Partant de la rue où se trouver la boutique d'esclaves où il avait vécu une bonne partie de l'année, Aldrick, le petit plan de la jeune femme en main, et la dite jeune femme sur son épaule gauche, se mit donc en route. Regardant autour de lui, il put alors constater que le quartier ouest n'avait vraiment rien de fréquentable, il y avait même des prostituées aux bords des trottoirs en plein jour, franchement, Aldrick avait du mal à croire qu'une fille douce et innocente comme Emeraude avait put réussir à se rendre dans l'une des boutiques d'esclaves du quartier. Bref, ils étaient donc actuellement à l'est, et la destination était le sud. Pour Aldrick, il était évident que la meilleure chose à faire était de suivre le plan de la demoiselle.
Cependant, se rendre à la place centrale de la ville et ensuite descendre vers le sud lui aurait paru une meilleur idée, mais comme il ne savait pas si le plan de la jeune femme indiquait un chemin vers le sud-ouest ou sud-est, il préférait s'en tenir au plan, au pire il demanderait son chemin en route. Marchant donc, la jeune femme sur son épaule gauche, le jeune rouquin était bien content qu'elle ne pèse pas bien lourd, et encore, vu qu'il n'était pas spécialement en forme vu son "régime d'esclave" et sa musculature ne s'étant pas amélioré avec le peu de nourriture qu'il avait chaque jour, la demoiselle n'était pas si légère que ça. Regardant autour de lui de temps à autre, le jeune homme put se rendre compte qu'il y avait même des sex-shop dans le quartier.
Franchement, il était bien heureux que la belle Emeraude, bien que plutôt pauvre, ne vive pas dans ce quartier là, qui était, plutôt glauque. Continuant son chemin, il finit par arriver à la place centrale, reliant les 4 quartiers de la ville l'un à l'autre. Il put alors soudainement sentir plusieurs regard sur lui, c'est sûr qu'un jeune homme n'étant pas lavé et aux affaires sales, transportant une jolie jeune femme ne passait pas inaperçus et inquiéter pas mal. Mais bon, il se foutait pas mal de passer pour une sorte de malade ou pervers, il ne resta donc pas longtemps avant de partir vers le quartier sud. En chemin, il constata avec soulagement que le quartier, bien que modeste, était déjà bien plus accueillant que le quartier est.
Finalement, le jeune homme arriva dans le quartier des appartements. Regardant sur son plan, il put remarquer le nombre de l'appartement de la belle inscrit dessus. Regardant les numéros sur les murs, il finit par trouver celui indiquant l'appartement de la demoiselle. Par chance, même s'il y avait un code pour entrer, une demoiselle sortit au moment où Aldrick arrivait, il put donc pénétrer dans le bâtiments sans problème. Regardant sur les boites aux lettres, il put voir celle de la belle Emeraude et regarda alors l'étage et le numéro de porte. Une fois arrivé, il déposa Emeraude contre le mur de la porte et fouilla dans le sac de cette dernière, pas de clés... Regardant dans la veste qu'elle lui avait donné, il ne trouva pas de clés non plus, même dans les poches "cachées", elles n'y étaient pas.
Les trois solutions se résumaient à: La perte des clés en venant à la boutique, oublier de les prendre et donc dans l'appartement et enfin, porter les clés sur soit. Le jeune Aldrick vérifia alors la dernière solutions, les deux autres ne l'aidant pas des masses. Il fut gêné de toucher la jeune femme, mais il n'avait pas trop le choix, même avec une robe, on pouvait avoir des poches, et il y avait d'autres cachettes, mais Aldrick ne s'imaginait pas fouiller ces zones et à vrai dire, il voyait mal Emeraude planqué ses clés dans son ses sous-vêtements... Finalement, il aperçut un cordon autour du cou de la demoiselle et le prit, le bout, caché dans robe, n'était autre que les clés de l'appartement. Soulagé d'avoir trouver les clés, le jeune Aldrick se redressa face à la porte.
Entrant les clés dans les serrures, il ouvra la porte et repris Emeraude contre lui, cette fois-ci, il opta pour la porter comme les couples venant de se marié, c'était plus facile sur une si courte distance que la trimballer comme un colis. Regardant la petite demeure, il constata qu'elle ne devait vivre que par ses propres moyens, ses parents l'avaient peut-être abandonnés? Ou alors, elle s'était enfuie, si ce n'était ni l'un ni l'autre, ils devaient être mort. Fermant la porte à clés après avoir déposé la demoiselle à terre, il ouvrit les portes de l'appartement et une fois la chambre découvert, y ramena la demoiselle, qu'il déposa sur le lit. Il la regarda alors d'un air un peu troublé, et sourit doucement, trouvant la jeune femme plutôt craquante.
En se disant cela, il lâcha de suite un feulement avant de se taper sur le crâne, se disant qu'il devait vraiment être crevé pour devenir si gnan-gnan. Se redressant, il ouvrit l'armoire de la demoiselle et y trouva quelques vêtements qu'un homme pouvait porter sans problèmes, il vit aussi quelques sous-vêtements de la demoiselle, ce qui le fit rougir. et dire que des tarés aimer voler les sous-tifs des femmes ou les toucher, lui, ne voyait pas vraiment ce qui pouvait autant excité ces tarés. Prenant un pull ample et un pantalon, le jeune homme se dirigea vers la salle de bains qu'il avait découvert, se disant que la jeune femme ne devrait pas se réveiller avant un moment et puis, il avait un besoin énorme de se laver.
Une fois dans la salle de bain, il ferma la porte derrière lui, mais ne mit pas la sécurité en place, se disant qu'après tout, la demoiselle n'allait pas se réveiller avant 1 bonne heure. Se déshabillant, le jeune homme s'installant nu dans la baignoire et une fois trempé, passa du savon sur tout son corps, frottant carrément pour enlever la crasse, l'eau en devenait légèrement noire tellement il était sale. Trouvant un rasoir dans un petit recoin, il décida de se raser le pubis, après tout, c'était devenu une véritable fôret niveau entre-jambe avec le temps... Une fois ceci fait, il fut bien content de ne pas être du genre velu, c'était même plutôt les contraire, il avait limite l'impression que les poils de ses bras et jambes était inexistant.
Même ses aisselles était vierge de tout poils, en gros, il avait l'impression que ses cheveux prenait le tout pour poussé..., il utilisa ensuite une bonne dose de champion sur sa chevelure. Une fois le tout fait, ses longs cheveux cachaient quelque peu sa vue. Sortant de la baignoire, il prit une serviette qu'il frotta doucement sur son visage, il entendit alors un bruit et en retirant la serviette, constata que la porte s'ouvrait, une silhouette se dessinant peu à peu dans la lumière... Il lâcha alors sa serviette de surprise, se retrouvant à la vue de la demoiselle s'étant réveillé avant ce qu'il avait prévu, aussi nue qu'un bébé. Le rouge lui monta alors aux joues et ses yeux affichaient déjà sa gêne...
