[Bleiz] Vous avez déja ramené un loup chez vous ?

Bleiz l'avait regarder, jusqu'à sentir que toute menace émanant d'elle s'était à présent dissipé. Quand se fut fait, il glissa sa grosse tête sous la fine main de la rousse, cela serait peut être plus simple pour qu'ils piusse se comprendre. Elle avait ensuite perché sa main sur sa tête, et il avait bougé sans bouger... Elle ne dit plus rien, sous cette forme, le langage de l'Hybride était uniquement canin. Il l'entendit ensuite soupirer, puis, vit qu'elle ne semblait pas énervée à présent... Dans ce cas...

Comme la veille, le changement se fit sans crier gare, la main de Viviane se retrouva sur un crane couvert de longs cheveux argents, emmelés par le sang. Laissant la main où elle était, il regarda la femme dans les yeux, il parviendrait surement mieux à comprendre ce qu'elle disait maintenant. Ainsi, sa mémoire était un peu plus longue. La méfiance était inscrite sur son visage. Son regard dévia un instant pour se poser sur sa main. L'Homme était toujours nu comme un ver mais pour lui, ce n'était guère le plus important pour le moment. D'uun geste à demi inconscient, il se passa une main griffue dans le cou. Celui ci était bien plus abimé que la veille, il nes'était vraiment pas louper en se grattant dans la nuit.

"Pourquoi faire ça?"

Demanda t'il en la regardant. Il parlait de la veille, mais loup comme homme, il n'y avait que le présent qui occupait le langage de l'Hybride. Il était maintenant assis au sol, les genoux reppliés tout contre son torse. Il avait toujours son regard poser sur la femme. L'Homme attendait un réponse à une question qui, il fallait bien l'avouer, n'était pas très compréhensible.

Quadn elle fu totalement clame, Bleiz repri sa forme humaine, c'était arrivé subitement, elle sussauta. Elle retira sa main de sur le crane de l'hybride et la posa sur le sol ,devant elle. Elle le fixait dans les yeux, elle le préférait sous cette forme. A nouveau, il était entiérement nu.

"Pourquoi faire ça?"

Viviane ne comprit pas tout de suite, elle réagit quand elle vi qu'il passait sa mai nsur son cou. Elle le regarda un instant, comment pourait il comprendre. Si elle lui sortait des histoires de désinfections il ne comprendrait surement aps. Elle le regard encor un isntant avant de prendre la aprole d'un ton calme.

-C'est pour te soigner, ça lave ta plaie, et comme ça, ça fait moin mal aprés. Par contre, ça pique.

Elle éspérait qu'il avait assé vécu avec les humains pour tout comprendre. Elle se releva et quita la péice. ell revint peut aprés avec le falcon de désinfectant.
Elle se rassi enf ace de lui.

-Regarde, ce n'étiat aps contre toi.

Elle porta un doigt a sa bouche et mordi le plus fort possible. Quand elle sentit un petit gout de fer envahir sa bouche, elle relacha son pauvre doigt. Elle déboucha la bouteille de désinfectant, et en fit couoer sur sa plaie. Elle fit une grimace en sentant la morcure du produit, mais ne fit aucun autre mouvement, se contentant de fixer l'homme-loup dans les yeux.

Bleiz la regarda alors que la main de la femme vint à toucher le sol, il porta son regard sur cette dernière… Il l’avait questionné, il attendait maintenant une réponse venant de la jeune femme. Et celle-ci ne tarda pas à venir. En effet, elle sembla réfléchir un instant, puis, elle lui parla en le regardant toujours. Pour le soigner ? Il y avait besoin de chose comme ça pour se soigner ici ? La bave ne suffisait pas comme désinfectant ? Cela aurait été bien mieux à son goût car ça au moins, ça ne piquait pas…

