[Bleiz] Vous avez déja ramené un loup chez vous ?

Viviane marchait en silence, l'homme loup a côté d'elle. Beaucoup de gens se retourné en voyant un loup, mais elle n'y prétait pas la moindre attention. Elle arriva devant l'immeuble, fouilla un court instant dans son sac, avant de sortir ses clefs. Elle ouvrit la porte et la tint pendant que le loup passait devant elle. Elle fit de même avec la porte de son appartement et la referma dérrierre eux. Elle posa ses clefs sur un petit meuble prés de l'entrée, enleva sa longue veste de cuire, et baissa les yeux vers le loup. C'était étrange, un loup blanc dans une piéce aux murs blanc, avec presque rien sur les murs ... Et uniquement 2 ou 3 plkantes dans des coins. En faite ça lui faisait seulement bizard de ramener un loup chez elle. Elle ouvrit la porte vitrés sur sa droite et se retourna vers le loup.

-Je suppose que tu veux manger quelque chose, mais si tu pouvais me dire quoi ce serait sympa ...

La jeune femme se doutait qu'un loup mangeait de la viande crue, mais un homme-loup? Elle avança dans le salon et se laissa tomber sur le canapé en cuir, elle reagdait toujour l'hybride du coin de l'oeil.

Breiz avait bien docilement suivit la jeune femme, sans même se soucier un instant des regards que l’on posait sur lui car il savait que si il le faisait, il se sentirait encore plus mal que dans cette cage. Viviane s’arrêta soudain et il du bien faire de même. Elle ouvrit la porte et le fit rentrer. Il se hâta de s’exécuter et un instant plus tard elle refermait la porte.
Un instant, Bleiz eut la sensation d’avoir troquer sa cage pour une autre, sans barreaux et plus grande. Il se força a sortir cette idée de son crâne et remarqua que Viviane le regardait, il pencha la tête sur le coté… Elle avait enlever sa veste remarqua t’il. Elle alla alors ouvrir la forte vitré et aussitôt, il se sentit moins étouffé.
Elle lui parla et encore il peina à comprendre. Mais il compris le sens grâce a deux mot « manger » et « quoi ». Le loup s’ébroua et sa silhouette s’allongea avant que le poil ne disparaisse et que son museau ne redevienne un visage… Seul problème, qui n’en était pas un pour lui, quand il reprenait une forme humaine, les vêtements qu’il avait eut avant disparaissaient… Il était donc là… Nu comme un ver…
Nullement gêné de la situation, il s’étira doucement et s’assit au sol.

« Viande crue… »

Dit il simplement. Il n’avait pas conscience que sa tenue pourrait peut être gênée la jeune femme.

[c'était plus fort que moi ^^"]

[ héhéhé ... mdr Very Happy

pourquoi je ris moi ?]

Viviane le regardait toujour quand elle assista a la transformation. C'était impressionant, elle se demadnait bien comment il avait put passer de l'aspec d'humain a celui de loup il y a quelques instant, maintenant elle l'avait dans l'autre sens ... mais l'hybride s'était retrouvé totalement nu devant elle. Elle toussotat et passa une main dans ses cheveux. Ce n'état pas la premiére fois qu'elle voyait un homme nu, mais quand même ...
La jeune femme ne put s'emépcher de sourir mais détourna le regard et se leva pour aller a la cuisine.

-Bouge pas je reviens.

Toujour le sourir aux lévre elle allat dans la cuisine et ressortit quelques instant plus tard, une assiette dans les mains, avec un steak cru, posé dessu.
*J'avais prévu de le faire cuire mais bon*
Elle posa l'asiette sur une table basse a côté de Bleiz et repartit dans un couloir, elle ouvrit une porte et rentra dans sa chambre, elle n'allait pas le laisser ainsi, elle devait encor avoir quelques vétements de son etit ami, ils lui iraient surement. Elle fouilla dans l'armoir un instant, et resortit quelques minutes plsu tard, un calson, un jean et une chemise dans les bras.
Elle s'accroupi a côté de l'hybride, toujours les bras chargés de vétements.

-Tu sais les enfiler ?

Elle se mordi la lévre inférieur en le regardant.

Bleiz avait entendu la femme toussoter, elle avait mal à la gorge ? Il pencha doucement la tête sur le coté. Pourquoi semblait elle soudain si…Nerveuse ? Il vit ensuite qu’elle souriait et elle détourna le regard avant de se lever. Il avait fait quelque chose de mal ? Elle lui ordonne de ne pas bouger, alors il resta là, assis au sol, attendant docilement.
Il la vit ensuite revenir et son ventre se tordit en sentant le doux fumet de la viande. Il la préférait tout de même encore chose, quand l’animal venait à peine de mourir sous ses crocs… Il n’allait cependant pas jouer les fins gourmets, il avait trop faim ! Elle posa alors l’assiette et Bleiz se jeta littéralement dessus alors qu’elle repartait.
Quand elle revint enfin, l’homme-loup avait achevé d’engloutir le steak et un mince filet de sang s’échappa de la commissure de ses lèvres. Oui, on n’avait encore jamais pus lui apprendre à manger proprement. Il ne fallait tout de même pas oublier que Bleiz était avant tout un animal sauvage.
Bref ! La femme, dont il ne connaissait toujours pas le nom revint avec des vêtements, il les fixa un instant, puis regarda la femme.

