Loup en cage [pv]

L’homme-loup était enfermé dans une cage, ils haïssaient cet endroit ! Ce lieu puait et cette odeur infecte lui montait violement à la tête à cause de son flair trop sensible de loup… Il se sentait seul, égarer loin de la meute… Il avait essayer de creuser dans le sol de la cage et n’avait finalement réussit qu’à s’écorcher les mains. Bleiz en avait assez, l’étroitesse de cette cage l’étouffait ! Il voulait être libre ! Il voulait pouvoir courir quand il le voulait… Un gémissement animal s’échappa de sa gorge et il se mit à hurler comme un loup.

L’homme ébranla violement la cage dans laquelle il était enfermer, sa tête heurta violement les barreaux et il tomba ensuite au sol… Il grogna… Si seulement il le pouvait, il lui sauterait à la gorge jusqu’à sentir son cou céder entre ses griffes ou ses dents… Mais il avait sa muselière… Et même si il l’avait assez abîmée pour pouvoir à nouveau hurler, elle l’empêchait toujours de mordre. Bleiz entendit hurler des loups dans le lointain. Il releva vivement la tête et se prépara à répondre à ce cri.

« Oublie les ! Tu n’es plus avec ta meute maintenant ! »

Bleiz grogna et tourna les yeux vers l’homme. Il le menaçait d’un bâton que l’homme-loup ne connaissait que trop bien. C’était le bâton qui servait à le frapper quand il « dérangeait »… Bleiz regarda alors l’homme avec rage. Il ne supportait pas d’être ainsi enfermé ! Encor une fois, il se débattit avec le collier de métal qui l’entravait au niveau du coup. Il avait bien compris que tant qu’il aurait encore cette horreur il ne serait plus jamais libre.

Ses mains écrantages par ses tentatives de fuite lui faisaient mal, il abandonna donc bientôt cette lutte inutile et finit par aller appuyer son dos sur les barreaux de sa cage, le plus loin possible du vendeur. Il replia ses jambes contre son torse et les entoura de ses bras. Il finit par enfouir sa tête dans le cercle que formaient ces derniers. Pourquoi est-ce qu’il avait fallu que ça tombe sur lui ? Pourquoi ne pouvait il plus courir et chasser en compagnie de ses frères et sœurs de meute… Ils lui manquaient tant…

Bleiz relevait à peine la tête lorsque des gens entrait… De toute façon à quoi bon, un jour l’un d’entre eux l’achèteraient et il devrait repartir avec lui… Il avait déjà vu cette scène se produire avec d’autres hybrides. Mais il ne voulait pas être domestiqué… Un long soupire lui échappa. Il en avait marre de cette cage ! Il voulait juste sortir de cette cage… Juste ça pour pouvoir se dégourdit les jambes et pouvoir s’étirer un moment pour chasser l’engourdissement qui commençait à la gagner.

Il se coucha sur le sol de sa cage… Il était totalement dépité et était tellement pressé de quitter cet endroit qu’il en oubliait ses envies de meurtre envers le vendeur et la colère envers ceux qui l’avait capturé et ceux qui finançait ce genre d’acte. Son envie de quitter cette cage était telle qu’il aurait été capable d’accueillir avec joie celui ou celle qui voudrait faire de lui sa possession…

Il avait faim… Il avait soif… Il n’en pouvait vraiment plus de cet endroit…

Viviane s'était rendue compte que, avoir une esclave, c'était bien pratique pour l'aider dans la vie de tous les jours mais, depuis qu'elle n'avait plus de cjien, ses missions devenaient plus difficiles, et plus on est de fous, plus on rit ... Même si maintenant elle avait la compagnie de Hanna, elle aimait étre entourée, bien entourée. Il elle trouvait quelqu'un de croisé avec un chien, il pourait l'aider pour son travail.

La jeune femme poussa la porte de la boutique, dehors, le vent souflait fort, elle du se passer plusieurs foie la mains dans les cheveux pour les remettres en place. Sa longue veste de cuire était ouverte et laissa apparaitre un pul de couleur chaude. Il faisait froid dehor, vraiment froid, surtout que Viviane était plutot frileuse.