Finalement, il la vit se relever et il s’assit au sol là, à regarder l’endroit où elle était partit et à se demander comment quelque chose qui pouvait faire mal pouvait aussi soigner… C’était insensé pour son cerveau de loup. Quand Viviane revint dans la pièce, il la fixa et montra un peu les dents en voyant le flacon. Cependant, elle lui parla à nouveau, et il la vit se mordre. Qu’est-ce qu’il lui prenait, elle était devenue folle ou quoi ? Il ne la comprenait vraiment pas, tout ça n’avait pas de sens

Il la vit alors appliquer le produit sur son doigt et grimacé, le regard d’argent se plongea dans les yeux de la femme, les yeux ne mentaient jamais, même pour le meilleur menteur. Les siens le savaient, c’était dans les yeux qu’on pouvait tout voir. Il resta un long moment à la fixer comme ça, sans aucun mouvement. Elle n’avait pas l’air dans souffrir plus que ça… Et puis, c’était plus ses griffes entaillant sa chaire a cause de la piqûre qui lui avaient fait ml et l’avaient déranger toute la nuit.

Il la regarda un instant, puis un s’installa plus confortablement au sol et pencha la tête en avant, ses cheveux couvrant maintenant son visage, mais dévoilant la peau très abîmée de son cou. C’était la façon de l’hybride de lui dire que si elle voulait toujours le soigner, elle le pouvait maintenant qu’il était au courant de ce qui risquait de se passer. Cependant, un couinement d’appréhension lui échappa.

Viviane espérait qu'il allait revenir vers elle une fois qu'elle lu iaurait prouvait que ce n'était aps dangereux pour lui. Effectivement, aprés l'avoir fixée un bon moment il lui présenta son cou bléssé, couvert de griffures, toutes mal cicatrisées. Elle prit un mouchoir en papier, en principe elle aurait du s'en occuper avec un coton, mais elle ne voulait pas se relever, et s'il suportait toutes ces plaies, ce n'était pas un mouchoir en papier qui l'achéverait.

Elle regarda Bleiz, passa une mais dans ses cheveux et déposa un baiser sur la joue de l'hybride, comme on fait avec un tout jeune enfant avant de lui désinfecter une plaie.

"Attention, ça va piquer."

Elle sourit et fit couler quelques goutes de teinture d'iode dans le cou de l'hybride, stopant de liquide avant qu'il ne coule le long de son dos grace au mouchoir. Quand elle eu fini ses petites manipulations, elle lui frotta le dos et épongeat le surplu de désinfectant avec le même mouchoir. Elle le regardait, espérant qu'il n'aurait aps la même réaction que la veille.

"Ca va ?"

Elle lui sourit en prenant son visage entre son pouce et son index, et redressa le visage de Bleiz, pour qu'il se retrouve en face du sien.

Bleiz avait baisser la tête, ses cheveux entourant maintenant son visage et libérant son cou blesser. Certaines des plaies saignaient encore… Bref, ce geste n’était pas sans signification pour lui. C’était le signe qu’à nouveau il voulait lui accorder sa confiance, ou du moins essayer. Apparemment, tout deux devrait apprendre à s’adapter à la situation actuelle. Lui a avoir confiance, même malgré la douleur, et elle à le prévenir avant d’avoir ce genre de geste…

Elle pris un mouchoir, pour lui que ce soit ça ou du coton, cela ne changeait absolument rien alors il ne dit rien, d’ailleurs il ne connaissait même pas la différence entre les deux matière, c’était ainsi. La femme lui avait posé un baiser sur l’épaule et l’avait prévenu. Quand elle avait commencé a lui désinfecter les plaie. Il avait serrer violement les dents en laissant échapper un grognement sourd, mais il ne bougea pas, tout ses muscles bander, il ne cilla pas. Il ne devait pas attaquer…

Finalement, Viviane s’était reculée pour lui demander si ça allait. Le loup avait alors relever son regard d’argent sur elle et, alors qu’il réprimait un nouveau grognement, elle lui pris le visage dans la main et la força à le regarder, la mâchoire de l’hybride était crispée mais il ne dit rien, plongeant un peu plus son regard dans le sien, puis, toujours le plus silencieusement du monde, il avait hocher la tête. Oui, ça ira, il fallait juste qu’il s’habitue comme il avait du s’habituer au collier et à la muselière…