« Oui…Merci pour viande. »

Il finit par prendre les vêtements avant de prendre le caleçon et le pantalon. On lui avait appris à s’habiller, mais jamais il n’avait couvert son torse plus d’une minute, cela le rendait malade et décuplait son agressivité. Il enfila donc, avec une certaine difficulté, le caleçon, et il manqua de se casser la figure. En revanche quand il passa au jean, cette fois il perdit l’équilibre et se retrouva dos au sol. Un grognement lui échappa.

Viviane aussa un sourcil en revenant. Il devait vraiment avoir faim, il avait tout engloutit, et apparament pas proprement, du sang coulait de ses lévres, c'était élgérement effrayant mais Viviane sourit. L'hybride lui dit qu'il savait s'habiller, mais apparament ce n'était aps sa tasse de thé. Il perdit l'équilibre en enfilan le calçon, mais ne tomba pas, par contre, ça ne ratta pas quand il passa au jean. Il tomba sur le sol dans un bruit sourd, Viviane grimaça en s'approchant de lui.

-Tous va bien ? Rien de cassé ?

Elle passa une main dérierre la nuque de l'hybride, apparament, il n'y avait pas eu de casse. Elle le regarda, un leger sourire aux lévres.

-Attend je vais t'aider.

Elle pencha légérement la tête sur le côté, prit les bords du jean dans les doigts fins, et le fit glisser le long des jambes de Bleiz, jusqu'a son bassin. Arrivée là, d'un geste rapide, elle remonta la braguette et ferma le bouton ,apparament elle avait l'habitude de refermer des pantalons... (mdr). En même temps, elle en rpofitait bien, elle ne pouvait aps le niller, Bleiz était beau et bien taillé.

Bleiz avait vu trente six chandelles quand il avait heurté le sol, mais très rapidement, la femme vint près de lui. Elle lui demanda alors si ça allait et il secoua vivement la tête pour se remettre les idées en place. Après un instant, il posa son regard sur Viviane et hocha doucement la tête.

« Ca va… »

Il sentit alors la main de la femme sur sa nuque et il frissonna doucement. Elle lui dit qu’elle allait l’aider…Aider… Qu’est-ce que c’était ? Il la vis pencher la tête sur le coté et sentit la femme remonter le pantalon le long de ses jambes. C’était une sensation plutôt bizarre… Puis il sentit les mains de la femme fermant le pantalon et elle baissa les yeux vers celles-ci… Pourquoi est-ce qu’elle était si gentille avec lui ? Pourquoi est-ce qu’elle l’avait nourrit et qu’elle l’avait « aider » à s’habiller…

« Merci… »

L’homme-loup frissonna un moment en gardant son regard poser sur les mains de la jeune femme. Ca lui faisait vraiment bizarre qu’on s’occupe si gentiment de lui après tout ça… Un étrange lueur habitait les yeux argent.

Viviane voyait que l'homme loup frissonait, pourtant elle était presque certaine que ce n'était pas de froid, mais que ce passait il alors ? Elle aussa les sourcils, le regard fixé sur lui, de son côté, il ne quitait pas ses mains des yeux. Elle pencha légérement la tête sur le côté et éssaya de croiser le regard de l'hybride. Elle aussa les épaule et s'assi en tailleur, sur le tapis, en face de lui. Elle adorait ce tapis, il était doux, épais, et tériblement confortable.

-Bon ... Si tu as besoin de te dégourdir les jambes ou les pattes, tu peux sortir dans la journée tant que je ne te demande pas de faire quelque chose pour moi, mais si tu sort, rentre avant la nuit tombée sinon ça risque de faire mal ...

Vu que Bleiz était en partit loup, il aurait surement besoin de grand air, mais si il ne rentrait aps avant la nuit, Viviane risquait de lui faire sa fête, sinon tant qu'il était là quand elle aurait besoin de lui, ça allait.
La jeune femme ne savait aps pourquoi, mais elle étiat de trés bonne humeure aujourd'hui, ça devait etre sa jouréne de bonté, accepter un grand nombre de choses, dans la limite du raisonable bien sur.
Elle continuait de le fixer, se deamdnant pourquoi il fixait ses main, mais elle souriait.

