A sequel to Olphera
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 Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -

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MessageSujet: Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -   Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement  - EmptyMar 15 Jan - 17:27

Encore une journée en cage, Aldrick se réveilla, sa chevelure orangée brillant doucement sous le peu de lumière présente dans sa cage. Cage qu'il habitait maintenant depuis quelques temps, il ne savait même plus quel jours ni quels mois il était. Redressant son visage aux traits normalement doux, il se réveilla lentement, puis, une fois bien éveillé, son visage reprit ses traits dur et mécontent qu'il affichait tout le temps. Ses yeux verts regardèrent les alentours, toujours le même lieu sale et humide, et même une certaine puanteur, après tout, il semblait que quelques-un des esclaves présent dans la boutique ne se gênaient même plus pour faire leurs déjections à même le sol.

En tout cas, ce ne serait pas Aldrick qui se rabaisserait à ce point, pisser et chier sur le sol, il fallait vraiment avoir une araignée au plafond pour en arriver là d'après lui. En même temps, il faut dire que les toilettes des cages n'était guère accueillante, encore heureux qu'Aldrick faisait un minimum le ménage dans la prison lui servant de cage. En effet, il n'était pas rare qu'il dérobe aux maîtres passant près de sa cage un vêtement qu'il utilisait ensuite pour laver un peu "sa demeure". Bref, toujours le même train-train, encore de nouvelles recrues vendus par d'autres humains au patron de la boutique, qui allaient tous se retrouvés dans une cage.

Et bien entendu, la plupart des jolies filles esclaves livrées se feraient certainement violer par quelques vendeurs ou le patron de cette boutique puante, au moins, Aldrick n'avait pas à se plaindre d'être un garçon, il n'avait pas à subir les sévices des propriétaires des lieux. Et encore, il y avait bien un employé homosexuels, mais ce dernier n'aimait que les esclaves soumis, et Aldrick était bien content d'être un rebelle, au moins, il n'aurait jamais à sucer ce sale type ou à se faire prendre par derrière, de toute façon, si jamais le vendeur gay tentait de se faire le jeune Aldrick, il se retrouverait certainement avec un trou à la place des parties génitales...

Le jeune homme, dans sa cage, se dirigea vers le fond de celle-ci et sorti d'une petite pile de vêtement un bout de miroir casser. Se regardant dedans, il soupira de désespoir, franchement, ses cheveux avaient pris un sacré coup à ne pas être lavé depuis qu'il s'est retrouvé ici. Et oui, dans cette boutique, il y avait une "douche" seulement 3 fois par semaine et encore, sans savon, de ce fait, ce n'est pas juste faire trempette qui allait aider les esclaves à dégager une odeur agréable, d'ailleurs, Aldrick se demandait bien comment faisait les clients pour ne pas s'évanouir face à l'odeur putride que dégager les cages.

Se redressant, Aldrick s'adossa contre les barreaux de sa cage, et porta son regard vers la porte d'entrée, et accessoirement pour ceux se faisant acheter, de sortie, du magasin. Plusieurs minutes passèrent, c'est alors qu'une musique stridente retentit, réveillant ainsi les esclaves. Le propriétaire dit que c'était l'heure d'ouvrir. Il ouvrit alors la porte, c'est alors que plusieurs des esclaves se mirent en avant, mais pas Aldrick, de toute façon, à cause de son caractère et de ses manières, il n'était qu'un "produit bas-de-gamme" du magasin, et de ce fait, bien peu de maîtres s'amusaient à venir le voir. De toute façon, c'était souvent des sortes de sadique qui se dirigeaient vers lui, et heureusement pour lui, il ne devint jamais le choix final de tout ces détraqués...

Plusieurs heures passèrent, il était maintenant 11h20 du matin, et la porte s'ouvrit de nouveau, c'était une jeune et plutôt jolie fille qui entra, vêtu d'une robe blanche, elle avait de longs cheveux sombres et un visage agréable aux yeux d'Aldrick, elle ne semblait dégager qu'une aura de douceur et tendresse, et elle étonna alors le jeune rouquin. En effet, la jeune femme se dirigeait vers lui, lui qui pourtant n'attirait que les pervers et perverses sadiques, cette fois-ci, c'était une fille ne dégageant aucune impressions malsaine qui s'approcha de lui, enfin, elle devait surtout être attiré par le prix, d'une certaine manière, si Aldrick était docile, il serait alors l'une des pièces chères du magasin, vu qu'il reste beau pour la plupart des gens, d'ailleurs à chaque fois, ça devait être son joli minois qui avait d'abord attirés les autres tarés... Bref, Aldrick observa la jeune femme, attendant qu'elle dise quelque chose, tandis que le vendeur semblait essayer de la dissuader de parler, s'approcher et même acheter le jeune rouquin aux yeux verts...


Dernière édition par le Mer 23 Jan - 0:18, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -   Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement  - EmptyMar 15 Jan - 21:34

Comme d’habitude, Emeraude s’était levée de bonne heure. Son travail au restaurant commençait à 08h00 tapante. Préparation des cuisines, des tables, du bar, inventaire de la réserve, c’était son boulot du matin jusque 10h00, ouverture du restaurant. Là, elle réceptionnait les commandes venant de tous les serveurs et les envoyait en cuisine.

Ce matin là, elle avait eut un boulot monstre. La veille, il avait reçu des entrepreneurs et leurs actionnaires qui avait bien trop bu et qui avait cassé pas mal de choses et de verres. Elle avait bien sur nettoyé une partie de la salle mais n’avait pas pu faire le reste, elle avait donc deux fois plus de travail ce matin là. Elle avait rempli à nouveau le bar, atrocement vide, préparé la cuisine pour les chefs, avait dressé les tables pour les premiers clients et avait également fait l’inventaire de la réserve bien entamée… Il y avait donc bon de commande à faire ce matin. Elle eut tout juste finit pour l’ouverture. Elle prit alors son second service, le relais entre les cuisines et les serveurs et accessoirement aide cuisinière quand il manquait un cuisinier… Dire qu’elle avait pourtant signé un contrat d’aide de cuisine…

Les clients défilèrent inlassablement à croire qu’elle ne pourrait jamais prendre sa pause pourtant si méritée. Ils avaient du se passer le mot pour aller manger ce matin, elle ne cessait de courir entre les cuisines et la salle, elle se coltinait même l’accueil ce matin, la fille de salle étant malade. Pourtant, elle ne se plaignait pas mais elle en faisait trop.