[je prévient au cas ou, les touches "a" et "n" ont quelques faiblesses, donc je m'escuse s'i en maque ^^]

Viviane sentat bien quilétait plus que tendu, elle cragnait dailleur qu'il ne dessia d'attquer. Elle n'avait aps peur pour sesmains ou autre, elle crainait surout qu'il n'ai plus confiance... Si elle devait vivre vec un nimal semi sauvagequi n'avait aucune cnfane en elle ça proettait d'être dur. Cependant, aucha la têt quand elle lui demanda si ça allait la jeune femme était sur qu'il 'en penait aps moins,mais il avait lair résigné, c'était comme ça et aps autrement.
Elle soupira, ébouri la tignasse agente de Blei, se releva, récupéra ses "engins de torture" et ort de la piéce.

Arrivée dans la salle de bain, elle respira profondément, et émi un long oupir. Ca ne seiat aps simple tous es jours, il allat réussir a la rendre folle sil continuait. Elle rengea le désinfectant et jetta son muchoir, avant de ragarder autour d'elle. Quand son regardse posa ur le collier de métal qui gisit au sol, elle ne put s'empéher de sourir, elle ne savait même aps pourquoi, mais ça la faisit sorire. Elle le ramassa et sorti de la salle de bain avant d'aller fair un tor dans sa chambre. Elle déposa le colier dans un tiroire de son bureau et revint dans le salo.

Elle s'assit auprés de Bleiz e le rearda longuement,l'air de dir "c'est dur non ? Ne t'en faits aps, tu t'y ferasvite!!" Elle lui adresa un sourir dx et comaptissent. Il ait surement était séaré de sa mute, sa seule famille, comme ele il y a 15 ns.

Bleiz s’était laisser faire, et une fois qu’elle eut arrêter, il se concentra sur son souffle pour se détendre autant qu’il le pouvait. Il avait confiance en elle, où du moins il voulait essayer de restaurer cette confiance parce qu’elle était la louve alpha. La vie n’allait pas être facile tous les jours, l’hybride l’avait réalisé depuis la veille. Lui, il ne savait plus vraiment comment agir face à cette femme qui lui semblait quelques peu lunatique, comme pourrait l’être un vrai loup, mais elle ne connaissait pas leurs règles…

Après, elle lui ébouriffa les cheveux et il ferma les yeux, quand elle se releva, l’Homme loup ne pus s’empêcher de s’ébrouer. L’animal humain la regarda ensuite autour de la pièce. Pendant le temps où elle était en dehors de la pièce, il se passa une main sur le cou. Il n’aimait vraiment pas cette sensation mais bon, il n’avait plus vraiment de choix de ce qu’il devait faire maintenant… Ses yeux d’argent se levèrent sur le plafond, dans cette nouvelle vie, il ne pourrait voir son cher ciel que quand il sortirait. Son ventre gargouillait, il avait faim… Ce vulgaire steak n’était vraiment pas assez pour son appétit de loup !

Un lourd soupire s’échappa de ses lèvres. Même si sa ‘cage’ était dotée de barreau invisible, au moins il n’avait plus, ni ce cercle de métal, ni ces liens de cuirs, c’était donc un semblant de liberté, mais il saurait s’en contenter. Quand la jeune femme revint, il la regarda venir s’asseoir près de lui. Il soupira à nouveau et s’étira longuement avant de se rapprocher un peu d’elle, venant doucement poser sa tête tout contre les genoux de la jeune femme, ses cheveux se répandant sur ses derniers.

La jeune femme reagrda l'hybride poser sa tête sur ses genoux, étonée. Cependant, elle ne pu s'emépcher de faire glisser sa amin dans els cheveux de l'homme-loup. Ils étaient doux, elle adorait cette sensation. Pendant qu'une de ses mains s'amusait dans le shceveux de Bleiz, l'autre devait se balader sur son torce. Quadn elle dessendi sur son ventre, elle entendi un petit gargouillement. Viviane pensait bien qu'un steak ne sufirait aps a nourire un loup, mais i lalait devoir se débrouiller pour aller chasser.