Elle fit quelques pas dans la boutique et le vendeur accourur pour lui donner conseil, elle détestait cela ... L'homme était plutot grand, plus qu'elle en tous cas, et moins trapu que le vendeur de la réserve d'ésclaves. Elle se débarassa de lui en finesse, lui expliquant qu'elle préférait se faire une oppinion elle même.

Viviane marcha un instant dans l'allée et vit un jeune homme, torse-nu, alongé sur le sol de sa cage. Elle s'accroupi et son long menteau fit un petit bruit en touchant le sol.

-Tous vas bien ?

Elle s'inquiétait de ne pas le voir bouger, afalé sur le sol. Avait il fait un malaise ou se reposait il simplemnt ?? ENfin se reposer, fasson de aprler, comment se reposer dans un endroit pareille ?

Bleiz avait mal… Son ventre hurlait de temps a autre. Sa gorge aussi lui faisait mal. Il essaya a nouveau d’enlever le lien qu’on lui avait mit en guise de muselière, il en avait assez… Il voulait juste qu’on lui enlève ça, il voulait juste ne plus être entouré de barreau. Un couinement s’échappa de ses lèvres et il entendit la clochette, il ne bougea même pas…

Puis la voix retentit, très près… Bleiz se redressa d’un bond, se cognant la tête au haut de la cage, et la regarda, méfiant, il grogna a travers la muselière. Il renifla un moment l’air et continua de la fixer… Elle ne semblait pas représenter un danger… Il avait la tête incliner et soupira avant de se pencher en avant…

Il réfléchit un long moment… Qu’avait elle dit ? A oui, cette phrase que lui répétait ceux qui était charger de le soigner lorsqu’il se blessait quand il avait été dresser… Il chercha les mots humains correspondant a ce qu’il ressentait et il baissa à nouveau les yeux…

« F…Faim et…soif… »

Dit il simplement d’une voix trop rauque et trop faible, a cause de la muselière, avant de tousser. Il avait mal aussi, mais Bleiz savait qu’il ne devait rien dire ou le vendeur le lui ferait payer, et il avait peur du vendeur… Un instant il en oubliait même l’appel de la vie sauvage et de la liberté… Tout ce qu’il voulait c’était sortir de cette cage, quitte a devoir obéir…

Avec difficulté il s’appuya contre les barreaux, ses jambes étaient tellement engourdis… Il regarda la femme de ses yeux argenté qui semblaient appelé à l’aide… Il voulait juste sortir de cette prison et quitter ce cauchemard…

L'hybride se redressa vivement et se cogna contre le haut de sa cage. Viviane voulut s'approcher mes les barreaux l'en empéchaient. Elle le regarda se redresser, il grognait en la reagrdant, ça fit sourir la jeune femme. Elle avait peut étre trouvé ce qu'elle cherchait sans même le vouloir. Elle resta accroupie pendant qu'il réfléchissait, il ne devait aps bien connaitre leur langue, ou sinon il était rop fatigué pour parler. Il avait faim et soif ? Viviane pourait surement faire quelque chose.

Elle baissa les yeux vers le asc qui pendait a son côté, vu qu'elle n'était pas en mission ,elle pouvait s'en encombrer. Elle fouilla un moment, cherchant une petite bouteille d'eau. Elle repoussa des clefs, un porte monaie, un carnet de chéques, un carnet et un crayon, un sac en papier en cas de crise d'hyperventilation, du maquillage, un paquet de moiuchoirs en papiers ... Et une tonne d'autres chose que l'on trouvait dans le sac d'une fille en générale. Aprés un instant elle tomba enfin sur LA bouteille. Un simple petite bouteille d'eau de 50cl a moitier vide. Elle aussa les épaule et la glissa entre les barreaux, elle aventura sa main dans la cage, poussant la bouteille jusque devant l'hybride.

*COmment pourait il boir avec cette ... Museliére ?*

Elle appela le vendeur et lui demanda pourquoi il avait une museliére, celui ci lui expliqua qu'il avait était croisé avec un loup, et qu'il ne falait pas compter sur lui pour retirer la museliére.
Viviane soupira et fit le tour de la cage, elle s'agenouilla a nouveau, elle était plus proche de l'hybride a présent.

-Approche je vais t'enlever ça.

Sa voix était trés douce, le côté angélique avait repris le dessus
Elle passa sa main droite entre les barreaux et l'approcha doucement de l'homme loup.