Bleiz resta a fixer ses mains jusqu’à ce qu’elle s’assoit en face de lui. Il secoua alors vivement la tête, un sorte de caricature de loup s’ébrouant qui, si on ignorait ce qu’il était pouvait être franchement comique. L’homme Loups ne savait pas vraiment comment se comporter avec elle… Comment se comporter ici… avec les humain… Ou même avec les autres créatures… Il était un loup, un animal sauvage. Il l’entendit et essaya de se faire une traduction. Il pouvait faire ce qu’il voulait quand elle ne lui disait pas ce qu’elle attendait de lui… Il devrait juste être rentrer pour l’obscurité… De toute façon, il le sentait, que la meute ne l’accepterait plus comme un membre à part entière. Son odeur de loup était altérée par son séjour en cage. Il garda un moment le regard dans le vide, puis il le laissa glisser couché au sol aux pieds de la jeune femme.

« D’accord Madame… Je le ferais… »

Bleiz fixa son regard argenté vers le plafond… Ce tapis était bien plus confortable que sa cage… Bleiz faillit d’ailleurs s’assoupir tellement un sol plus mœlleux que le béton lui faisait du bien… En revanche, une chose était sur, il n’accepterait jamais d’avoir une chambre, les lits n’étaient pas pour lui…

Viviane était toujour a genoux sur le tapis mais Bleiz trouva le miyen de se coucher devant elle. Elle fronçat légérement les sourcils et rougit un trés court instant.

- Redresse toi, et tu peux m'apeller Viviane, Madame ça me met mal a l'aise, et si tu veux absolument me donner un "titre" dis Mademoiselle ...

Elle le regarda un instant, pourquoi s'entéter a l'apeller Madame ? En plus, ça la vieillissait atrocement. Elle le fixait, il avait l'air d'apressier le tapis.

-Tu veux une chambre ?

Avec un personne "normale" elle n'aurait pas demandé et lui aurait directement montré sa chambre, mais elle ne conaissait pas les gouts d'un loup. Elle prit le menton de l'hybride dans ses doigts pour le faire ce redresser, elle ne suportait pas de voir quelqu'un soumis a elle quand elle ne le voulais pas.

[dsl pas d'inspiration]

La femme lui ordonna de se redresser et l’homme-loup haussa un sourcil, il ne comprenait pas les humains. Chez les siens… Chez les loups, c’était normal d’agir ainsi. Elle ne voulait pas non plus que Bleiz l’appelle Madame, juste Viviane ou, à la limite, Mademoiselle. L’homme aux cheveux argentés hocha doucement la tête.

« D’accord V…Viviane. »

L’homme aux oreilles effilées avait tout de même beaucoup de mal à parler en humain. L’hybride entendit la femme lui demander si il voulait une chambre. Il la regarda un moment, sans comprendre. Si il voulait une pièce étriquée où il serait chez lui… Une sorte de cage en plus luxueux. La femme le força alors à se relever et il se laissa faire. Après tout, maintenant, elle était une sorte de louve alpha pour lui.

« Ce n’est pas la peine… Une simple coin ou me reposer me suffira… »

C’était étrange de ne pas savoir comment il devait agir, même franchement déstabilisent. Il la fixa donc un moment de ses yeux d’argent. Ici, il n’était plus seulement un loup, mais, il ne savait pas comment agissaient les humains entre eux. Un léger couinement s’échappa de ses lèvres pales. Il avait peur de ce nouveau monde. Peur qu’ici, son instinct ne lui soit pas suffisant. Il s’étira doucement. Il se sentait mieux maintenant qu’il avait le ventre plein et qu’il but tout son soul. Pour le moment, Bleiz était face à elle, ses mains aux ongles griffus retombant simplement à ses cotés. Il lui adressa un sourire de loup, c'est-à-dire qu’il releva doucement ses babines en montrant ainsi ses crocs acéré dans une attitude qui n’avait rien de menaçant comme le montraient ses yeux d’argent qui brillaient d’un éclat infiniment doux.

Un petit sourir se dessin sur les lévres de Viviane, apparament, il avait encor du mal a parler en ... humain. Un coin ou se reposer ?? Viviane aussa les sourcil, c'était étrange, elle pensait qu'apres tout ce temps passé en cage il se jetterait sur un lit, mais apparament sa version loup ne l'acceptait pas. Elle le regarda un instant et dit d'une voix qu'elle voulait assurée.

-heu oui ... d'accord, installe toi ou tu veux, si tu a peur d'avoir froid, demande moi je te trouverais une couverture.

Elle le regarda dans les yeux, il poussa un petit gémissement, la jeune femme n'aurait aps pu dire pourquoi. Elle soupira et fit un faible sourir en se disant que ça ne devait aps être banal de parler avec un homme loup, assis sur un tapis avec une assiette sanglante posée sur la table non loin.
Elle le regarda "sourir" et fit une petite grimace amusée, c'était trés étrange, mais son regard était trés doux.
Elle lui fit un sourir radieux, se leva, retira son pul a col roulé, le déposa sur le canapé de cuire, et se rassi en face de lui. Elle était beaucoup mieu ainsi. Elle portait un teeshirt plutot court et déchiré a pleusieurs endroits, par dessu un petit débardeurs rouge.
Elle pencha légérement la tête sur un côté, il l'intriguait vraiment.

