Dans une cage froide ( PV Masato Yoshida)

Masato toujours en recherche de d'autres "esclaves" décida de retourner dans cette réserve où il avait mit les pieds, il y a de ça quelques jours. Il sourit en voyant que rien n'avait changer. Ce serait toujours aussi simple de les berner, cette fois, il avait décidé que son choix serait une jeune femme. Il n'y a rien de suspect, puisqu'il peut dire autant qu'une charmante damoiselle amuseraient ces jeunes pervers. Enfin rien de bien méchant qui garantirait à cent pourcent son achat. En espèrant qu'il ne se fasse pas demander des preuve, enfin sinon il changerai de technique pour le ou la prochaine. La sonnette comme à l'habitude sonnait pour averti qu'un client venait d'entrer et que le pouvoir de vendre le plus cher arrivait. Masato soupira un coup avantd'entrer dans la pièce aux cages, car il reste que c'était dure pour Masato de faire l'insensible et de ne pas se révolter à voir tous ses esclaves piteux. Certain n'avait pas manger depuis des jours, d'autres étaient maigrichon.

"Bonjour, je viens chercher une esclave... il vous en reste ?" , dit Masato sans attendre quoi que ce soit ou bien de ce présenter, il savait comment ça fonctionnait maintenant.

"Oui, il nous en reste justement une, elle vient tout juste d'arriver, un traqueur l'as attraper par surprise...je ne sais pas trop comment il a fait pour l'attacher...enfin bref, venez avec moi..." , répondit-il tout en se levant et se dirigeant devant une cage pas très loin de son bureau.

Masato regarda la jeune femme d'environ une dizaine d'année, elle avait des cheveux blond tout à fait séduisant avec des yeux brun chocolat qui était tout à fait charmant. Il sourit et demanda au vendeur de leurs laissez au moins cinq petite minutes pour qu'il soit sûr de son choix.

"D'accord..." , dit-il en s'en allant dans l'autre pièce.

Il parti et Masato se retrouva seul avec la jeune femme. Il fit un sourire tout gamin à celle-ci, il devinait qu'elle devait être aussi confuse que ce jeune homme Danny qu'il avait acheter il y a quelques jours tout près de cette cage. Juste pour l'amusement, il regarda dans l'ancienne cage de Danny et vu qu'il n'y avait personne, il eut un second sourire sincère, puis il demanda doucement à la jeune femme:

"Quel est ton nom ?"

Masato eu un léger regard degoute lorsque la jeune femme lui dit d'un ton soumis et ayant tout ce qui va avec, manière soumise et regard soumis, tout ce que Masato détestait comme manies. Il aurait bien pu arrêter son observation là et ce dire qu'il revienderait un autre jour, mais non, il continua de la regarder attentivement. Il remarqua qu'elle n'était pas si vieille et qu'elle semblait apprendre rapidement, elle n'était pas ancienne, pas avec ce physique et ce teint vif, dans son visage on pouvait percevoir encore la douleur d'être dans cette cage et la douleur d'avoir faillit à la tâche d'être libre. Il sourit une seconde fois ou troisième fois il ne savait plus vraiment combien de fois il avait sourit pour mettre à l'aise la jeune femme qui semblait stresser et ne vouloir qu'une chose, être prise. Après plusieurs minutes d'observation, Masato remarqua enfin que la jeune femme lui avait répondu et qu'elle s'appelait Mai. Mai ? Comme un mois qu'il aimait bien, quoi que son préféré restait l'automne. Il prit donc la parole et lui dit gentiment:

"Tu sais tu n'as pas à faire de tel manières avec moi, qu'être toi-même me suffira enplement. Sur ce je suis ravi de te connaître Mai..."

Puis il fit demi-tour et alla vers l'extérieur de la "pièce" et trouva enfin le vendeur pour lui dire qu'il avait terminer. Le vendeur reconnaissant l'acheteur, il faut dire qu'avec Masato et ses cheveux rouges, il était dure de l'oublier. Il ne posa pas de question à Masato et se dirigea vers la pièce et vers la cage de la jeune femme. Il fit un sourire malveillant et demanda à Masato:

"Pour quelle occasion cette esclave vous servira ?"

Masato qui s'était largement préparer à ce genre de réplique lui d'un ton nonchalant:

"Elle plaîra à ma clientèle attirer par les mineurs...enfin les plus jeunes vous voyez ?"

Masato n'avait peur de rien puisqu'il savait que personne ne vienderait pour l'embêter chez lui et demander un protituer puisqu'il s'arrangeait toujours pour être seul uniquement avec le vendeur et son esclave. Le vendeur donc, enleva les menottes à Mai qui semblait, dans ses yeux en tout cas, heureuse d'être libéré. Puis si une personne assez apte a voir des sentiments humains aurait été devant Masato, elle aurait vu qu'il était autant heureux qu'elle, heureux de la rendre heureuse.