Un des vieux cuisiniers qui avait prit Emeraude en pitié et se voulant paternel avait demandé au patron de lui accorder une pose de deux bonnes heures ou elle finirait comme sa mère. Tout le monde était au courant au restaurant bien sur mais nombres des gens profitaient de sa gentillesse. Le patron céda à la demande de son meilleur cuisinier et elle put sortir et souffler. Elle se reposa un petit quart d’heure les pieds puis se leva. Ce jour là, elle n’allait pas très bien, aussi, son patron la renvoya chez elle sous demande très clair du cuisinier paternel de la maison qui voulait remplacer le père de la jeune fille. Elle fut donc priée de retourner chez elle avec un dîner préparé pour elle sur le compte du vieil homme. Bien entendu, elle s’exécuta et rentra chez elle, elle mit le plat dans le four en attendant le soir.

Mais voilà, pour Emeraude, ne rien faire de sa journée lui était impossible. Son travail l’épuisait et tous profitaient de sa gentillesse pour se porter pâle mais elle aimait son travail. Elle décida de faire ce qu’elle n’avait jamais voulu faire ni même n’avait eut le temps de le faire. Elle s’était en fait promise de sortir quelqu’un de ces endroits maudits qu’étaient les magasins d’esclaves en général. Elle rassembla ses économies, qui n’étaient pas particulièrement énorme mais pas minime non plus, elle savait qu’avec ça, elle pourrait au moins sortir quelqu’un de ces trous maudits. Peut-être la seule chose qu’elle détestait sur la terre. Elle se décida à sortir, prête à devoir mettre les pieds dans le quartier est, qui était réputé pour sa déchéance, bien entendu, elle n’en savait rien.

Elle marcha un bon moment avant d’enfin arriver au quartier est. Elle fut horrifiée, tout simplement. Elle si douce et si gentille contrastait affreusement dans un endroit pareil. Elle accéléra le pas ayant un peu peur tout de même. C’est qu’elle n’était pas tranquille dans cet endroit. Elle aperçu enfin la boutique d’esclave et entra en se pressant rapidement.

D’entrée le marchand se dirigea vers elle pour lui souhaiter la bienvenue. Emeraude répondit gentiment par un simple bonjour souriant et avança dans l’allée de cage. Elle restait souriante mais elle trouvait cet endroit horriblement sale et l’odeur… Pourtant, elle ne décrocha pas sa bonne humeur, elle ne pouvait pas tous les sauver et même un, elle n’en était pas certaine. Les cages étaient d’une saleté à faire peur même les plus fainéants en matière de nettoyage. En s’avançant, elle fut frappée par un garçon aux cheveux oranges. Ce n’était même pas le fait qu’il n’était pas cher mais son visage était si dur, si haineux… Le vendeur tenta bien de la dissuader d’approcher, mais elle ne l’écouta pas le moins du monde et répondit juste que tout irait bien.

Elle se planta devant la cage et sourit au jeune garçon puis elle prit la parole, ses yeux brillaient de pouvoir peut-être sortir quelqu’un de là et le rendre heureux, même si pour cela elle devait se priver.

« Bonjour, comment vas-tu ? Mon nom c’est Emeraude et toi ? »

Elle n’en dit pas plus, c’était la moindre des choses à ses yeux que de se présenter avant. Elle lui présenta sa main dans l’espoir qui lui serrerait. Le vendeur n’était franchement pas à l’aise de voir la jeune femme en face de la cage du garçon mais le client était roi, ou plutôt dans le cas présente reine. Le marchand n’insista donc pas sur les recommandations d’autres esclaves et finit par se taire laissant enfin Emeraude et le jeune homme aux cheveux oranges et aux yeux verts seuls face à l’un l’autre séparé par des barreaux.
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MessageSujet: Re: Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -   Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement  - EmptyMer 16 Jan - 16:56

Regardant la belle inconnue, Aldrick dirigea par la suite son regard vers le plafond de sa cage, lâchant un soupir d'ennui. Oui, l'ennui, c'était bien la chose qu'il ressentait le plus ici, car au fils des jours, on se fait rapidement au quotidien d'une boutique. En gros, il y avait la nuit, dangereuse pour les femmes esclaves car les propriétaires ne se gênaient pas du tout pour profiter de celle qui avait déjà couchée, cela dit, ils avaient tendance à laisser les filles vierges tel quel, en effet, il semblait que les filles et femmes vierges se revendent plus chères que celle ayant déjà couchée. Sûrement que les maîtres aimaient se sentir fort au point de décider de qui aurait la virginité de leurs joujous humains, hybrides ou neikos. D'ailleurs, en parlant de neikos, Aldrick n'avait jamais compris pourquoi tant de personnes aimaient couchés avec, après tout, ils sont considérés comme des animaux, donc, qu'un humain couche avec une neiko, cela ne serait pas à mettre dans la zoophilie?

Enfin, après tout, les maîtres avaient tout les droits sur leurs esclaves dans cette ville, d'ailleurs à y repenser, Aldrick se demandait si ses parents faisaient aussi ce genre de choses avec leurs neikos, mais à son humble avis, la réponse devait être non, après tout, ses parents avaient beau être des salopards à l'avoir ainsi vendu, ils ne devaient pas l'être au point de violer ou battre des neikos, hybrides ou esclaves. Cela dit, vu que le père du jeune homme développer des ordis, il devait forcément se passer des choses avec, car à la base, les ordis ont l'air d'avoir été fabriquer pour être des sortes de poupées sexuelles améliorées... Rien que de penser aux ordis donné à Aldrick une envie de frapper contre les murs de sa "prison". Après tout, c'était la faute de ces machines que tout est partie en vrille dans la vie du jeune homme, il haïssait les ordis, pour lui, c'était à cause de ces robots qu'il avait fini là, cela dit, il détestait au moins autant ses parents, et dire que son père avait toujours voulu avoir un enfant, et que au final, il le revendait pour se soigner, tu parles d'un père...