-Dis moi si tu veux aller chasser.

Elle serais bien embétée si il mourrait de faim, bon d'accor, peut être aps dans els secondes qui suivent. D'ailleurs, en disant cela, so nregard se posa sur sa main meurtrie, il ne 'lavait aps loupée hier. Les traces des crocs de Bleiz se voyaient éntement, et même si elle avait aretté de seigner, ce n'était pas beau a voir, et le rouge était la couleur dominante. Elle soupira et reposa son regard sur le visage de l'hybride.

Bleiz avait donc posé sa tête sur les genoux de la femme. En agissant ainsi, il avait espéré que cela ne lui donnerait pas une raison de plus d’élever la voix contre lui. Quel ne fut donc pas son soulagement quand, au lieu de s’énerver, la femme lui passa une main dans les cheveux. Il ne put alors s’empêcher de soupirer de bien être… Il se sentait tellement bien quand sa maîtresse le caressait ainsi. Viviane lui caressait les cheveux et le torse en même temps, son ventre gargouillait, il n’était vraiment pas rassasié. La rousse lui parla alors, lui demandant de le lui dire sui il voulait aller chasser. Il n’en pourrait bientôt plus de cette sous-nutrition.

« Faim… »

Avait il simplement dit. Il avait faim, mais après ce steak, il pouvait tenir un peu plus longtemps. Malgré ce qu’il avait dit, il n’avait pas bouger, gardant sa tête lever vers la femme alors qu’il était toujours assis au sol. Il savait que maintenant sa meute serait seulement les membres qui vivrait sous ce toit, peu importe leurs espèces. Bleiz ferma les yeux et se laissa retomber, allonger au sol. Il ne savait plus vraiment à quelle éducation se fier, celle de sa meute ? ou celle du centre de dressage ? Il était perdu et cela se voyait parfaitement au plus profond de son regard d’argent. Son corps, toujours nu, était recroquevillé sur lui-même dans la position du fœtus. Son adaptation à la vie de la femme allait être au moins être aussi dur que celle qu’il faudrait qu’elle ait face aux besoins de l’hybride, mais pour l’un comme l’autre, ce serait une obligation plus ou moins vitale à leurs cohabitation dans le calme. D’un mouvement de tête, il dégagea son regard de la chevelure pale qui obstruait sa vue. Bleiz ne savait plus ce qu’il devait faire à présent, c’était déstabilisant pour lui.

Le seul mot de Bleiz était assé explicite pour que Viviane comprenne qu'un simple steak ne sufisait aps a un loup semi sauvage, déja adulte.
Elle regardait le visage de l'homme-loup, et allait pousser quelques méches qui lui tombaient sur les yeux, mais il fut plus rapide qu'elle. Viviane sourit largement en le voyant remuer la tête un instant pour ses débarasser de ses sublimes cheveux d'argent. Elle le fixa encor un instant dans les yeux, passant sa main dans els cheveux de Bleiz, les méttant légérmee'nt sur l'arriére pour qu'ils ne le dérangent plus. Elle était légérement penchée sur lui, et les longs cheveux de feu de le jeune femme venaient taquiner les joues de l'hybride, et si on baisait les yeux, on pouvais voir qu'elle avait un décolté plutot plongeant (XD). Elle sourit a Bleiz et pencha légérmeent la tête sur le côté avant de le faire se relever, et de se redresser a son tour.

-Et bien, si tu a faim, je te laisse aller chasser, il y a une fôret non loin de l'immeuble.

Elle se dirigea vers la porte et posa a nouveau ses eyux bruns sur lui, attendant qu'il se transforme en loup pour lui ouvrir.

