répondit à sa question.

_Ce n'est pas ma faute si tu as une telle poitrine qu'il est dur d'atteindre ta gorge.

Narcisse s'écarta et laissa tomber son contrôle mental. Heureusement pour lui ses habits étaient conçus pour ne pas révéler son état.

Avant qu'Holy ne revienne il saisit le collier et déverrouilla le cadenas.

_Il va falloir se mettre d'accord, tu ne veux pas la mettre et moi je le veux. Habituellement dans les affaires une entente est un moment où on y gagne tout les deux.

De sa main libre il promena deux doigts sur l'épaule d'Holy, puis les fit courir lentement sur le haut de son dos.

Holly sentait Narcisse fondre litérallement sous ses avances. Elle n'avait pas le contrôle, mais elle avait du pouvoir. Un pouvoir qui rendait son maître hors de lui. Holly aussi était excitée, mais pas au point ou perdre les pédales. La vampire sentit les doigts de son maître lui caresser le dos, c'est à ce moment là qu'Holly sentit son premier frisson.

Bredouillant quelques mots inaudibles, elle réussit à dialoger tout en approchant sa bouche près de l'oreille droite de son maître.

''J'aime ça... Continu.''

Sa voix était douce et chaude. Même si d'origine sa peau et son corps était froid en entier, Holly était sensuelle dans ces moments là. La jeune femme sentit l'effet donné sur le corps de son maître, puis elle prit entre ses mains celles de Narcisse puis elle les posa sur ses fesses, sous sa petite jupe très courte. Holly était une personne qui aimait l'attention, chacun des petits gestes posés sur elle, elle savait les rendres aux autres pour leurs faire plaisir.

La limousine devenait chaude, l'atmosphère devenait humide... De plus en plus chaude. Holly accota son front sur celui de Narcisse, un peu haletante, elle se frottait de plus en plus sur lui, son intimité devenait très humide...

Narcisse savait parfaitement ce qu'il faisait. Il laissa donc la jeune femme placer ses mains. Il massa donc l'endroit puis remonta l'une de ses mains vers vers le milieu du dos d'Holy, doucement et sensuellement , il la caressa, puis il releva son autre main et poussa légèrement sa tête pour qu'elle l'abaisse.

De ses lèvres chaudes, il baisa doucement son front, puis continua sur l'arête du nez. La main qui avait appuyé sur sa tête lui effleura brièvement le font avant de remonter vers sa poitrine.

Les lèvres de Narcisse continuaient d'embrasser le visage de la jeune femme. Elles s'attardèrent brièvement sur les lèvres d'Holy avant de remonter. Sa main commencer doucement à masser un sein.

Il embrassa un œil, puis le second, puis revint sur le premier, avant de descendre vers la bouche d'Holy. Sa langue effleura les lèvres de la jeune femme tandis que la main revenait écarter la chevelure d'Holy.

Puis soudain, trop vite pour qu'elle puisse réagir, quelque chose claqua dans son cou et la main de Narcisse passa brièvement sur le cadenas pour le refermer. Puis il se jeta en arrière pour atterrir sur l'autre banquette. Il bascula un interrupteur et dit.

_Robert, veuillez venir nous ouvrir.

Il se tourna vers Holly en tenant le bout de la chaîne accroché au collier qu'il venait de passer à la jeune femme et sourit, lui montrant que c'était lui qui la manipulait depuis le début.

Tous ces baisés, toutes ces caresses... Depuis longtemps Holly avait rêvé de cela, mais pas avec un humain... Il était trop tôt pour avoir des relations sexuelles avec cet homme... Oui, trop tôt même. Mais la vampire le laissa faire. Il jouait et manipulait parfaitement tous les mouvements qu'il faisait et Holly adorait cela. La jeune femme poussa un léger râle puis elle fut prise au dépourvu. Narcisse avait tout prévu... Il était vraiment immonde... Holly était toujours sous le choc lorsqu'elle lui lança des injures par dessus l'épaule.

''Tu n'es qu'un montre Narcisse! Je te hais! Jamais je t'aimerai! Plus jamais tu pouras abuser de moi ainsi! Je te prêterai plus jamais mon corps! Jamais!''

Holly se tourna vivement sur elle-même puis elle donna un coup de pied dans le ventre de Narcisse. Elle le vit se plier en deux, puis elle donna quelques coup de poings violents dans la figure de son maître également. Elle n'y allait vraiment pas de main douce. La jeune femme, toujours aussi choquée, elle cracha sur son maître. Robert n'avait pas encore ouvert la porte, mais l'on pouvait voir son ombre à l'extérieur. Il attendait. Il croyait peut-être que c'était Narcisse qui frappait Holly...? Peut importe...

Après sa rage de colère, des larmes coulèrent sur les joues de la douce vampire. Elle arrêta sa violence, puis elle se jeta sur Narcisse et elle l'embrassa fougeusement. Elle adorait les lèvres de Narcisse. Elles étaient si douces, si tendres... Elle n'aimait pas Narcisse, mais elle avait besoin de ce qu'il lui procurait. Holly était désespérée... Elle n'avait pas envie d'avoir ce collier, elle avait envie de se coller. Mais il était si attirant... Jamais aucun humain lui avait fait un tel effet...

