[Bleiz] Vous avez déja ramené un loup chez vous ?

Viviane le regardait encore. Peu à peu, les joues de l’homme reprirent leur couleur naturelle. Le loup sentait le besoin de tourner en rond. En temps normal, c’était ce qui l’aidait à réfléchir. Bleiz crevait d’envie d’être tout près d’elle, mais son instinct l’empêchait de le faire tel qu’il l’aurait voulu. Quand il la prit dans ses bras, l’homme loup la vit rougir à son tour ; Il la garda simplement dans ses bras, comme pour lui assurer de sa protection.

La femme passa une main dans ses cheveux et il eut un léger soupire de bien être. Les caresses de sa maîtresse dans ses cheveux lui était vraiment très agréable. La tête de la jeune femme était posée sur son torse et Bleiz regarda ses cheveux roux un moment avant de fermer les yeux. L’odeur de la jeune femme lui semblait tellement douce et entêtante… Il fallait dire qu’il avait un odorat fort développé.

Bleiz la tenait toujours au creux de ses bras quand il sentit sa main glisser dans son dos et il frissonna légèrement. Le corps de Viviane tout contre le sienne lui fit perdre un peu de contrôle, mais pour le moment, il parvenait encore à se maîtriser. L’hybride la sentit se laisser allez contre lui et cela ne changea en rien du tout son comportement du moment. La détective posa un baiser sur son torse avec une tendresse qui le surpris franchement. Finalement, il choisit de prendre ce geste comme le signe immobile et silencieux qui était présent chez les loups.

Bleiz gardait donc sa maîtresse dans ses bras et il plongea son visage dans la chevelure flamboyante de la femme et se laissa envahir par sa douce effluve. C’était envoûtant pour notre jeune « loup » à l’odorat ultra sensible. Une mèche de cheveux pales, alourdie par l’eau s’échappa de derrière sin oreille effilée. Les yeux d’argent se posèrent à nouveau sur la femme. Oui, Viviane lui faisait de l’effet… Il fallait dire que la détective était vraiment très belle pour une humaine. Le souffle de l’homme atterrissait simplement dans les cheveux roux.

Le collier de métal le dérangeait à présent… Plus que jamais par ailleurs. L’hybride sentait son cœur battre plus fort que d’habitude. Son étreinte se resserra doucement autour de Viviane et les mains de l’homme loup commencèrent à faire doucement un massage sur les épaules de la jeune femme. Elle avait la peau douce. C’était surprenant de voir qu’il massait si bien alors qu’il avait toujours vécu à l’état sauvage parmi les animaux.

Bleiz enfoui sa tête dans les cheveux de la jeune femme. La demoiselle sentait son soufle tout prés d'elle, elle frémi légérement, son coeur s'emballait ... Viviane se demandait si c'était seulement du désir ou bien plus.
Elle le sentit frissoner quand sa main glissa le long de son dos. Comme par réfléxe, elle approcha ses jambes de celles de l'homme, et fi glisser sa jambe droite contre les siennes. Elle repassa ses mains dériére son dos, le caresant doucement. Sa peau était douce, vraiment trés douce.

Il la serra d'avantage. Viviane se sentiat totalement désamparée ... Il était si prés, et si différent de tous les autres. Il commençait a lui masser les épaules et un petit gémissement s'échapa des lévres de la jeune femme. elle fut plus qu'éttonée de sentir qu'i lmassait si bien, alors qu'il avait grandi dans la fôret et qu'apparament, il n'avait jamais vécu avec les humains avant elle.

Elle se sentait défaillir. Le massage était l'élément de trop, il pourait faire ce qu'il voulait d'elle, elle était totalement charmée, aux anges, sur son petit nuage ... Elle senti une émche de cheveux tomber sur son visage. Elle entrouvrit les yeux et vu qu'elle ne lui appartenait pas ... Bleiz était si proche que ça ?

Elle caressait le dos de l'hybride du bout des ongles, tandit que la jambe droite passait dériére celles du jeune homme. Elle se mordi la lévre quand il la massai, ça lui faisait un bien fou ... elle avait envis de lui sauter dessu et de l'embrasser ...