-Comment t'apelle tu ?

Elle attendait une réponse a sa question, et que l'hybride s'approche d'elle.
Le vendeur la reagrdait, un pet plus loin, l'air mauvais.

Bleiz se tenait tant bien que mal, il évitait de trop bouger et de parler plus que nécessaire, la muselière le faisait franchement souffrir. Cependant, il se contentait de regarder la femme et la bouteille qu’elle lui donnait… Il avait froncé un sourcil, c’était quoi ça… Lui il n’avait toujours eut que les rivières et une écuelle. Il compris aux paroles de la jeune femme et compris qu’il voulait lui enlever sa muselière… Tant mieux… Mais il ne faudrait pas espérer le lui remettre par la suite… Bleiz couina un instant avant de se rapprocher d’elle, toujours méfiant, puis, il se pencha pour qu’elle puisse la lui enlever. Il baissa doucement les yeux et soupira avant de la regarder de ses yeux d’argent.

« Ils m’appellent Bleiz… Bleiz Luper »

Bleiz ne lui renvoya pas la question… Pas que ça ne l’intéressait de savoir quel était le nom de cette femme, mais les loups ne posait pas ce genre de question… Au sein de la meute le nom importait peu, seul la place était importante, et L’homme-loup avait pus comprendre que, à moins qu’il ne parvienne a reprendre sa vie sauvage, ce serait la personne avec qui il partirait qui serait sa louve ou son loup Alpha.

Pour le moment, l’hybride semblait docile, quand il bougea un peu Viviane pouvait maintenant voir les race de griffe sur son coup, signe qu’il s’était battu et se battait toujours ardemment contre son collier… Mais contre ça personne ne pouvait rien, la clé avait été perdu avec toute ces années… Il la regardait, attendait simplement qu’elle fasse ce qu’elle lui avait promis : enlever la muselière…

[désolée pas trop d'inspi -_-']

[pas grave]

Viviane le reagrda observer la bouteille. Il avait l'air étonné, il avait beau être un homme-loup, il devait bien savoir ce qu'était une bouteille non ?
Elle le fixa un instant dans les yeux, ils étaient a la foie doux et sauvauges, ils devaient refletter la personalitée de Bleiz.

-Enchantée

C'était une habitude pour elle de dire "enchantée" quand quelqu'un se présentait, elle ne réfléchissait même plus a ce qu'elle disait.
L'hybride s'approcha d'elle, il avait l'air méfiant, Viviane allait faire son possible pour être la plus douce possible quan delle lui enléverait sa museliére.
Elle posa sa main droite sur le cou de Bleiz et releva les cheveux qui lui tombaient sur la nuque, de la main gauche, elle détacha délicatement le lien qui lui entaillait en partit le cou. Elle cherchat les autres fermetures, mais ne trouvait pas. Certaines étaient cachées par les cheveux de l'hybride. Elle en trouva enfin une autre, dériérre son oreille. Elle dut utiliser ses deux main, mais rien n'y fesait, elle avait l'air coincée. Ou peut étre aps, mais Viviane n'avait jamais était trés douée avec les noeuds.

Ca commençait a l'énerver, elle allait passer a la maniére forte. Elle sortit sa main droite de la cage et la porta a sa taille. Elle passa rapidement ses doigts sous sa ceinture et pirs un petit poignard qui se trouvait caché a cet endroit.

Le vendeur la reagrdait plus intensément, c'était quoi cette fille pour se balader avec un couteau a la ceinture?

Viviane prit le menton de l'hybride de la main gauche.

-Ne bouge pas!

C'était un ordre sec, clair.
Elle rentra a nouveau sa mai ndroite dans la cage, tenant sa dague. Elle ressera légérement son emprise sur le menton de Bleiz, si il bougeait sa risquerait d'être douloureux. Une foue qu'elle fut sure qu'il ne ferait pas un seul mouvement pendant qu'elle coupait la museliére, elle approcha la dague plus prés de lui. Elle passa l'arme dérierre son oreille, le plat de la lame toucha l'ariére de l'oreille de l'homme-loup, elle éspérait qu'il ne se débaterait pas. D'un geste vif et précis, elle coupa net le lien.