Les mains de Holly venait caresser le visage de Narcisse, tout en l'embrassant. Quelques larmes coulaient encore sur ses joues.

Narcisse fut surpris par la vitesse des coups. Il s'y attendait, mais pas aussi rapidement.

Au moment ou il allait déclencher le système de protection de la voiture, elle se colla à lui et l'embrassa. Au bout d'une seconde d'hésitation, Narcisse répondit a son baiser. Sa main droite pendant se temps passait le bracelet de satin, tandis que sa main gauche caressait les cheveux d'Holy.

Quelque soit les pensées qui habitait la jeune femme, celles de Nacisse était claires. Il allait lui faire du mal. Autant physiquement que psychologiquement. On ne frappait pas un Ferlissen, et surtout pas lui.

Il prit le temps de prévoir tout les aspects de la réaction d'Holly cette fois puis il tira violemment sur la chaîne pour la dégager de sa bouche.

Puis sa seconde main frappa, une gifle puissante et dépourvu de douceur. Puis il plaqua son crâne contre le sol de la limousine.

_La prochaine fois que tu me frappe, je t'oblige à avaler tes propres yeux.

Une paire de gifles rosirent les joue de la jeune femme puis Narcisse se rassit sur son siège, l'ai calme, et fit un léger signe. Avant qu'Holy ne se relève il posa son pied sur son collier, l'empêchant de le faire.

La porte s'ouvrit alors et Narcisse tira sur sa chaîne pour faire sortir Holy avec lui. Puis il la regarda avec un sourire mauvais et arracha ce qui lui couvrait le haut du corps.

_Tu est bien mieux habillée pour quelqu'un de ta condition. Maintenant, donne moi tes talons si tu ne veux pas que je fasse pire.

Narcisse ne plaisantait pas, sous son masque glacial, tout suintait la colère.

Tout en échangeant son baiser, Holly sentit le jeune homme qui la repoussa puis il la plaqua au sol en une fraction de seconde. Elle ne s'y attendait pas, elle aurait bien voulu qu'il réponde mieux à son baiser, mais elle resta quand même surprise qu'il l'avait embrassé un moment.

La jeune femme sentit tout son corps en éruption, elle avait besoin de se défouler sur quelque chose, ou quelqu'un. En particulier Narcisse, qui la mettait dans tous ses états. Elle ne l'aimait pas, elle le détestait au plus haut point. C'est lorsqu'elle esseya de se relever que Narcisse lui arracha son haut. Holly, avec son air de meurtrier écouta Narcisse lui demander ses talons.

''Pauvre ignoble roi idiot. Jamais tu n'aura mon coprs. Je te déteste! Mes talons-hauts son à moi et je les gardes! Rend-moi mon haut!''

Elle avait recouvert ses seins à l'aide de ses mains d'ange glaciales. Elle était froide de partout, mais elle ne sentait pas ce froid. Holly était au lpus haut point en colère et elle n'était pas prête d'embrasser Narcisse de nouveau. Il l'avait touché une fois et elle se promettait qu'il ne la retoucherait plus jamais.

Avec sa voix la plus sombre elle dit à Narcisse tout en regardant la forêt au loin:

''Un soir, je te mangerai Narcisse et je te transformerai comme moi. Peut-être comprendras-tu le mal que tu me fait vivre. Je déteste les humains. En particulier ceux qui sont comme toi. Vous vous croyer les plus forts, les plus riches, les plus ''cool'', mais au font, vous êtes les pires trou de cul qui existe sur la terre!''

Holly fit une pose. Elle posa son regard dans celui de Narcisse, sans lâcher ses seins. Les mamelons biens dressés, elle ne voulait pas qu'il voit cela. Elle avait envie que se soit quelqu'un d'autre que lui. Quelqu'un de plus gentil, moins méprisant, quelqu'un qui lui ferait l'amour avec passion et non avec arrogance et supériorité.

Narcise claqua des doigts et Robert rentra dans la voiture. Celle-ci redémarra et alla se ranger. Pendant ce temps Narcisse fixait la jeune femme, l'air sévère.

_Écoute moi bien, petite, Narcisse accentua ce dernier mot, un jour tu seras peut-être en position de me menacer.

Un sourire de malveillance pure éclaira Narcisse un moment.

_Tu veut ton haut soit. Et tu ne veux pas ton collier. Alors tu vas choisir. Soit tu gardes ton collier et je te rends ton haut. Et alors tu auras également tous les habits que tu désires. Soit alors, je t'enlève ton collier, mais tu acceptes que ce soit moi qui décide quels seront tes habits tant que tu resteras mon esclave.

Narcisse savait que marchander n'était pas conseillé quand on voulait asseoir a domination sur quelqu'un. Mais son marché était pervers, car en refusant une des deux choses, inconsciemment elle acceptait et normalisait le fait de porter l'autres.