Finalement, il rapporta de nouveau son attention sur la jeune femme aux grand yeux verts, l'espace d'un moment, Aldrick se dit que s'il passait ses bras par les barreaux, il pourrait la prendre en otage pour s'enfuir de ce trou à rats, cela dit, il trouva cette idée idiote, après tout, si elle s'approchait de lui, c'était qu'il l'intéressait, et donc, elle pourrait certainement l'acheter et ainsi, il pourrait partir d'ici sans avoir recours à des manières violente. Ce qui étonner le plus le jeune rouquin était le sourire de la jeune femme, franchement, il se demandait comment quelqu'un pouvait garder un tel sourire dans un endroit dégageant une tel odeur, mélange de déjections corporelles et de crasse. Observant la belle inconnue, Aldrick détailla la tenue de cette dernière, à en croire la qualité de sa robe, elle ne devait pas être bien riche, cependant, Aldrick ne pouvait nier que pour une fille loin d'être riche, elle semblait dégager une certaine grâce, c'est limite si elle dégageait une aura poussant Aldrick à adoucir son visage, cependant, il ne le fit pas, ce n'est pas parce que cette femme avait l'air gentille aux premiers abords qu'elle l'était, après tout, il y en avait beaucoup des maîtres semblant gentils mais qui au final se révélaient être des sadiques de la pire espèce.

Cela dit, même en se disant cela, Aldrick ne pouvait pas se dire que la douceur des traits du visage de la jeune femme étaient faux, non, elle semblait trop gentille et douce pour jouer la comédie. Le jeune rouquin remarqua par la suite que les yeux de la jeune femme brillaient d'une certaine lueurs, il se demandait bien ce qui pouvait lui donner un tel regard, mais surtout, comment pouvait-elle lui sourire ainsi, il n'arrivait pas à comprendre comment quelqu'un pouvait lui offrir un tel sourire alors qu'il faisait tout pour avoir un visage haineux, chose assez difficile étant donné qu'à la base, le jeune Aldrick à des traits doux, voir angélique. Se présentant sous le prénom d'Emeraude, la jeune demoiselle demanda au rouquin comment il s'appelait. Elle se prénommait donc Emeraude? Hé bah, ses parents ne devaient pas avoir d'imagination pour donner à la demoiselle un tel prénom, sûrement qu'en voyant les yeux de la jeune femme quand elle venait de naître, ils ont décidé de lui donner ce prénom...

Tendant sa main à Aldrick, elle ne semblait pas se rendre compte où elle était actuellement, il fallait être plutôt naïf pour se montrer si gentille avec une personne retenue ainsi prisonnière, après tout, les esclaves, neikos et hybrides étaient parfois bien plus dangereux que les maîtres... D'autres esclaves de la boutique dissuadèrent le vendeur d'empêcher la jeune femme de s'approcher plus d'Aldrick, sûrement que le fait qu'il soit ici depuis un moment et n'apporte pas trop de problèmes l'avait rendu agréable aux yeux des autres esclaves, ou alors, ils se disaient qu'ils allaient enfin être débarrasser de lui? Aldrick n'en savait rien et s'en foutait pas mal... Se retournant pour se retrouver face à la jolie Emeraude, le jeune rouquin lança un regard interrogateur vers la main de la jeune femme avant de s'approcher un peu plus d'elle, ou en tout cas, au maximum que lui permettait sa cage. Soupirant, le jeune Aldrick dit alors, d'un ton qui se voulait dubitatif:


"... Oui, elle est jolie ta main... Tu veux que j'en fasse quoi? Que je te l'arrache et en fasse un trophée? Tu dois être bien naïve pour te comporter ainsi, il y a des esclaves qui t'étrangleraient déjà pour tenter de sortir d'ici, et à vrai dire, cette idée m'a traverser l'esprit un petit instant... Hum... Et donc, tu veux savoir mon nom? Pourquoi ej le donnerais à une simple inconnue? Tu n'as qu'à demander à quelqu'un d'autres mon nom, moi tant que je serais dans cette cage puante, je ne comptes pas te le dire... Mais si tu veux, appelle moi "maître", ou encore "dieu", c'est comme tu veux..."

Finissant ses dires par un soupir, il tendit sa main vers celle de la jeune femme et tapa dedans pour la faire baissée, une fois cela fait, il se mit à dos à la jeune femme, soupirant de nouveau puis sorti de la poche de son pantalon délavé une petite balle, qu'il se mit à balancer conte le fond de sa "prison", se disant que maintenant, il serait tranquille et que la demoiselle irait voir ailleurs... Cela dit, il se retourna en stoppant sa balle et la rangeant, et en se retournant, il put constater que la jeune demoiselle était toujours là. Soupirant, Aldrick posa sa joue droite au creux de sa mains, fixant dans les yeux la jeune femme.

" Bon... Je vais te le dire mon prénom, Aldrick, t'es contente? Oui? Alors maintenant tu peux aller voir un autre esclaves, je pense pas qu'une fille avec ton jolie minois est besoin d'un esclaves comme moi, de toute façon, personne n'a besoin de moi."
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MessageSujet: Re: Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -   Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement  - EmptyMer 16 Jan - 17:53

Malgré tous les efforts du vendeur, Emeraude avait quand même décidé de parler à ce garçon aux yeux si particuliers. Elle s’était quand même approchée de la cage et s’était présentée. Visiblement les autres esclaves voulaient que le vendeur arrête d’essayer de convaincre la jeune femme. Elle n’écoutait pas vraiment autour d’elle, elle gardait son attention portée sur le jeune garçon aux cheveux orange. Il semblait ailleurs et regardait sa main comme si ce n’était pas normal, elle ignorait un peu pourquoi mais se doutait qu’il ne devait pas forcement aimer les gens avec un tel regard. Elle était persuadée que c’est parce qu’il était là.