Elle rengeat sa dague et retira doucement la museliére, qui tomba au sol dans un bruit mat.

-Ca va mieu ?

Elle apssa sa main dans le cou de l'hybride, sur le collier de métal, elle avait remarqué des traces de griffures, il avait ésséyaé de l'enlever surement.
Elle reporta son attention sur le l'hybride, plutot que sur son cou.

-Serais tu pret a me suivre et a m'obéïr quand je te demanderais quelque chose ?

Elle fixait l'hybride de ses yeux bruns. Elle avait toujours sa main gauche sur sa nuque, au niveau du collier.

Bleiz l’entendit prononcé un mot… Il ne l’avait encore jamais entendu qu’est-ce que ça voulait dire ? Vu l’air de cette femme, ça n’avait pas l’air très important… Il comprendrait bien un jour où l’autre… Il la sentit poser une main sur son cou et le duvet de ses oreilles se hérissa. Il la sentit agir et ne bougea pas. Elle détacha l’un des liens et l’homme-loup se sentit déjà plus libre… Puis il la sentit ensuite lutter avec un autre fermoir. Il ne s’ouvrait pas… Pourquoi ? Qu’est-ce qui se passait…

Il entendit un léger bruit et tourna les yeux pour la voir avec une griffe étincelante en main. Il émit une sorte de couinement. L’homme sentait aussi le regard du vendeur posé sur eux… Si elle ne le sortait pas d’ici il allait sûrement le payer et avoir une nouvelle muselière, sûrement encore plus serrer… L’étrange femme lui pris le menton et lui parla… Ne pas bouger ? Il n’avait pas vraiment envie de remuer… Il obéit donc, sans broncher.

Elle approcha la griffe de son visage, une lueur paniquée passa dans les yeux argent du loup qui les ferma bien rapidement. Oui, il avait peur, mais qui n’aurait pas eut peur à sa place avec une griffe de cette taille si près de son museau. Il sentit l’arme lui toucher l’oreille et s’enfonça violement les griffes dans les paumes, à sang. Mais rien…

Timidement, Bleiz rouvrit un œil. Il vit l’engin de torture tomber au sol… Il aurait voulu grogner, mais il se sentait trop faible pour s’énerver contre ce lien de cuir où contre quelque chose d’autre. La femme lui demanda alors si ça allait mieux. Silencieusement, il hocha doucement la tête. Oui, la morsure n’était plus, seul la blessure était encore douloureuse. Il fit quelques mouvements de manchonnage, puis bailla…

Après un moment, elle passa sa main sur son cou et le jeune homme se laissa faire, bien sagement. Ce fut à son tour de passer doucement une main sur son cou meurtrie. Il entendit la voix de la jeune femme et compris quelques mots : la suivre, obéir, demander. Il hésita un moment puis s’étira légèrement avant de regarder la femme. Elle était belle.

« Oui… »

Lui dit il simplement alors que la jeune femme avait toujours la main posé sur son collier. Puis il regarda la bouteille et s’en empara avant de se débattre franchement avec elle, mais il ne déboucha pas le… bouchon… Il se débattit un moment, faillit la percer et regarda la femme avant de pencher doucement la tête sur le coté…

« Comment on a l’eau ? »

Et non, il ne connaissait rien aux bouteilles d’eau. Absolument rien.

Viviane ne put retenir un petit rire en le voyant se débartre avec la bouteille, il devait vivre en fôret, avec d'autre loups. Elle le regarda en penchant légérmeent la tête sur le côté. Il y avait des traces rouges sur la bouteille, il était bléssé ? Oui, il saignait, au niveau des mains. Il n'avait pas ça avant, il a du avoir peur quand elle a sortit la dague ... Ca ne la choquait pas plus que ça, elle en voyait si souvent du sang, elle en avait vu coulé en grande quantitée pour al premiére fois a l'age de 7 ans, ça n'allait aps l'effrayer outres mesures.
Aprés sêtre débatu avec la bouteille d'eau, il se dessida a lui deamnder comment l'ouvrir.
Elle sourit a nouveau et tendit les main vers la bouteille. Elle la prit et la raprocha d'elle, d'un geste simple elle tourna le bouchon et le garda dans la main gauche, elle lui tendit a nouveau la bouteille.

-Porte ça a ta bouche et fait doucement couler l'eau.