Bleiz regarda ses mains. Oui, un coin ou se reposer et la possibilité de pouvoir allez courir quand il en sentait le besoin, c’était tout ce dont avait besoin l’Homme-Loup. Bleiz n’avait jamais su ce qu’était un lit, et de toute façon, en tant que loup, il préférait sentir le sol et ses vibrations sous ses membres. L’homme aux cheveux blanc hocha doucement la tête, il verrait où s’installer le moment venu.

« J’ai g…grandit en forêt…. Couverture inutile, je pense… »

Bleiz fut surpris lorsque la femme le regarda dans les yeux, et il obéit à son instinct qui lui disait de suivre compte de la hiérarchie d’une meute, et comme elle lui était supérieure, il baissa les yeux. Il l’entendit soupirer, cette femme ne comprenait rien des différence nuance du langage loup… Au moins son corps pourrait exprimer ses pensées sans aucune crainte… Quoi que pour le moment il estimait ne pas avoir à se plaindre.

Quand ses pensées le firent revenir à la réalité il vit la femme enlever son pull et la regarda, sans vraiment le réalisé. Il avait chaud, mais lui, il n’avait rien à retirer, il allait falloir que sont organisme s’habitue à cette vie. Quoi qu’il en soit, il se mit a regarder la femme, il la trouvait belle, et en tout loup qui se respectait, il fit savoir ses pensées.

« Vous être très belle M…Viviane. »

Il s’était rattraper de justesse, puis lui avait adresser un sourire un peu plus humain avant de penché à son tour la tête sur le coté.

Il avait donc grandi en foret, d'un côté ça n'étonnait aps du tout la jeune femme. Pas de couvertures ?? pas de probléme, m^me si la nuit était fraiche, Bleiz davait être habitué. L'homme loup baissa els yeux quand Viviane le fixa, c'étaient ans aucuns doutes une marque de soumission pour un loup. Quand elle se rassi en face de lui, il repris la parole. Viviane aussa les sourcils quand il parla, puis sourit en comprenant le snes de ses paroles. Il la trouvait belle ? A vrai dir, Viviane le trouvait aussi vraiment trés bien mais elle ne lui dirait aps, par simple habitude de ressevoir quelques compliment sans jamais en faire en retour.

-M ... Merci

Il la destabilisait tout de même. Elle se mordi la élvre et fit un petit sourir. Elle le vit sourir a son tour, un sourir plus humain qu'animal, même s'il restait toujour aussi sauvage, mais ses yeux argentés étaient doux, et Viviane ne pouvait s'emépcher de se noyer dans leur imensitée. Ils étaient vraiments spécials, si bestials, sauvages, et tout aussi doux ... Etrange.
Le silence devenait pesant, une sonerie retentit, elle toussota et se releva.

-Je reviens

Elle se dirigeat vers la cuisine, et revint quelques minutes plus tard, une autre assiéte dans les mains, mais cette fois la viande était cuite,
*Merci minuteur*
Ca lui avait permis de faire diversion et d'échaper a ce silence qui la génait. Elle le regarda et se rassi en face de lui, elle entama son assiete sans le quiter des yeux.

Bleiz était ainsi, il lui faudrait un temps d’adaptation avant de pouvoir se comporter comme les autres hybrides. Non, il n’aurait pas besoin de couverture, il avait l’habitude d’être nu en tout temps quand il était en forêt, rien que de porter ce pantalon lui donnait trop chaud. La femme le remercia et l’homme inclina doucement la tête. C’était son moyen de dire que ce n’était rien du tout. Viviane le regarda à nouveau et cette fois il soutint un peu plus longuement son regard et soudain il y eut une sonnerie et sa lèvre se releva légèrement dévoilant ses crocs pointus… Il n’aimait pas les sonneries ! Ca lui rappelait cette maudite boutique ! Il grogna de mécontentement.

Viviane s’absenta et l’Homme-Loup en profita pour regarder la pièce tout autour d’eux. C’était son nouvel habitat. Il s’étira et replia ses jambes contres lui son regard d’argent continuant encore et toujours à fixer la pièce tout autour de lui. Il secoua la tête, ses cheveux blanc-gris se remettant parfaitement en place autour de son visage. Le « loup » se plongea un long moment dans ses pensées et quand il en émergea, il vit Viviane revenir dans la pièce et leva à nouveau les yeux vers elle.

En secouant ses cheveux, l’homme avait vu que ses cheveux étaient crasseux… C’est vrai qu’il n’avait pas pus se laver à son goût depuis qu’il avait été capturé… Il se mordit doucement la lèvre inférieur, mais demeura silencieux, ne connaissant ni le mot « douche » ni le mot « laver ».

Le garçon resta donc là, il la regardait, se demandant comment elle pouvait manger cette viande trop cuite dont tout le délectable goût était dégradé par la chaleur… Bleiz regarda à nouveau la jeune femme et fronça un sourcil. Comment faisaient les humains avec leur vêtements ? Il se sentait trop à l’étroit, c’était désagréable…

Viviane fini de manger en silence, elle n'avait pas fait attention au grognement de Bleiz. Elle voyaut qu'il secouait souvent ses cheveux, elle le reagrda encor un instant avant de reprendre.