L’odeur du magasin n’était vraiment pas agréable mais elle souriait encore et ses yeux ne cessaient de briller. Sûrement une lueur d’espoir intarissable chez elle. Revenant au garçon qu’elle n’avait pas quitter des yeux, elle gardait la main tendue attendant un geste quelconque de sa part, même un rejet. Elle n’avait pas peur d’être prise comme otage ou même blessée, soit elle ne se doutait pas que cela pourrait arriver, soit elle s’en fichait en voulant prouver sa bonne volonté… il y avait sans doute un peu des deux. Le jeune homme lui tourna le dos, elle attendit quand même encore. Il finit par se tourner pour être face à elle et s’approcha autant que possible, elle ne recula pas le moins du monde. Elle eut droit à un regard interrogateur des plus explicites mais son sourire… Elle ne le décrocha pas du tout, que du contraire quand le garçon daigna lui parler même s’il se foutait d’elle.

En fait, ce n’était pas vraiment ça. Il était plutôt sarcastique et on aurait même pu prendre ça pour de la méchanceté dans l’unique but de la faire fuir. C’était sûrement l’objectif premier de ces paroles. Elle rigola de bon cœur quand il lui dit de l’appeler dieu ou maître. Elle n’avait pas eut peur de ses dires, elle ne comprenait même d’avoir dit ça. Pas pour se moquer, non… Ca la faisait réellement rire joyeusement et ça se voyait. Son rire n’était pas mauvais loin de là.

Ensuite, il frappa sur sa main pour la faire baissé. Elle ne s’en offusqua pas. Le garçon lui tourna le dos après avoir finit sa phrase dans un soupir. Il sortit une balle avec laquelle il joua un moment, elle n’insista pas mais ne bougea pas non plus. Il stoppa son jeu et rangea la balle, il se retourna ensuite vers elle. Elle avait mit ses mains derrière son dos en se penchant vers la cage comme si elle tentait de voir quelque chose sur une étagère. Son visage était proche des barreaux. Le vendeur n’était certes pas confiant, bien loin de là d’ailleurs. Quand il se retourna, il put apercevoir son visage en gros plan. Il soupira à nouveau et finit par se présenter de mauvaise grâce. Ce n’était pas grave et même s’il ne s’était pas présenté. Elle sourit à nouveau. Il s’appelait donc Aldrick. Elle fut triste par contre de l’entendre dire que personne n’avait besoin de lui. Tout le monde avait besoin de quelqu’un même si certains ont plus de mal à l’accepter. Alors, elle prit la parole, un peu triste mais arborant toujours un faible sourire et des yeux pleins d’espoir.

« Tu sais Aldrick… »

Elle s’agenouilla face à lui et elle attrapa les barreaux comme si c’était elle qui était en cage ignorant complètement le vendeur.

« C’est triste ce que tu dis. Tout le monde a besoin d’un peu de compagnie et tout le monde a besoin de quelqu’un… Regarde moi… Je n’aime pas ce genre d’endroit, je les trouve horrible, malgré tout je suis là. Je n’ai pas beaucoup d’argent mais si je peux sortir même une seule personne d’ici… Je serais vraiment contente. Veux-tu être celui qui sortira d’ici avec moi ? Je ne te demande pas de m’aider pour quoi que ce soit, je ne te demanderais jamais de faire quelque chose pour moi ou chez moi. Tu pourras rester chez moi autant que tu le veux et quand tu voudras partir, même si c’est dans deux jours, tu pourras. Si tu as des ennuis, tu pourras toujours revenir. Ca te va ? »

Voilà, elle était comme ça, ce qui perturba pas mal le vendeur d’ailleurs. Il se demandait vraiment pourquoi cette jeune femme était entrée ici. Il trouvait sans doute qu’elle n’y avait pas sa place.
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MessageSujet: Re: Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -   Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement  - EmptyJeu 17 Jan - 19:14

Regardant la jeune femme, le jeune homme restait tout de même surpris de la voir encore là, à le regarder, à croire qu'il était comme ces objets que l'on veut à tout prix à cause d'un coup de coeur. Il se comparait à un objet, compréhensible quand on est considéré comme un esclave, certes, être considéré comme tel ne l'enchanter pas, mais il fallait bien se faire une raison, quand on est un homme en cage, dans une boutique d'esclaves, c'est que l'on en est un, point. Les grand et beau yeux de la jeune femme gardait en eux une lueur, comme une lueur d'espoir, peut-être était-elle enthousiaste à l'idée de sortir le jeune rouquin de là, ou alors, elle était heureuse d'avance d'avoir un larbin plutôt beau?

Aldrick n'en savait rien, et à vrai dire, il se foutait pas mal de savoir le pourquoi du comment. Dire que malgré l'odeur peu agréable que dégageait le jeune homme, la jolie Emeraude restait tout de même proche, cela étonné le rouquin, il se demandait même si la demoiselle ne couvait pas un rhume pour rester si proche de lui, ou elle était peut-être bien folle? Bah, de toute façon, folle ou pas, elle intriguait tout de même Aldrick, il ne pouvait pas le nier. Et quoi de plus normal d'être intrigué par une jeune et jolie femme, quand en plus celle-ci s'intéresse à vous et pas à un autre? Mais ce qui surpris encore plus le jeune homme au final était le fait que son sarcasme fasse rire la demoiselle, il n'avait pourtant rien fait pour être drôle, mais elle, elle riait de bon coeur, un peu comme un enfant.

Malgré le fait qu'elle rit à ce qu'il dit, il constata que ce n'était pas un rire moqueur, loin de là, et cela intriguait encore un peu plus Aldrick, qui se demandait comment une fille comme ça pouvait être actuellement dans cette boutique. Elle en devenait attachante aux yeux du jeune homme, qui d'ailleurs, était plutôt énervé de trouver une fille sympathique, pas question malgré cela qu'il ne garde pas son regard, non, pas question qu'il s'adoucisse parce qu'une fille lui plaît bien. Une fois que le jeune homme eut fini de jouer à la balle, il constatait que la jeune demoiselle était toujours là, penchée vers lui, son visage proche des barreaux, franchement, elle ne devait pas se rendre compte du danger que pouvait représenter un humain en cage...

Une fois les présentations officiellement faites, elle sourit à nouveau, mais elle perdit un peu son sourire, visiblement attristée, Aldrick se demanda soudainement s'il avait blessé la jeune femme, avant de se rétorquer à lui même qu'il n'avait pas à s'inquiéter pour elle de toute façon. S'agenouillant, la demoiselle prit s'adressa alors au jeune homme, un regard plein d'espoir. elle attrapa les barreaux en s'approchant encore un peu plus, décidément, elle était vraiment étrange cette Emeraude. Elle lui dit alors que ce qu'il disait était triste, que tout le monde avait besoin d'un peu de compagnie et de quelqu'un, expliquant également qu'elle n'aimait pas ce genre d'endroit, les trouvant horrible, mais qu'elle était là malgré tout.