Elle n'avait peut étre pas était trés claire, mais comment expliquer a quelqu'un a boire a la bouteille, pour elle s'était naturelle depuis longtemps...
Elle aussa les épaules en espérents qu'il comprennne vite comment boir a la bouteille.

-Que dirais tu de sortir de là?

Elle n'aimais pas cet endroit, pas du tout. Il était démoralisant.

Bleiz entendit la femme rire alors que lui se débattait pour atteindre le breuvage. C’est quand elle lui prit la bouteille des mains qu’il vit le sang sur la bouteille… Il fronça un sourcil et regarda ses mains, couvertes de sang… Tiens, là aussi il s’était blessé… Bah, une blessure de plus ou de moins, ça ne le tuerait certainement pas. Ensuite, il regarda la femme ouvrir la bouteille et assimila les gestes qu’elle avait eut pour ouvrir cette bouteille… Alors c’était comme ça qu’on faisait…
La femme lui posa à nouveau la bouteille entre les mains et elle lui montrait comment il devait faire. Il la regarda un long moment avant de se mordre doucement la lèvre. Puis, après un long moment, il porta la bouteille a sa bouche et manqua de se la renverser entièrement dessus. Il s’en renversa un peu dessus mais finit par comprendre avant de finir la bouteille d’eau et la laissa rouler au sol. Ca faisait tellement de bien de boire, il avait eut tellement soif !
Puis, il lui proposa alors de sortir d’ici… Pour ça, il devrait simplement se contenter de lui obéir hein ? Et bien il le ferait alors. Il s’ébroua un instant et hocha la tête avant de se tourner vers la porte de la cage.

« Oui… Sortir… »

Dit il simplement, d’une voix maintenant plus clair, maintenant que le cuir ne le faisait plus souffrir a chaque parole qui franchissait ses lèvres pales.

[j’ai du mal -_-‘]

Viviane sourit et pencha légérement la tête sur le côté en le voyant renverser une partit de l'eau sur lui. Elle trouvait cela plutot cocasse, même particuliérement drole. Elle le reagrda s'ébrouer, ses cheveux étaient de la même couleur que ses yeux, argentés.

Elle appela le vendeur quand Bleiz lui donna une réponse. L'homme s'approcha lentement d'elle, méfiant. Il avait l'air légérement térifié a l'idée de laisser sortir l'hybride. Elle lui demanda pourtant d'ouvrir la cage, mais il se contenta de lui donner une clef de la cage et de lui demadner de la lui ramener quand elle le pairait.

Viviane soupira, lui prit la clef des mains, et ouvrit la porte de la cage. Elle sourit a l'hybride et attendit qu'il sorte.

Elle se releva et vint trouver le vendeur a l'entrée de la boutique. Elle lui lançat les clefs dans les main et paya le vendeur.

Ensuite elle se retourna vers Bleiz et le regarda intensément, se demandant pourquoi le vendeur n'avait pas voulu ouvrir la cage lui même.

[c'est court de mon côté aussi t'inquiéte]

Bleiz entendit la mystérieuse femme appelée le vendeur. Celui-ci semblait terrorisé et cela fit sourire franchement l’homme loup. Quand Viviane ouvrit la porte, l’hybride se releva en s’aidant des barreaux de sa cages… Il fit quelques pas et manqua de tomber… Ses jambes étaient totalement engourdies… Il grogna.

En levant les yeux il vit que sa maîtresse était maintenant près du vendeur… Il allait bien falloir qu’il la suive, il ne pouvait pas marcher sous cette forme… Il n’avait pas vraiment le choix. Il poussa un lourd soupire et relâcha finalement les barreaux.

Au moment où elle revint à le regarder Bleiz n’était plus le Bleiz qu’elle avait vu plutôt… En fait il semblait avoir disparut. Mais si on regardait plus bas on pouvait voir un immense loup recouvert d’une épaisse toison argentée maculée de tache qui ressemblait au sang avec lequel l’hybride s’était taché. Un collier de fer épais entourait le cou de l’animal signe qu’il s’agissait de Bleiz.

L’animal s’avançait, le pas légèrement chancelant… Son regard d’argent était fixé sur le vendeur. Bleiz n’avait rien contre Viviane, elle l’avait aidé, mais lui… Les babines du loup se relevèrent, dévoilant des dents acérées. Il grognait.