Bleiz parlait mal, mais au moins, il avait la faculté de parvenir à se faire comprendre assez facilement. Il l’avait vu amorcer un mouvement vers son visage, mais trop tard, il s’était déjà dégager de la mèche qu’elle avait sans doute voulu déplacer. Après s’être ébroué, il la vit qui souriait… Décidément, il n’arrivait pas à la comprendre, un coup elle souriait, puis elle s’énervait… et à nouveau elle souriait… Il y avait de quoi perdre pied tout de même ! C’était sûrement une autre caractéristique des humains… Et il devait avouer que ça l’énervait un peu de ne pas savoir comment agir.

Viviane avait ensuite repoussé ses cheveux en arrière et il l’avait regardé alors qu’elle agissait ainsi. Elle était penchée au dessus de lui et il continuait de la regarder, un peu perdu. Il sentait la caresse des cheveux de feu sur ses joues et ça le chatouillait un peu. Bleiz n’aimait pas vraiment ça. Bien sur il était un animal avant tout et le décolleté de la femme ne lui faisait donc ni chaud, ni froid. Finalement, elle le fit se relever et elle fit de même, il la regarda alors faire et se mordilla doucement la lèvre. Si il avait faim…chasser…forêt ? Ou une forêt ? Il ne l’avait pas vu en arrivant.

Alors qu’il réfléchissait, elle s’était diriger vers la porte, et en voyant ça, il s’ébroua, et en même temps que cela, il repris sa forme de loup et lui adressa un sourire canin. Il lui lécha ensuite la main et s’élança dehors… Il marchait dans les ruelles quand l’odeur des faibles assaillit ses narines. Il ne comprenait pas pourquoi il devrait trouver une hypothétique forêt quand il y avait des proies assez proches. Il était maintenant assez éloigné de chez Viviane de toute façon… Il se lança sur la piste la plus proche. Une demi heure plus tard, il avait coupé net la vie à un chien d’un coup de crocs.

Après s’en être repus tout son sous, il se laissa allez à courir un peu dans les rues, il essuya ses babines contre de l’herbe, le repas était juste, mais il conviendrait pour la journée… Il continua à errer un peu dans les rues, son pelage de neige tacher d’odieuse gouttes de sang. Ce n’est qu’après quelques heures que Bleiz repris le chemin de chez la détective. Puis, il se mit à gratter contre la porte avant de hurler, puis, il attendit simplement sur le pas de la porte.

Viviane n'arivait aps a s'y fair, le voir devenir un loup sous ses yeux ... Elle le regarda, toujours un peut ébêtée, lui lécher la amin, et elle ferma la porte dériére lui.
Elle soupira, franchemant, dans quo ic'était elle fourée ? Elle retourna dans son salon, et s'avachi sur le canapé. Elle ferma les eyux un isntant, sa nuit avait été courte, elle manquait de someille, mais Bleiz pourai revenir n'importe quand, et si des voisins trouvaient un looup au coup ensanglanté devant sa portes, ils risqueraient de se poser des questions. Bon en attendant, elle avait du travail.
Elle se rerleva et aprtit chercher quelques papiers dans son bureau. Quand elle apssa dans l'entrée, quelqu'un frappa a la prote. Aïe, trouver un homme nu ave cle cou couvert de sang n'allait aps le faire non plus. Elle ouvrit la porte en vitesse, mais ce ne fut aps Bleiz qu'elle découvrit. Un homme d'une taille plutot imposante la regardait de haut.

"Monsieur V. Darah est-il ici ?"

Monsieur ? A oui, Viviane avait oublié que pour certains hommes, le métiers de detective ne convenait pas a une femme.

-Monsieur V. Darah n'existe aps ...

La jeuen femme détestait les hommes qui demandaient directement un homme quand i lavaient un probléme quelqu'onque.

"Hum ... Il n'y a pas de détective ici ?"

Et bien voila, même si ce n'était aps le top, c'était déja mieu.

-Suivez moi.