Elle n'avait pas beaucoup d'argent mais voulait faire sortir d'ici au moins quelqu'un, qu'elle en serait vraiment contente. Elle demanda alors au jeune rouquin s'il voulait être celui qui sortirait de là grâce à elle, en la regardant, Aldrick se senti déstabilisé encore un peu plus, pourquoi une fille si agréable voulait le faire sortir d'ici? Il ne le méritait pas après tout, non, il ne méritait pas qu'une fille comme elle s'intéresse à lui sans raisons. Elle ajouta qu'elle ne lui demanderait rien, qu'il pourra rester autant qu'il le voudra et s'en aller quand il le voudrait, même si c'était dans deux jours, et que s'il avait des ennuis, il pourrait toujours revenir.

Regardant la jeune femme, Aldrick rougit légèrement, c'était vraiment une personne à part cette demoiselle, elle voulait le faire sortir de là et ne l'empêcherait même pas de partir ensuite, et même s'ils 'en allait, il pourrait revenir, tout le monde se demandait ce que faisait une fille comme ça ici, pas étonnant d'ailleurs... S'approchant des barreaux, le jeune homme posa ses mains sur celles de la jolie Emeraude, puis son font contre les barreaux, il murmura alors "je veux sortir, je veux sortir". Se redressant subitement, il se dirigea vers le fond de sa cage et prit une sorte de petite valise, une fois quelques babioles rangées à l'intérieur, il la ferma et se dirigea vers la demoiselle.


"... Franchement, tu n'as rien à faire dans un tel endroit, partons vite de là... Ha, donc oui, je veux bien sortir de là avec toi, mais en échange, je veux un bain et quelques vêtements, je me fou qu'il soit chères ou de bonne qualités, je veux juste autre chose que ce que j'ai depuis plus de 4 mois... Hum... Et.. Euh... Merci... Je ne te le promets pas, mais j'essayerais de t'aider quand même, et vu que tu as l'air plutôt seul, je veux bien rester chez toi un bon moment, que ce soit un loft ou un petit studio, de toute façon, ça sera toujours mieux que cette cage puante..."
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MessageSujet: Re: Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -   Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement  - EmptySam 19 Jan - 0:01

Après un bon moment, une courte discussion et une présentation. Le jeune homme lui avait dit que personne n’avait besoin de lui de toute façon. Ca l’avait rendue triste et elle lui avait exposé son point de vue. Toujours accroupie face à la cage et le visage tout proche. Le jeune homme avait rougi, elle n’en revenait et en restait légèrement surprise. Grâce à ces petites rougeurs, elle retrouva son sourire en un rien de temps. Il posa ensuite ses mains sur les siennes et son front conter les barreaux qui les séparaient.

Elle l’entendit alors murmurer qu’il voulait sortir… Avait-elle rêvé ? Voulait-il bien l’accompagner hors de cet horrible endroit ? Elle n’arrivait pas à le croire. Elle eut vraiment cru avoir rêvé parce que le jeune homme se leva et se précipita dans le fond de sa cage. Il prit ce qui ressemblait à une valise où il entassa deux ou trois choses puis il revint vers elle. A cet instant, elle devait s’avouer qu’elle avait peur qu’il s’en aille tout de suite car malgré tout… Elle se sentait très seule dans la vie qu’elle menait.

Elle ne faisait jamais que travailler et s’occuper de son petit appartement après tout… Sa vie sociale était encore sûrement bien plus vide qu’un trou noir, juste pour donner une idée… Il y avait bien un serveur qui était bizarre avec elle ou même le vieux cuisinier qui lui préparait souvent un bon repas pour le soir mais à part ça… Et encore, dans cet état de fait, on ne pouvait compter que le vieux cuisinier qui lui était réellement et sincèrement gentil… Pas comme les autres…

C’est alors qu’il la sortit des ses divagations intérieures en se mettant à parler. Il lui disait qu’elle n’avait rien à faire dans un tel endroit… Elle cru avoir mal entendu quand il lui « …partons vite de là… » mais il l’avait bien dit. Il rajouta qu’il voulait bien sortir de là mais qu’en échange il voulait un bain (c’était tout naturel vu l’état dans lequel il était) et de nouveaux vêtements et ce même s’il n’était pas chers du tout, juste de quoi se changer en fait… Elle avait bien entendu prévu de lui offrir des vêtements propres et bien à lui, ça allait de soit. Elle ne pouvait se résigner à le laisser avec ces parodies de vêtements. Elle lui mettrait coulé un bon bain. En effet, elle avait beau ne pas être riche, elle avait voulu une baignoire, elle savait combien il était agréable de se relaxer dans de l’eau bien chaude.

Elle fut ravie d’entendre qu’il voulait bien rester chez elle un peu parce qu’elle semblait seule. Son visage trahit d’ailleurs son enthousiasme car il s’illumina un peu plus qu’avant. Il lui dit aussi qu’il essaierait de l’aider… Mais elle ne voulait qu’il l’aide, elle voulait qu’il soit juste bien dans sa nouvelle vie. Avec elle, il n’y aurait pas de "Maître…", "Madame…" ou autres politesse mal placée. Ce garçon était un humain donc comme elle… Après tout, son sang coulait comme les autres… Il pouvait être blessé comme les autres… Et donc, souffrir comme les autres… Il serait son égal et point final !

Elle demanda au vendeur de bien vouloir le sortir de là avec gentillesse et délicatesse, pas de maltraitances devant elle… Elle ne le supporterait pas… Le vendeur ouvrit juste la cage et elle paya le prix indiqué sans même passer par la caisse. Elle sourit à Aldrick qui était sortit. Elle ne lui tendit pas la main pour sortir du magasin, ça le gênerait peut-être… Alors elle sortit du magasin pour arriver dans la rue, quartier qu’elle n’aimait pas particulièrement, elle était même parfois très choquée par ce qu’elle voyait. Une fois qu’Aldrick fut dehors, elle lui posa sa propre veste sur le dos. Elle ne voulait pas qu’il attrape froid, sa veste aurait pu être portée par un homme ou une femme pourtant, elle allait bien à Emeraude mais aussi à Aldrick… C’était très curieux et ça ne le féminisait pour rien au monde.