Il voulait sa mort ou quoi? Holly grogna de mécontentement puis elle se jeta sur Narcisse. Elle le fit tomber sur le dos. Montrant ses cros, enragée, elle voulu planter ses dentsa dans le cou de son nouveau maître, mais elle n'en fu incapable. Elle était assise sur son membre, les mains sur les muscles de Narcisse.

Sa voix se fut triste. ses yeux d'émeraude devenaient mouillés par ses pleurs. Elle pencha la tête sur le ventre de Narcisse pour pleurer. N'avait-elle pas le droit elle aussi à l'amour?

''Narcisse... Je n'ai jamais vécu le sentiment d'aimer... Mais avec toi... Je ressend quelque chose d'anormal... Quelque chose... D'humain?''

Elle releva sa tête, regardant Narcisse droit dans les yeux. Elle n'essuya pas ses pleurs, mais ses yeux brillaient de tristesse. Elle avait terriblement envie de chaleure humaine, de réconfort... Elle éprouvait un sentiment inconnu, un sentiment purement humain. Devait-elle se tuer pour ressentir cela? Bien sur que non... Elle devenait sentimentale. Les questions se chambulaient dans sa tête, de nouveaux sentiments la rendait folle.

Elle reprit le pendantif, se le mit dans son cou puis elle regarda Narcisse dans les yeux, otut en restant assise sur son membre.

''Narcisse... J'aimerais... que toi aussi tu éprouve se sentiment...''

Narcisse se redressa sans quitter Holly des yeux, Quand soudain une violente douleur lui traversa la tête.

Elle était assise sur lui, son beau visage marbré de coups et sa robe déchirée laissant voir plus que ses courbes généreuses. Ses cheveux avait accroché des branches, des herbes et des feuilles mortes. Narcisse la regarda en goûtant son propre sang pour la première fois et sentit une vague de désir le submerger à nouveau. Elle le sentit et le regarda en souriant.

_Tu n'en est pas capable Narcisse, tu peux me frapper, mais tu ne pourras jamais me faire cela. Elle se pencha et lui susurra à l'oreille. Tu sais de quoi je parle, ce que tu as fais à cette jeune fille.

Il la souleva avec une rage et la rejeta de côté

_Ne me met pas au défi Élisabeth !

Narcisse respira profondément, il ne savait pas pourquoi cette image était venue maintenant, mais en tout cas Holly ne ressemblait pas du tout à sa soeur.

Il était retombé au sol, il savait a présent pourquoi il avait eu ce souvenir, il allait faire exactement pareil à Holly. Laisser parler sa rage et non son intelligence. Il savait qu'il valait mieux que ça.

Il leva les bas et entoura Holly, Puis il l'attira à lui et l'embrassa tendrement, sa langue franchit le barrage des lèvres de la jeune fille et s'insinua dans sa bouche, cherchant sa langue à elle. Sa main caressa les deux fruits de sa poitrine, réchauffant le corps froid de son esclave.

Tout en partageant ce baiser il roula doucement sur le dos pour se retrouver au-dessus d'elle. Il quitta sa bouche et passa ses bras sous le dos gracile de sa compagne en la soulevant. Il la regarda avec son air glacé, lui faisant toujours partager sa bulle de chaleur et de tendresse puis activa le briseur neural dans le collier, forçant Holly à tomber dans le sommeil.

Quelques heures plus tard, Narcisse était dans l'eau d'une baignoire qui aurait pu passer pour une piscine. Il était complètement nu et tenait contre lui le corps endormit et anesthésié d'Holly dans le plus simple appareil. Sur un coussin flottant se trouvait un nécessaire a pharmacie dont plusieurs bouteilles étaient ouverte. Narcisse était en train de soigner les cicatrices d'Holly, les plus vielles et les plus profondes. Le corps mou et sans résistance de la jeune fille était appuyé contre lui pour ne pas sombrer dans l'eau. Alors qu'il soignait une des cicatrice les plus enflammé et des plus profondes, vieille de plusieurs années, il sentit les muscles reprendre vie contre lui. Il regarda la chaîne d'Holly, peu tendu pour l'instant, mais qui empêcherait la jeune fille de lui sauter une fois de plus dessus. Il commença alors à parler, continuant son monologue à voix haute

_Et voilà, ce pansement laissera agir le produit et accélérera la régénération cellulaire, tout ce que tu garderas comme trace sera un petit trait blanc. Maintenant montre moi cette blessure sur ta hanche.

Avec des gestes précautionneux, il tourna Holly et soigna l'ecchymose qui ne devait pas dater d'hier. Quand il fut certain qu'Holly était réveillé, il la regarda en la serrant contre lui.

_Tu ne dois avoir aucune trace des blessures de ton passé. Car je vais effacer toute les douleurs que tu as pu ressentir jusqu'ici. Je vais effacer toute cette souffrance, couche par couche, comme un serpent se débarrasse d'une peau morte. Et quand j'aurais effacé toute cette douleur, tu me supplieras de te la rendre, car l'oublier ne valait pas ce que je t'aurais fait endurer et ce que je te ferais endurer. Car tu es mon esclave et c'est la forme d'amour que je t'offre.

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