Elle soupira et ferma la porte dériére lui. Au lieu d'ouvrir la porte de droite qui menait sur son salon, elle ouvrit la porte vitrée se trouvant a sa gauche, celle-ci menait a son bureau.
Ils s'instalairent et Viviane comença a lui psoer des question. Sa faisait a peine 30 minutes qu'i létait entré, qu'un gratement attira l'attention de Viviane. Puis un hurlement fit sursauter son client, elle cru même qu'il allait tomber. La jeune femme ouvrit la porte de son bureau, et ne prit pas le temps de la refermer dériére elle. Elle se dirigea d'un pas plutot calme jusqu'a sa porte d'entrée et l'ouvrit. Comme elle s'y attendait, elle trouva un superbe loup argenté sur le pas de la porte. Elle s'accroup idevant lui et passa une amin sur sa tête.

-Tu es couvert de sang ...

Viviane passa sa main aux endroits ou d'afreuses taches écarlates venaient maculer le pelage du loup, cherchant une quelquonque plaie. N'en trouvant aps, elle se redressa et finit de fir entrer le loup.
L'home qui se trouvait dans son bureau, avait réussia se clamer, et avait apssé la tête par l'entrebaillement de la porte pour observer. Aparament la discrétio nn'était aps son fort. Vivivane n'avait pas encor eu le temsp de faire rentrer Bleiz dans le salon, que son client se mit a hurler.

Bleiz n’avait pas conscience des règles de la société dans laquelle il vivait maintenant, il ne savait pas que ce qu’il venait de faire pouvait s’apparenter à un meurtre pour certains. Le cadavre du pauvre animal était toujours dans la ruelle, pas de doute que les gens se poseraient des questions quand il serait retrouvé. Après son repas, Bleiz était revenu chez elle, bien loin de se douter qu’elle pourrait avoir de la visite et de toute façon, cela ne changeait rien pour lui, tant qu’ils ne s’attaquaient pas à la rousse, les gens pouvaient bien venir…

Il avait donc gratté à la porte avant de hurler pour lui faire signifier sa présence, car même si il ne connaissait pas encore trop ce monde, il se doutait qu’un loup ensanglanter errant dans les rues n’était pas le bienvenu pour les habitants. Il attendit donc patiemment, de toute façon, il n’avait que ça à faire… La porte finit enfin par s’ouvrir et il leva son regard vers elle. Au même moment, elle s’était accroupie et lui avait passer une main sur la tête, il avait alors fermer les yeux, restant parfaitement immobile. Il l’entendit dire quelques mots et compris qu’elle parlait du sang, il leva alors les yeux au ciel, il avait chasser, comment un chasseur au corps à corps pouvait il ne pas se tacher de sang. Il sentit sa main errer sur lui, elle devait vérifié si il n’était pas encore blesser, alors il la laissa faire, restant calme jusqu’au moment où elle aurait finit son inspection.

Finalement, elle s’était redressée, et à ses pieds, le loup blanc s’était étiré en baillant. La nuit avait été longue pour tout les deux, et les muscles du canidé le suppliait de leurs accorder un peu de repos. Elle le laissa ensuite entrer, et il ne se le fit pas répéter deux fois et entra dans la maison qui était maintenant la sienne d’un pas calme et assez léger. La tête bien droite, son regard se posa sur un homme qui les observait dans le bureau de Viviane, il eut un petit grognement mais pas d’attitude menaçante. Il n’aimait pas vraiment que des étranger joue les curieux sur ce qui était à présent son territoire, mais il resta aux pieds de Viviane.

Alors qu’il la suivait jusqu’au salon, il entendit le cri de l’homme et eut un couinement. Bon sang ce que les humain pouvaient être bruyant ! Il grogna un instant, les oreilles basses et s’ébroua avant de lever les yeux vers Viviane et de s’asseoir docilement à ses pieds. C’est sur que dans certains cas sa présence pouvait être gênante, comme dans d’autre, elle pouvait être un atout. Quoi qu’il en soit notre jeune loup était assez futé pour savoir que ce qu’il était, il valait mieux le garder cacher pour en faire une force en cas de danger. A partir de maintenant, la jeune détective serait donc la seule qui saurait qu’il était un hybride douer de cette faculté et qui pourrait le voir se transformer, sauf bien sur si danger il y avait.