« Alors, je te propose d’aller d’acheter des vêtements… Qu’en penses-tu ? Et puis après, on pourrait rentrer chez moi pour que tu vois… Je vais faire faire un double de ma clé pour toi. Tu auras ta propre clef comme ça et tu pourras aller et venir comme tu veux. Après, si tu veux faire autre chose, n’hésite pas surtout, c’est ta journée aujourd’hui ! Par contre je comprendrais que tu veuilles rentrer tout de suite pour te laver… Ca doit faire longtemps que tu es là… »

Elle souriait, enthousiaste de pouvoir aider quelqu’un. Pas qu’elle ait besoin d’une quelconque reconnaissance mais elle aimait aider… Elle venait de réaliser, qu’elle ne lui demandait pas ce qu’il voulait vraiment…

« Je m’excuse pour m’être emportée, mais je suis contente que tu sois libre… Dis-moi ce que tu veux faire et on le fera et si tu veux autre chose que des vêtements, n’hésite pas… »

Elle attendit une réponse de sa part.
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MessageSujet: Re: Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -   Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement  - EmptyDim 20 Jan - 18:26

Visiblement, le fait que le jeune Aldrick rougissait légèrement rendait heureuse la jeune femme, car en effet, elle retrouva son sourire à l'instant même où elle pût remarquée les joues légèrement rosies d'Aldrick. De ce fait, Aldrick, qui, soyons franc, n'a pas l'habitude des filles, ne pouvait qu'être un peu plus rouge face au sourire de la jolie Emeraude. En y repensant, le rouquin se demanda s'il n'aurait pas dû s'abstenir de poser ses mains sur celles de la belle demoiselle, après tout, ça pouvait être gênant, imaginer un instant que les parents de la jeune femme la voie avec un jeune homme posant ses mains contre les siennes et au visage proche du siens malgré les barreaux...

On aurait sûrement droit à une scène pas possible sur le pourquoi du comment un garçons et une fille ne se connaissant pas ne devrait pas être si proche, mais bon, peut-être qu'Emeraude était du genre débrouillarde, vivant d'elle-même, ce qui expliquerait sa petite somme en stock, Aldrick n'en savait pour le moment rien et à vrai dire, ce n'était pas vraiment dans ses priorités de le savoir actuellement. Lorsqu'il dit à la demoiselle, ou plutôt à lui-même, qu'il voulait sortir d'ici, Aldrick se rendait compte que malgré tout, être dans cet endroit depuis des mois l'avait considérablement fragilisé, aussi bien mentalement que physiquement, car il n'aurait jamais agit ainsi les premières semaines de son emprisonnement, loin de là d'ailleurs.

Non, il aurait plutôt persisté dans son cynisme pour faire fuir la jeune femme, mais actuellement, il ne pouvait pas agir pour la raison qu'il était affaiblit, et d'une autre part, même s'il ne se l'avouerais pas, il faut dire que la jeune femme lui plaisait beaucoup, aussi bien sur le plan physique que mental, même s'il ne la connaissait pas, il devinait facilement que la demoiselle ne jouait pas un rôle, elle était bien trop naturel pour cela, ou alors, c'était une talentueuse actrice qui pourrait berner n'importe qui. Peut-être que le jeune rouquin pouvait voir, au fond des yeux de la belle Emeraude, qu'elle aussi, elle semblait aussi seule que lui, oui, nul doute qu'il avait compris cela et que à sa manière, il avait envie d'aider cette femme à se sentir plus aimer ou entouré.

La vie sociale d'Aldrick s'étant toujours résumé à dormir, travailler et manger, il n'avait pas eu, pas même l'ombre d'une fois, un seul ami, et pour être franc, quand soudainement on vous tend la main pour sortir de l'enfer de al solitude, on ne peut pas vraiment résister à la tentation de serrer la dite main, même si en fait, Aldrick ne l'avait toujours pas prise, la main de la demoiselle, c'était comme si mentalement c'était déjà fait. Une fois qu'il eut finis ses dires, Aldrick fixa la jeune femme et se posa alors une question, quelle âge avait-elle? Elle devait être majeur pour acheter un esclaves d'après Aldrick, et elle avait bien des formes adulte pour ce qu'il pouvait voir, mais de visage, elle ne faisait guère plus que 17 ans arrivant sur 18.

En pensant à ça, Aldrick se demanda alors si ce n'était pas un peu louche qu'une femme, plus âgée que lui, le veuille comme "compagnon de vie". Enfin, en même temps, cela n'aurait pas grande importance, il allait enfin sortir de là, et qui plus est avec une ravissante jeune femme, donc, il n'avait pas à se plaindre, loin de là. Finalement, il se reporta à comment réagissait la jeune femme, et ça se voyait comme une maison, elle était bien enthousiaste de voir le jeune homme acceptait sa proposition, on aurait dit une gamine sautant de joie à l'idée de recevoir bientôt un petit chiot... Bien sûr, c'est une caricature, mais c'est un peu pour montrer à quel point elle semblait contente.

Quand le jeune homme proposa son aide, la jeune femme semblait quelque peu réticente, semblant se dire qu'il pensait vouloir faire ça en tant quue esclave, si c'était bel et bien le cas, elle se trompait, il voulait juste la remercier, et puis, il avait beau ne pas être des plus aimables par moment, Aldrick restait quelqu'un n'aimant pas devoir aux autres quelques choses, et de ce fait, la simple idée qu'elle fasse tout et lui rien l'agaçait au plus haut point, il l'aiderait quand il en aurait envie, qu'elle le veuille ou non, de toute façon, il ne demanderait pas la permission, s'il veut aider, il aide, point. Demandant au vendeur de bien vouloir sortir Aldrick de la cage avec gentillesse et délicatesse, ce dernier se contenta d'ouvrir la porte de la cage.