Si Bleiz n’avait pas attaquer de suite c’est parce qu’il n’avait pas les pleines facultés de son corps, il avait trop faim… Pourquoi ne pas se faire un encas de cet homme qu’il haïssait tant ! En ce moment, seul Viviane pouvait l’arrêter, il avait promis de lui obéir et une parole de loup était sacrée.

Viviane s'était retopuréne vers Bleiz, mais le vit pas tout de suite. Un magnifique loup blanc se tenait devant la cage, a la palce de l'hybride. Le vendeur n'avait pas mentit, il avait bien était croisé avec un loup, et pas a moitier. L'animal s'avnaçat vers eux, chancelant. Son pelage étiat maculé de sang, c'était une vision plutot, spéciale, trés spéciale même; il y quelques secondes, elle faisait sortir un homme un peut prés normal, d'une cage, et maintenant elle avait un loup taché de sang sous les yeux. Elle ne put se retenir de lacher un mot.

-Waho

C'était a peine audible, mais c'était si rare de la voire surprise. Le loup s'approcha du vendeur en grognat, la jeune femme conprenait ce qu'il ressentait, et elle savait bien qu'il avait plus qu'envi de suater a la gorge de cet homme qui l'avait enfermé dans une cage, sureent battu, et mal nourri.
Elle passa sa main dans le pelage de l'animal, au niveau du cou, elle serra légérement la main pour lui faire comprendre de ne pas trop avancer.

-Tu oeut grigner autant que tu le veux, mais si tu veux déchiqueter quelqu'un, fait en sorte que se ne soit pas un humain ni un animal de compagnie, sinon c'est moi qui suis responsable.

Elle sourit en caressant légérement la fourure de Bleiz, elle avait trouvé la perle rare.

Bleiz s’avança toujours agressif et le vendeur pâlit légèrement avant de se reculer. Le loup continuait de grogner, mais rapidement, la femme lui fit comprendre qu’il ne devait pas attaquer… Il grogna encore un moment alors que la main de Viviane parcourait sa fourrure un peu crasseuse. Le loup tourna ensuite son regard vers la femme…

Puis il se mit a tourner en rond… Si ils tardait, ordre ou pas il ne se retiendrait pas de le dévorer. Après tout il avait été l’un des loup Béta de la meute, il était donc d’un rang assez élever au sein de la meute. Comme une provocation envers l’homme il poussa un hurlement, pour répondre a celui qu’il avait entendu tout les jours sans jamais pouvoir y répondre…

Puis, le loup s’ébroua et resta près de la femme, ses oreilles étaient couchées sur son crâne, signe qu’il n’aimait vraiment pas être forcé de se retenir. Bleiz n’aimait vraiment pas rester en place. Surtout quand il sentait une telle fureur bouillonnée dans ses veines. Finalement, le loup poussa la porte et fila dans la rue où il s’assit pour l’attendre, tout ça avait duré seulement quelques minutes, même pas cinq. Les yeux d’argent de ce loup se posaient sur tout ceux qui se promenaient dans la rue.

Viviane regarda le petit manége du loup, il se contentait de grogner, même s'il avait l'air de vouloir l'attaquer a tous prix. Il tourna autour d'elle un instant avant de sortir.
La jeune femme fit un pas en arriére pour voir ou il allait, il attendait bien sagement dehor, parfait.

Viviane regarda le vendeur qui était devenu blanc comme un linge. Elle s'éttonnait même de ne pas le voir trambler comme une feuille. Elle de son côté, ne voyait pas le probléme, elle aimait beaucoup les loup, même si elle n'avait pas eu l'occasio nd'enc roiser bien souvent, en plus, Bleiz lui obéissait, tout va pour le mieu dans le meilleurs des mondes.
Elle régla ce qu'elle devait régler a propos de Bleiz avec un vendeur qui aurait voulu se dissoudre et se transformer en sucre en poudre pour ne plus être terrorisé par un homme-loup partiiculiérement charmant, et ressortit de la boutique.

Sur le trottoir, elle retrouva Bleiz, assi, bient ranquillement. Il reagrdait les passant, et eux, n'avaient pas l'air trés rassurés. Viviane passa a nouveau sa main dans la douce fourure du loup.