-Tu veux peut être te laver ?

La jeune femme ne savait aps si il parlait assé bien l'humain pour la comprendre. Elle se releva, déposa son assiette a la cuisine et revint vers lui. Ne sachant aps s'il allait se relever de lui même, elle lui tendit la main et attendi qu'il se redresse. elle poussa a nouveau la porte qui s'ouvrait sur un couloir bien éclairé puis ouvrit une porte sur sa droite, la salle de bain.

-Tu sais utiliser une douche ?

La jeune femme le fixait ans les yeux, elle passa sa mains dans ses cheveux sans le quiter des yeux. Comment se lavait il jusqu'a présent, comme un loup ?

Bleiz la regarda finir de manger, continuant de ce questionner sur les humains et leurs meurs, il ne savait pas vraiment comment il devrait se comporter avec sa maîtresse. Soudain, elle lui posa une question et elle fronça vivement un sourcil avant de pencher la tête sur le coté, de quoi parlait elle ? C’était quoi ça laver ? Tout à coup, Viviane se leva et emporta son assiette avant de revenir et de lui tendre la main. Le jeune homme pris doucement la main de la femme et se releva avec l’aide de la femme. Il la suivit ainsi jusqu’à la salle de bain et resta totalement immobile sur le seuil avant de tourner les yeux vers Viviane.

« Je ne sais pas Viviane… »

Bleiz baissa les yeux, il avait un peu honte d’être aussi ignorant de la façon de vivre qu’avaient les humains… Il fallait dire que lui, avec la meute, il s’était toujours laver dans les rivière ou les lac, s’y baignant un long moment et se contentant de s’ébrouer en sortant de l’eau claire. Il se mordit alors doucement la lèvre et se remit à nouveau à tiraillée sur son collier de métal… Si seulement un jour il pouvait se débarrasser de ça, il en serait ravie.

la jeune femme le regarda, il avait l'air perdu, il n'avait aps du se transformer en humain bien souvent. Elle, de son côté, elle se demandait bien comment elle allait pouvoir lui expliquer sans faire une démonstration. Elle se mordi la lévre alors qu'il ésséyait de se bébarasser de ce collier de métal qui lui blaissait le cou. Elle l'entraina vers la douche et fit couler l'eau.

-Si tu pousse se bouton, l'eau coule, dans l'autre sens, elle s'arette. L'autre bouton ser a régler la température, dans ce sens c'est chaud, dans celui la c'est froid.

Elle le regarda encor et se deamnda s'il pourait se débrouiller ensuite, mais elle rpéféra tout de même lui expliquer en détaille.

- Ensuite tu te déshabille et tu va sous l'eau, tu prend du savon et tu frote.

Elle lui désigna une savonette dans la douche puis lui montrat un flacon de shampoing.

- Tu fait pareille pour les cheveux avec ce produit. Aprés tu rince et voila.

Elle fit un petit sourir amusé, elle n'aurait jamais epnser expliquer a un homme loup comment se laver, surtout un homme loup aussi beau.

Bleiz n’avait pas seulement l’air perdu. Il était perdu dans le monde des hommes ! Ce monde qui n’était pas le sien. Pas le sien a lui, l’Homme-Loup qui avait toujours grandit dans sa meute et ne connaissait rien de l’extérieur de la forêt et sa vie présente lui faisait un peu peur maintenant. Viviane lui montra ce qu’il devait faire et il répéta pour essayer de mémoriser. Il écouta donc toute ses explications, mais bientôt un air perdu s’afficha son visage alors qu’il regardait la femme… Il devait utiliser quoi pour quoi déjà ? Il cligna un moment des yeux… Il n’avait pas une très bonne mémoire visuelle, plutôt olfactive et là ça ne l’aidait vraiment pas pour le moment.
L’Homme-Loup finit par secouer la tête. Pour l’eau il comprendrait facilement mais le reste… Il ne savait pas lire comment reconnaître la bouteille de champoing ? Bon en tout cas, il avait bien compris qu’il fallait qu’il enlever les vêtements et ça, ce n’état pas plus mal !

« Pas très bien compris… »

Avoua t’il en délaissant les vêtement qu’elle lui avait donner plus tôt, pas gêné le moins du monde par sa nudité, car pour lui cela avait été une habitude de circuler ainsi… Il pencha doucement la tête sur le coté, la regardant et se mordilla la lèvre avant de baisser les yeux et de laisser son collier tranquille… Il ne pourrait que se blesser un peu plus…

Viviane le regarda pour voir s'il avait compris mais il avait l'air totalement perdu. D'ailleurs il lui dit qu'il n'avait pas tout mémorisé. La jeune femme se demandait ou ça bloquait, mais elle sortit de ses pensées en le voyant se dévétir. Un fois de plus i lse retrouvait nu devant elle. Elle fit a nouveua un petit sourir en coin en se mordant la lévre inférieure.