Une fois hors de sa cage, Aldrick reçut encore une fois le sourire de la demoiselle en pleine figure, à sourire autant, elle allait avoir des crampes... Sortant du magasin la première, Aldrick la suivit de près, regardant ce qu'il portait actuellement, un polo sales, un jean trouées et des basket cradingue à mort, sans parler de ses cheveux loin d'avoir leurs douceurs initiale, il avait en tout point des airs de clochard pour le moment... Une fois dehors, Emeraude posa sa veste sur le dos du jeune homme, qui rougit encore un peu, regardant la jeune femme d'un air légèrement gêné. Enfilant la veste sans rechigner, il se regardât l'espace d'un moment dans une vitre, et constatât avec soulagement que cette veste ne le féminisait pas, après tout, avec sa corpulence et sa longue chevelure, on pouvait bien le prendre pour une fille, de dos.

La jolie demoiselle prit enfin la parole, brisant le petit silence de quelques secondes qui venait de régner. Elle proposa au jeune Aldrick d'acheter des vêtements, pour le moment, ça ne l'enthousiasmait pas beaucoup, la simple idée de faire un défilé face à la belle pour qu'elle lui dise si les habits lui vont bien ou pas ne l'enchantait guère... Elle lui proposa ensuite d'aller chez elle, qu'il voie à quoi ça ressemble, en même temps, ils seraient bien obligés d'y aller au bout d'un moment, à moins qu'elle vive à l'hôtel, ce qui étonnerait grandement Aldrick. Elle dit alors qu'elle ferait faire un double de ses clés pour lui, décidément, c'était une relation de colocataires qu'elle voulait, encore heureux, Aldrick n'aurait pas supportait être le "chien-chien" de quelqu'un...

Elle enchaîna en disant que s'il voulait autre chose, il n'hésite pas à le demander et qu'aujourd'hui, ça serait sa journée, elle dit juste après qu'elle comprendrait qu'il veuille se laver de suite... Bref, Elle était vraiment contente qu'il soit avec elle, ça se voyait, et quelque part, Aldrick avait même envie de sourire à la jeune femme, mais ça ne venait pas, seul son regard disait " Faut un peu calmer ta joie ma grande oô ". Il faut dire aussi que quand on a jamais été douer en relations sociale, on avait quelque peu du mal à pouvoir s'extérioriser, enfin, soit l'on était une sorte d'introvertis peu bavard, soit on était une sorte d'introvertie vachement bavard, et Aldrick et Emeraude collé chacun à l'une des images.

Souriante, la demoiselle réalisa soudainement quelque chose, et enchaîna après avoir repris légèrement son souffle, tel un moulin à parole. Elle s'excusa de s'être emportée, ajoutant qu'elle était contente qu'il soit libre, mouais, libre officieusement alors, parce que sur les papiers, il sera maintenant considéré comme l'esclave de la demoiselle, point barre. Elle demanda alors au jeune homme ce qu'il voulait faire, et qu'il n'hésite pas à le dire, car il l'aurait. Cette phrase alluma l'esprit cynique, ou taquin, comme vous voulez, d'Aldrick, il afficha alors un sourire quelque peu malsain sur son visage.

S'approchant doucement de la jeune femme, il la colla alors légèrement à lui, passant son visage dans le creux de l'épaule de la jeune femme, il lui souffla doucement sur le cou, avant d'atteindre l'oreille gauche de la demoiselle, il lui lécha alors lentement, puis déposa sa main gauche sur la joue droite de la demoiselle, la lui caressant, il s'était mis en tête de rendre trèèèès embarrassée la belle Emeraude. Donnait un baiser entre l'intersection de l'oreille et du crâne de la demoiselle, il lui dit alors, d'une voix séductrice et emplit d'une envie perverse:


" Et bien, ma chère Emeraude, que diriez vous que l'on se douche ensemble? Vous pourriez me laver, à moins que vous ne préfériez que ce soit moi qui vous lave? On pourrait par la suite couché comme des animaux sauvage, à en démolir votre lit..."

S'écartant légèrement mais restant très proche de la demoiselle, il la fixa dans les yeux, avant de faire glisser sa main sur les lèvres de cette dernière et de le lui caressait, la faisant descendre dans le cou de la demoiselle, il arrêta sa main juste au-dessus de la poitrine de la belle jeune femme, lui offrant un regard plein de désir. Et oui, Aldrick était plutôt bon acteur quand il s'agissait de faire le charmeur, c'était d'ailleurs la seule chose de sociale qu'il savait faire, de jouer au séducteur... Mais il constata alors que sa petite taquinerie avait marché, peut-être bien trop bien...

" Emeraude? Ça va? Je blaguais hein! Hé, Emeraude! "
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MessageSujet: Re: Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -   Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement  - EmptyLun 21 Jan - 22:42

Une fois dehors, elle lui avait posé sa veste sur les épaules et celui-ci c’était regardé dans une vitre pour être sur, pensa-t-elle, qu’il ne ressemblait pas à une fille. Elle ne trouvait bien sur pas que c’était le cas. Elle se mit alors à parler comme si elle n’avait pas pu ouvrir la bouche depuis des semaines. Cette situation était affreusement risible et elle se rendit compte de sa bêtise. Elle s’excusa platement en lui disant qu’ils feraient ce qu’il voulait et qu’il n’avait qu’à demander.

Le jeune Aldrick eut alors un sourire particulier qui intrigua la jeune femme et lui fit quelque peu perdre son sourire. Elle vit ensuite le jeune homme aux cheveux orange s’approcher d’elle et la serrer contre lui. Inutile de dire qu’Emeraude perdait pied avec la réalité et qu’elle ne comprenait rien. Elle avait perdu son sourire et était rouge pivoine. Il passa son visage dans le creux de son épaule puis lui souffla dans le cou. Elle frissonna et rougit bien plus si c’était encore possible. Quand il lui lécha lentement l’oreille gauche et qu’il posa sa main sur sa joue, elle se figea tout net et commençant à avoir un peu peur, il faut bien l’avouer… Son malaise s’intensifia quand il lui colla un baiser tout proche de l’oreille… Ce qui lui murmura ensuite lui noua l’estomac. Elle avait peur et était en même temps atrocement gênée mais elle était à présent plus blanche que rouge.