"Combien ce sera ?" , demanda Masato d'un ton toujours aussi froid.

"Pour celle-ci je vous la fait à huit cent cinquante..." , dit-il avec un sourire.

"Très bien..." , répondit-il tout en donnant l'argent et en disant à Mai de le suivre.

Tandis que le vendeur lui retourna s'asseoir sagement dans sa chaise en lisant son journal d'aujourd'hui. Masato attendit comme toujours d'avoir traverser dans l'autre salle et d'avoir bien fermer la porte pour redevenir lui-même. Il sourit de nouveau à Mai et lui dit tout gentiment et même heureux:

"Contente d'être libéré ? Enfin je veux dire de cette cage ? Nous irons t'acheter du linge et des biens matériels si tu veux, tu aimes lire ? Ou bien eh...jouer à des jeux de société ?"

Quand Mai vit la réaction de son peut-être nouveau maître, elle se dit que la soumission était pas la solution, alors elle se leva laissant voir ses magnifique cheveux. Quand Masato demanda de ne pas avoir de telle manière avec lui, elle accpeta d'un signe de tête.

Quand Masato se retourna pour aller vers le vendeur, elle s'assit alors sur le sol pensant que l'homme de voulais pas d'elle. Alors que Masato discutait avec le vendeur, Mai essayait d'écouter la conversation mais elle n'entendit que les mots ; esclave, clientèle et mineurs. Mai ne pouvais se faire une idée du sujet de conversation.

Quand on lui ouvrit la porte, Mai sortie de sa cage et elle s'étira car elle se sentait mal et prise dedans. Masato et Mai sortit alors de se magasin et l'odeur de l'exterieur lui avait manquer.

"Contente d'être libéré ? Enfin je veux dire de cette cage ?"

Hum oui je suis contente monsieur.....

Nous irons t'acheter du linge et des biens matériels si tu veux, tu aimes lire ? Ou bien eh...jouer à des jeux de société ?

"J'aime les vêtement noir monsieur et j'aime lire et les jeux de société c'est pour les enfants, j'ai 16 ans après tous!"

[Mets dans ton profil que tu m'appartiens ]

"Pour les enfants ? , fit-il perplexe, donc je suis un enfants selon tes dires Mai ?"

Il se mit à rire légèrement, puisqu'il vit que la jeune femme avait mal comprit ses dire puis il rajouta avec un peu d'amusement dans la voix:

"Tu sais moi quand je m'ennuis je joue au solitaire et pourtant ce n'est rien d'enfantin et c'est un jeu de société tu sais !"

Il fit un second sourire pour lui faire comprendre que sa remarque ne l'avait pas offenser et l.avait juste fait rire et voilà tout. Puis il remarqua que Mai ne cessait pas de l'appeler monsieur et il devait avouer que sa l'agaçait beaucoup, après tout à ses yeux Mai et lui était égaux et rien ne les séparait, pas même leurs status selon la loi imbécile d'Olphéra. Il mit alors la main dans sa poche et en sorti un collier semblable a celui que Masato avait donner quelques jours plutôt a Danny, seulement lui était d'une couleur rose et noir métallique à la fois. Il sourit et lui donna en disant gentiment:

"Malgré le fait que je ne suis pas tout à fait d'accord avec cette méthode je m'en vois obliger, pour prouver que tu n'es pas tout à fait libre et que tu appartiens à moi, Masato Yoshida, ce collier le prouvera largement, puis si tu ne l'aime pas je te le changerai, mais comme je te dit, il sera inscrit Yoshida peu importe les changement que j'y apporterai, tu l'aimes ?"

Il lui sourit et rajouta par la suite:

"Ah et ne m'appelle plus monsieur et ne me vouvoie plus, tu toie moi et appelle-moi Masato, après toyt pour moi tu es égale à moi pas plus basse ni plus haute égale donc tu n'as pas besoin de faire toute ses manières de politesse. C'est sur que tu dois reste civiliser et ne pas commencer a faire des choses illégale comme hurler sur tout les toît comment je vous traite, puisque j'ai dit un tas de mensonge au vendeur pour être sur de vous avoir..."

Il continua de marcher avec Mai et l'informa également qu'elle aurait un compte et qu'elle serait payer pour les boulot qu'elle ferai dans le manoir comme toute personne normal et il ajouta également:

"Où préfères-tu aller ? Pour tes biens ou tes vêtements ?"

Il attendit patiemment sa réponse tout en continuant de marche calmement avec elle.