-Viens, on rentre.

Une petite fille qui passait a côté avec sa mère, s'aretta en voyant Bleiz et accouru vers eux. Elle s'aretta devant le loup, totalement ébahie, et commença a le caresser. Sa mére courra vers sa fille et la pria de ne pas le toucher.
Viviane, de son côté, éspérait que Bleiz n'allait pas mal réagire.

[me demande pas pourquoi j'ai rajouté ça, je ne sais pas -_-"]

Bleiz se demandait si tout les humains étaient a vouloir soumettre d’autres personnes… Il regardait ainsi passer les gens, se demandant combien avait déjà mis les pieds dans la boutique… Puis la femme ressortit et plongea à nouveau la main dans sa fourrure et dire quelques mots. Il compris qu’il allait sûrement aller chez elle.

Alors qu’il se levait une fillette vint vers lui, le loup dressa une oreille. Elle le caressa et Bleiz eut un sourire de loup. La mère rappliquait derrière mais il ne se souciait pas d’elle. Le loup donna un gros coup de langue sur le visage de la fillette. Elle était mignonne, et Bleiz avait l’intuition que si plus de personnes étaient comme cette fillette, les gens comme lui ne serait pas en cage. Son regard d’argent croisa un instant celui de l’enfant et il passa doucement son gros museau sur sa joue.

Après quoi il releva les yeux vers sa maîtresse et eut une sorte de petit grognement. Rien n’était agressif en lui a cet instant, cette fillette avait réussit à faire tomber ce qui lui restait de sa colère. Il s’ébroua et manqua de glisser à cause de ses pattes qui lui étaient encore douloureuses. Il attendait que la femme prenne les devant et il la suivrait.

Viviane regarda le petit numéro de la petite fille et de Bleiz, elle sourait. L'hybride était plus doux qu'elle l'aurait pensé, même si ses yeux laissait apparaitre une éxtraordinaire douceure, celle ci se battait en duel avec la sauvagerie qui avait envahi le reagrd de l'homme loup, depuis surement un bon bout de temps. Elle le regardait laver le visage de la fillette d'un grand coup de langue. La mére de la petite était enfin arrivée a la hauteur de sa fille, et la regardait, les yeux emplis d'inquiétude. Même si Bleiz avait léché sa joue de la petite, sa mére n'était pas plus rassurée pour autant, elle prit sa fille par la main et lui dit que son pére l'attendait impassiament. La gamine regarda un instant Bleiz puis serra la main de sa mère en souriant franchement, elle repartit en sautillant.

Viviane fit un sourir triste et baissa les yeux vers l'hybride qui poussa un petit grognement et se redressa et glissa légérement. La jeune femme se baissa vivement, préte a le rattraper, mais il avait déja retrouvé l'équilibre. Elle fit a nouveau un petit sourir triste et aussa les épaule.

-Bon cette fois, c'est partit.

[Je fais le prochain chez Viviane ?]

Bleiz vit le geste qu’avait eut la femme pour le rattraper et soupira, elle paraissait gentille… peut être le laisserait elle allez voir la meute un jour… Ils lui manquaient terriblement… La femme dit qu’il repartait et Bleiz s’ébroua avant de hocher sa grosse tête de loup. Il huma un moment l’air, savourant le parfum de l’air, un doux parfum qui pour lui avait pour le moment l’odeur de la liberté… Il avança alors et bailla… Alors que son ventre était victime d’une violente morsure qui le faisait grogner… Il était vraiment affamé. Son regard s’était un moment attardé sur la fillette alors qu’elle s’éloignait avec sa mère… Pour être un hybride il devait avoir des gênes humaines… Il se demandait ce qu’était devenu la personne de qui il les tenait. Enfin, il ne le saurait sûrement jamais. Quand il revint à la réalité, il s’aperçut que la femme avait commencé a avancer et l’avait dépasser. Il n’eut aucun mal a la rattraper, maintenant, il fallait juste qu’il sache où il habiterait..

[oui]

» [Bleiz] Vous avez déja ramené un loup chez vous ?
» Un retour en cage (PV)
» encore et toujours en cage (pv)
» . : | Chat semi sauvage en cage... | : .
» Tourne et retourne dans sa cage.