A la fin de son mini monologue, elle le vit s’écarter un peu… Elle se détendit mais bien vite elle redevint figée. Les doigts sur ses lèvres qui descendaient vers son cou pour s’arrêter juste à la limite de sa poitrine l’achevèrent pour de bon. Elle n’eut pas le temps d’apercevoir le regard qu’il lui avait envoyé. La tête lui tourna tellement elle avait eut peur et le vertige qu’elle venait d’avoir n’avait pas eu un effet remarquable sur son organisme. Elle qui était déjà passablement épuisée tomba tout net dans les pommes sur le trottoir juste en face d’Aldrick. Elle était aussi blanche qu’un cadavre et ne répondait pas à ses appels.

Son petit jeu avait eu un effet remarquable sur la jeune femme qui ne répondait plus ni physiquement ni mentalement. Elle était hors compétition. Ainsi dans les vaps… Il serait bien dur de ramener Aldrick et le quartier n’était franchement pas des plus accueillant. Réveiller la belle évanouie était peine perdue par-dessus le marché.

Il restait à espérer que le jeune homme légèrement tordu qu’elle venait de sortir de là aurait la présence d’esprit de regarder dans la poche de la veste qu’il avait sur le dos. En effet, Emeraude ne connaissait pas le chemin pour aller à la boutique d’esclaves et avait donc du se diriger avec un plan.

La pauvre Emeraude… Il avait réussit à lui faire imaginer la scène de la douche, imaginez son malaise à elle qui n’avait en fait jamais vu un homme nu alors penser au sexe… Si on savait ça, c’était véritablement compréhensible de voir la jeune femme aussi en forme qu’un paresseux endormis… C’est pour bien marqué la situation… Bien sur, elle savait ce que c’était, elle n’était quand même pas idiote mais rien que d’y penser, ça l’avait perturbée pas mal. N’importe qui pourrait se demander s’il était possible de mettre quelqu’un dans cet état en parlant de ça… Eh bien avec elle, c’était plus que probable. Sa fatigue extrêmement avancée et son esprit facilement, comment dire… Son esprit s’emballant facilement… Il n’en avait pas fallut plus pour que la demoiselle se retrouve par terre.

[Pas terrible... Désolée... -_-' J'avais la tête vide.]
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MessageSujet: Re: Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement -   Comme un fauve en cage - Terminé, suite à l'appartement  - EmptyMer 23 Jan - 0:17

Lorsque le jeune Aldrick lança son étrange sourire se voulant quelque peu vicieux, la belle demoiselle sembla bien intriguée et perdit un peu de son sourire, et que dire quand le rouquin s'approcha d'elle pour la tenir contre lui? La pauvre demoiselle, victime du côté joueur d'Aldrick, semblait bien perdre pied. Le jeune homme à la chevelure rousse fut bien content de voir la belle Emeraude rougir comme une pivoine et perdre son sourire, au vu de l'attitude de la belle demoiselle, Aldrick avait facilement put comprendre qu'elle n'avait jamais dût avoir de petit ami, et donc, se faire ouvertement draguer devait la déstabilisée fortement.

Le jeune homme pouvait sentir le malaise de sa "maîtresse", et intérieurement se dit qu'il était quand même bien content de comment réagissez la belle Emeraude, il aurait été nettement moins heureux si la jolie demoiselle aurait répondu à ses avances, car ça aurait signifier tout simplement qu'elle n'est pas aussi angélique que ça. Quand le jeune homme se recula, il put alors voir un peu de peur dans le regard de la jolie jeune femme, elle était également plus blanche que rouge dorénavant, il en avait peut-être un peu trop fait pour une si innocente demoiselle... A vrai dire, il commençait à être quelque peu gêné à son tour d'avoir taquiner ainsi la demoiselle, en plus, c'était bien la première fois qu'il faisait le charmeur à un tel point.

Visiblement, le fait que le rouquin descendes sa main jusqu'à la limite du départ de la poitrine de la jolie Emeraude avait achevé la pauvre demoiselle, qui devait commencer à se demander si elle avait bien fait d'acquérir le jeune homme. Tombant dans les pommes, la belle demoiselle s'écroula apr terre, visiblement, le petit jeu d'Aldrick avait remarquablement bien marcher sur la jeune femme aux yeux émeraude. S'abaissant de suite et secouant la demoiselle, force est de constater que la belle ne répondait pas aux appels du jeune homme, qui en avait un peu trop fait, se contenter de lâcher sa phrase sans rien faire de physique aurait peut-être mener à la même chose en fait...

Bon, encore heureux, la jolie Emeraude respirait normalement, en gros, elle faisait juste une sieste, enfin, avec le sommeil profond. Prenant la jeune femme contre lui et se redressant, Aldrick se surprit alors à la dévisager, elle avait un vrai visage d'ange, et les lèvres de la belle endormie attiraient Aldrick comme une abeille avec du miel, d'ailleurs, le jeune homme rapprocha son visage, mais se retint d'embrasser la demoiselle, ça serait comme profiter d'elle dans son sommeil, et franchement, se mettre à être aussi attiré par une fille étonné Aldrick, qui n'avait jamais eu une quelconque envie d'embrasser quelqu'un, d'ailleurs, il ne se souvenait pas un jour avoir embrasser sur les lèvres une fille, et encore moins un garçon.

Néanmoins, il ne put s'empêcher de poser sa main sur le visage de la belle et de lui toucher lentement, elle avait des traits paisible et agréable à regarder éveillé, mais endormis, on aurait vraiment dis un ange. Soupirant avec les joues devenant légèrement rouge, Aldrick déposa la belle endormie sur un banc et se mit à fouiller le sac de celle-ci, rien, même pas ses clefs, et pour le moment, il n'avait pas envie de vérifier si elle portait ses clefs sur elle. Fouillant alors les poches de la veste que lui avait donné la belle demoiselle, Aldrick trouva un bout de papier, visiblement le chemin d'ici à l'habitat de la demoiselle. Aldrick souleva alors la jeune femme et la transporta comme un colis sur son épaule gauche, la tête de la jeune femme se retrouvant maintenant dans le dos du jeune homme. Il fixa alors le plan et se mit en marche...


[ Topic clos, suite ici: https://olphera.keuf.net/appartement-d-emeraude-yinae-f141/une-arrivee-plutot-genante-pv-t396.htm#2119 ]
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