Le regard d’argent que l’hybride posa au fond des yeux de sa maîtresse semblait vouloir lui demander de rester à ses cotés, que ce ne pouvait être qu’un point bénéfique, en espérant que son froussard de client ne prenne pas ses jambes à son cou entre temps. Il s’ébroua un instant avant de venir glisser sa tête au creux de sa main. Si elle voulait lui accorder sa confiance, de toute façon ce n’était pas lui qui briserait la confidentialité de son travail, d’une part car il ne comprenait et ne parlait que mal le langage humain, deuxièmement parce qu’il ne prêterait pas attention à la conversation, juste au comportement de l’homme.

Quoi qu’il en soit, pour le moment, le loup au pelage de neige restait assis aux pieds de la jeune femme, les oreilles légèrement couchées et les yeux fixer sur elle. Il attendait simplement de voir ce qu’allait maintenant décidé la louve alpha car sa volonté ferait office de loi pour lui.

[excuse moi pour ma trés longue absence ... J'ésserais de faire mieu, Bon mieu vaus tard que jamais non ? ^^]

Nom mais ce n'était aps possible, cet homme jouait les machos, et avait peur d'un petit (grand) loups ensanglanté, que els hommes étaient difficiles a comprendre.
Elle baissa les yeux sur Bleiz qui étiat a présent assis a côté d'elle, il glissa sa tête sous la main de la jeune femme qui le gratifia d'un petit gratement dérière l'oreille. Et si elle le faisait rnetrer dans le bureau, cet homme aretterais peut être bien de la prnedre de haut... N'importe quoi ce client, il allait presque la suplier a genoux pour qu'elle l'aide mais il se croyait toujours supérieur...
La jeune femme plongeat son regard roujoyant dans les yeux du loup, lui sourit et releva la tête vers l'homme.

-Bleiz, suis moi.

Son ton était doux, mais ferme. Elle se dirigea vers son bureau, passant devant l'homme en lui lançant un regard dédégneux, elle pouvait se le permettre, il n'y en avait aps des masses de detectives par ici, et il avait déja commencé a débaler son probléme. Elle fit rentrer Bleiz dans le bureau, prit l'homme par les épaules et le poussa de la porte qu'elle referma ensuite.
Elle repartit s'assoir dérière son bureau, regarda l'endroit ou le grand loup argenté était aprtit s'assoir, et replongea ses yeux écarlates dans ceux de son client, l'invita a poursuivre son récit.
L'homme gettait souvent des regards au loup, mais quel trouillard ce n'était aps possible... Il getta un regard noir a Bleiz, puis a Viviane qui voyait qu'il était terrifié, et que si Bleiz se levait ou faisait le moindre geste, l'homme serait totalement tétanisé, ça l'amusait beaucoup.
La jeune femme l'écoutait attentivment, sortit une feuille d'un tirroire, notta les informations qui lui paraissaient utiles, en prit une autre, griffona quelques lignes, la tendit a l'homme et lui demanda de signer au bas de cette feuille, une sorte de contrat. Il s'éxécuta et getta un autre regard au loup.

-J'ai tout ce qu'il me faut, cette affaire sera réglée rapidement, je vous recontacte dans 3 jours, je devrais avoir terminer.

-Mademoiselle, pourquoi ce... Cet animal est couvert de sang? Il a tuer quelqu'un?

Ralala, inpossible ...
Elle s'approcha de lui et lui sussura une phrase a l'oreille.

-On en vous a jamais dit que la curieusité etait un défaut? Vous pouvez vous retirer, j'en ai fini.

L'homme se pressa vers la porte, l'ouvrit et se retourna dans le hall pour getter u nregard appeurer a la jeune femme et a l'animal, il ouvrit l'autre porte, regardant toujours dérière lui, se prit le motnant en pleine tête, ce qui fit rire la jeune femme, et disparu dans le couloir.

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