-Bon, vu que la téhorie n'est pas une réussite on va passer a la pratique.

Sa voix n'était aps bien forte, comme si elle parlait pour elle même. Elle mit une main dans le dos de Bleiz et le poussa doucement dans la douche. Elle fit couler l'eau et le laissa régler la température. L'eau coulait le long des cheveux de l'hybride, coulait le long de son corp, et tombait sur le carlage de la bouche en éclaboussant les jambes de Viviane.
La jeune femme leva la tête pour voir dans les yeux de l'hybride si pour le moment ça allait. Quesuqu'il était grand, déja que en principe, il faisait une t^te de pmlus qu'elle, alors vu que la douche était un peut surélevée ... elle le trouvait gigantesque, ça la déstabilisait, mais elle ne laissait rien paraitre, enfin presque. Elle se mit acroupi, attrapa le flacon de gel douche, et se redressa. Elle le déboucha en se rapellant l'histoire d ela bouteille d'eau dans la boutique d'hybride, et elle lui tendit le flacon.

-Tu fais couler le gel dans tes mains et tu te frotes le corp avec.

En tandant le flacon a Bleiz, elle n'avait aps pu éviter l'eau qui coulait maintenant le long de son bras, aucune importance, pour le moment elle n'y pensait pas.
Elle scrutait le visage de l'homme-loup, cherchant a savoir s'il comprenait tout ou non.

Bleiz n’avait pas tout mémorisé en effet. Toutes ces bouteilles…ces réglages… Plus le temps passait, plus l’homme-loup comprenait que la race à laquelle appartenait Viviane était une race assoiffée de domination, même le plus précieux : l’eau… Cette douce liqueur nécessaire à la vie devrait leur obéir comme tout. Pour le moment, il analysait son nouveau monde, tel un nouveau né.

La femme para, le tirant de ses pensées. Théorie ? Pratique ? Qu’est-ce que ces choses là ? Avant qu’il ait pus la questionner, la femme l’avait poussé dans cet étrange bas. Il fronça un sourcil et une sorte de petit couinement lui échappa alors qu’il se demandait ce qui l’attendait. Puis, soudain, Viviane alluma l’eau et Bleiz eut un mouvement de recul, manquant de se casser la figure sur ce sol glissant auquel il n’était pas habituer. Il porta prudemment les yeux vers la femme alors que le jet coulait maintenant sur lui. Une sorte de cascade que l’on contrôlait avec un bouton alors ?

Les yeux de Bleiz avait été un moment envahit de terreur, mais maintenant celle-ci s’était calmée. Il regarda la femme déboucher le flacon et lui dire ce qu’il fallait faire. Les yeux d’argent étaient fixés sur la jeune femme. Il inclina doucement la tête et lui pris calmement le flacon des mains avant de verser quatre fois trop dans sa main. Surpris, il fit tomber la bouteille et la regarda un moment en baissant un sourcil. Il s’exécuta ensuite, faisant ce qu’il lui avait dit de faire. Mais, bientôt, son pied dérapa sur la surface de la douche et il se retrouva assis au sol avant d’avoir pus comprendre quoi que ce soit. Un grognement de douleur lui échappa. La vie des humains n’était pas pour lui apparemment. Pourtant, il allait bien falloir qu’il s’y habitue.

Il s’était fait mal en tombant de la sorte. Bleiz se massa alors les cotes, toujours à moitié assommée. Il secoua vivement la tête en tout loup qu’il était et envoya une multitude de fines gouttelettes d’eau sur Viviane, quand il s’en aperçut, il la regarda un long moment, puis, il finit par baisser piteusement les yeux, en continuant encore et toujours de se masser les cotes.

« Désolée Viviane »

Dit il simplement. Il se sentait mal à l’aise d’agir de la sorte face à la femme qui était en face de lui, il avait vraiment beaucoup à apprendre d’elle.

Viviane le regardait, de haut en bas, elle le trouvait vraiment beau ... et désirable ...

*Oula, a quoi je pense la ?*

Elle se mordi la lévre et sortit brutalement de ses pensées en entandant un bruit sourd. Bleiz avait laché le flacon, et la jeune femme en avait ressu sur le bas de son pantalon, l'eau lui éclaboussait toujout le bas des jambes et le gel douche commençait a mousser. Elle baissa les yeux puis geta un regard a Bleiz, il avait l'air apeuré, et la jeune femme remarqua qu'il avait fait coulé bien trop de savon. Elle souri doucement en le fixant gentilment dans les yeux. Elle aussa les épaule et se détouran un instant.

*Apparament ça va être mouvementé et je vais me faire éclaboussée plus d'une fois ... et un jean mouillé est aprticuliérement désagréable a porter.*

Elle détacha le bouton de son jean et le laissa glisser le long de ses belles jambes. Elle se baissa pour récupérer son pantalon, et elle le posa sur le bord du lavabo. Elle se retourna vers lui, elle allait lui indiquer qu'il avait prit trop de produit, l'eau continuait de lui écalbousser els jambes et coulait toujour le long de son bras. Elle ouvrit la bouche quand Bleiz tomba lourdement sur le sol. Viviane se penchat vers lui pour l'aider a se relever, mais il s'ébrouait déja, l'éclaboussant d'avantage qu'elle ne l'aitait déja. il baissa les yeux en s'excusant. Elle sourit tendrement et s'acroupi devant la douche.

-T'inquiétes aps, ce n'est pas grave. Tous va bien? Tu as mal ?

Sa voix était aprticuliérement douce, depuis combien de temps n'avait elle plus eu se tont doux ? Elle passa sa main gauche dériére le dos de l'homme loup, le fixant toujour, cherchant a croiser son regard. Elle posa sa main droite sur les côtes de l'hybride et les massa doucement, espérents calmer la douleure. Elle recula légérement, se releva, retira son tesshirt pour ne aps le moiller encor un peut plus, elle le déposa a cpoté de son pantalon, et elle s'avança vers lui, en sous vétements noirs. Elle mit un pied dans la douche et se bessa a nouveau, elle récupéra le flacon qu"'il avait laissé tombé et en vi couler un peut dans le creu de sa main. Elle la lui passa dans le do, puis s'attaqua a son torse, s'attardant sur ses côtes, en ésséyant de ne aps trop apuyer pour ne aps le faire souffrire.

Bleiz vit cette femme le regarder de haut en bas et le garçon soupira légèrement. Ce regard le rendait un peu mal à l’aise. Il la vit se mordre la lèvre et haussa doucement un sourcil. L’Homme-Loup chercherait sûrement à se débrouiller autrement. L’homme aux cheveux blanc pencha doucement la tête sur le coté quand Viviane enleva son jean. Peu après sa chute, sa maîtresse s’inquiéta de savoir si il allait bien, il leva les yeux vers elle un long moment, puis hocha doucement la tête.

« Ca va… »

Dit il simplement. Elle l’avait aidé à se relever et maintenant il se trouvait à nouveau debout en face d’elle. La voix de la jeune femme était tellement douce, ça l’apaisait. Il sentit la main de cette femme dans son dos… Son regard évitait celui de la jeune femme, instinct de meute, c’était normal. Finalement elle lui massa les cotes, ça lui faisait vraiment beaucoup de bien, même si il ne réagit pas. Finalement, elle se recula et enleva son pull, se retrouvant ainsi en sous vêtement.

Elle finit par entreprendre de le laver et l’homme la laissa faire bien docilement. Dans le même temps, Bleiz la regarda, elle était vraiment très belle pour une humaine. A ses pensées, il sentit son corps réagir contre sa volonté et il baissa violement les yeux, franchement gêné cette fois. Il avait les joues écarlates et ne savait pas trop comment agir, ni comment la femme allait réagir…

Viviane sourit quand il lui confirma que tout allait bien, il se releva avec l'aide de la jeune femme, et se tenait a présent debout devant elle. Il faisait une bonne tête de plus qu'elle, elle grimpa dans la douche pour se grandir un peut, mais il était toujour aussi grand. Elle leva les yeux pour le regarder, tandit que sa main droite se promenait sur ses côtes et que sa main gauche lui massait doucement la nuque.

L'eau coulait a présent sur elle aussi, maintenant qu'elle était entiérement dans la douche. Ses long cheveux roux se gorgeaient d'eau, et tombaient en cascade le long de son dos, ils fonçaient légérmeent quand ils étaient mouillés et étaient maintenant d'une jolie couleure bordeau. L'eau n'était pas spécialement chaude et elle frissona légérement en la sentant couler le long de son corp.

Elle regardait toujour son visage, il éssayait d'éviter le regard de la jeune femme. La demoiselle garda une main dans sa nuque pendant que l'autre començait a frotter ses bras, sans le quitter des yeux. Il se mit a la regarder et un court instant plus tard il baissa brutalement les yeux et devint écarlate. La jeune femme baissa les yeux en même temps que lui et dcouvrit ce qui le géné autant, elle ne put s'empécher de sourir mais releva les yeux vers lui. Comment réagire face à cela? Elle aurait pourtant aprié qu'il préférait les louves au femmes ...

Avec un homme "normal" elle aurait commencé a le provoquer, faisant son petit numéro de charme, mais elle ne savait pas comment réagire face a l'hybride. Elle continuait de lui masser la nuque mais son autre main était revenue se balader sur son torse.

L'eau coulait toujour le long de son corp, ses sous vétements étaient a présent trampés, et se colaient d'avantage a sa peau. Elle frissona une fois de plus et ésséya de faire comme si rien ne c'était passé. Mais quand elle voulu passer a ses épaules, elle se raprocha de lui et se retrouva a moitier colée a l'homme loup.

Bleiz ne vit pas le sourire de Viviane. Mais il s’était à nouveau trouver debout grâce à son aide. Il restait simplement debout, les bras ballants, en face de la jeune femme. En loup, comme en humain, il dominait la majorité de ses semblables par sa taille. Ses longs cheveux gris blanc étaient collés le long de sa nuque et de ses épaules assez musclées. Quoi qu’il en soit, la jeune femme avait une main posée sur ses cotes, là où il s’était fait mal et où elle l’avait massé un peu plus tôt. L’autre main de la détective était posé sur sa nuque. A mesure que le temps passait, il commençait à s’apercevoir que Viviane portait fréquemment une main au niveau de sa nuque, et ce, qu’il soit homme ou loup. Il se demandait si c’était une manière pour elle d’avoir une certaine emprise sur sa sauvagerie de loup, car il avait, après tout, grandit tel un loup.

La rousse était entrée dans la douche avec lui, l’eau coulait maintenant sur son corps, le garçon aux yeux d’argent la trouva encore plus belle ainsi. Le rouge paraissait plus facilement installé sur les joues de l’Hybride que lui dans sa nouvelle maison. Bref, voir le corps de la jeune femme ainsi n’allait pas aider Bleiz à recouvrer le contrôle de son corps. Mais Viviane continua de lui masser la nuque. L’homme loup était totalement paumé, il ne savait pas comment réagissaient les humains face à ça…

Un grognement étouffé lui échappa alors qu’il sentait la main de Viviane sur son torse. Bleiz avait toujours été un « loup solitaire », il n’avait jamais eut de compagne au sein de la meute, il était donc extrêmement maladroit. Il la voyait frissonner, elle avait froid ? Bientôt, la femme fut toute proche de lui, en fait assez collée à lui… Bleiz, malgré ses envies suivait a hiérarchie de la meute. Un loup béta n’agissait nullement avec une Louve Alpha sauf si elle l’y invitait, et Viviane était devenu sa louve Alpha en l’achetant.

Quoi qu’il en soit, c’est donc le plus chastement du monde que les bras de l’homme loup se refermèrent autour d’elle en la serrant contre lui pour essayer de la réchauffer avec sa propre chaleur. Bleiz était près a assumer les conséquences de son gestes, si conséquences il devait y avoir bien sur.

Viviane l'entendit grogner quand elle passa sa main sur son torse. Elle releva les yeux vers lui, elle le trouvait superbe. Elle voyait qu'il rougisait toujours, elle n'aurait amais pensé qu'elle lui faisait cet effet là, ça l'ettonait beaucoups. Elle avait vraiment l'impression qu"il était loin d'être a l'aise, mais apparament, elle lui plaisait ...

Viviane se deamndait comment réagissait les loups dans une situation pareille, apparament il ne voulait pas vraiment s'approcher trop prés d'elle, il ne la reagrdait même pas dans les yeux, mais vu comment réagisait son corp, il devait en avoir envis.

Bleiz la prit dans ses bras et la rapprocha encor de lui. Elle rougit a son tour, L'hybride était une source de chaleure ... Elle se sentait bien, protégée, dans les nuages.

Elle avait toujour une main dériére son épaule et l'autre sur sa nuque, elle passa la main de l'épaule dans ses cheveux, puis la mi aussi dériére sa nuque. Elle caressait ses cheveux en respirant son odeure la tête posée sur son torse.

Elle se sentait si bien dans ses bras, et a la fois trés génée de sentir l'effet qu'elle lui faisait. Une de ses mains glissa dans son dos, elle profitait au maximun de ce moment, elle aimait le contacte de la peau de Bleiz contre la sienne. Ses sous vétement se confondaient avec sa peau, ils étaient télement collés qu'au touché on ne voyait presque pas la différence, elle avait donc l'impression d'être directemetn en contacte avec lui...

Elle laissa ses deux mains glisser, et s'abadonna dans ses bras musclés qui la réchoffaient et la rassuraient, elle oubliait toute la tension de ses journées de travaille, de tous ses gens qu'elle avait tués et de tous les cous qu'elle avait put ressevoir.

Elle ferma les yeux et embrassa tendrement le torse de l'homme loup, elle n'avait aps pu s'en empécher. Elle respirait calmement, s'il la lachait maintenant je ne sais aps si elle tiendrait encor debout, c'est comme si elle était dans une sorte de transe, son esprit ayant quité son corp ... Mais elle était bien la, et elle n'aurait laissa sa palce pour rien au monde. Cepandant, elle ne put s'empécher de frissoner une fois de plus, pas a cause du froid cette fois, elle tramblait en sentant la virilité de Bleiz contre elle, et la serrer contre lui n'arangeait aps les choses.

Viviane commenaçit a avoir chaud, mais elle ne bougeait aps, ses long cheveux coulaient toujours le long de son dos, sa respiration s'accelérait peut a peut, mais elle restait immobile, la tête posée sur le torse de l'hybride.

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