Au cours de ses sorties répétées, ça lui arrivait souvent d'avoir de petites aventures avec les hommes qu'elle attrapait ... Mais il était vraiment différent ... elle sentait bien qu'elle l'attirait mais il se maitrisait, même elle avait du mal.

Un de ses mains parcouru son dos jusqu'a sa nuque, encor une fois, elle lui passa a anouveau la main dans les cheveux, et la fit parcourrire la joue de l'hybride. Elle apssa son pouce sur ses lévres avant de la laisser glisser sur son torce, même s'ils étaient télement prés qu'il n'y avait presque plus de palce pour sa main.

Elle avait relevé la tête et plongeait son regard dans les yeux argents de Bleiz. L'eau coulait le long de son visage, le long de son corp. Elle n'en avait aps grand chose a faire, ce qui comptait pour elle en se moment, c'était les yeux de l'homme, si envoutant, doux et sauvages a la fois.

Sa jambe remontait le long de celles du "loup", c'était une simple caresse, comme une plume qui lui éfleurerait les mollets puis les cuisses; et elle redessendait, toujour aussi doucement.

Bleiz avait l’impression que l’odeur de sa maîtresse était comme une drogue sur son organisme, elle était la première femme qu’il côtoyait de si près, si il avait été né en élevage, sûrement serait aurait il été encore plus gêné qu’il n’avait pus l’être jusqu’à présent. Quoi qu’il en soit, le loup essayait de maîtriser les battements de son cœur mais il n’y parvenait pas, au bout d’un moment de lutte il finit par laisser tomber, apparemment il n’y arriverait pas, alors à quoi bon insisté…

L’homme-Loup avait sentit les jambes de la jeune femme se rapprocher des siennes et avait sentit son cœur louper un battement, il avait de plus en plus de mal à se contrôler. La jambe droite de la femme était accotée aux siennes et l’homme ne chercha pas à ce qu’il en soit autrement. Elle lui caressait le dos et en tout bon canidé qui se respectaient, il appréciait fortement cela. Mais chacune des caresses de sa maîtresse lui procurait un léger, et agréable frisson.

Quand il avait commencé à lui masser les épaules, l’Hybride avait été surpris de l’entendre pousser ce petit gémissement, mais ne c’était pas pour autant arrêté… Si ses messages faisaient du bien à la jeune femme, cela suffisait à le réjouir.

L’homme aux cheveux blanc sentait sa volonté faiblir à mesure des caresses, c’était dur… Il sentit la rousse passer une jambe derrière les siennes et une lueur interrogative passa dans son regard d’argent. Il vit la femme se mordre la lèvre et esquissa un léger sourire.

Bleiz ne savait pas comment c’était comporter la détective pas le passé, et, de toute façon il s’en fichait au plus au point. Après tout c’était sa vie, elle avait pus avoir la vie qu’elle voulait, elle n’avait a en rendre de compte à personne, et surtout pas à un simple hybride réduit en esclavage comme lui…

Les caresses de la jeune femme sur son corps lui faisaient chaque fois perdre un peu plus le contrôle et chaque seconde qui passait rendait l’étreinte de l’hybride un peu plus forte mais aussi un peu maladroite. Elle lui caressa la joue et la Bleiz frissonna encore un peu plus et se frisson perdura jusqu’à cette caresse qui frôla son torse.

Elle leva la tête et le regarda, cette fois, il ne tourna pas les yeux, se laissant aller dans les magnifiques yeux de celle qui avait maintenant droit de vie ou de mort sur lui. L’eau coulant sur le visage de la jeune femme donnait presque l’impression à l’homme loup qu’il était face à un ange.

La jambe de la femme vint remonter en caressant la sienne, il se mordit un instant l’intérieur de la lèvre. S’en était trop pour lui cette fois, il l’attira un peu plus contre lui et vint capturer ses lèvres dans un baiser qui dégageait la même douceur que ses yeux, n’en étant pas moins un peu sauvage.

Viviane le sentit frémir sous ses caresses, elle esquissa un trés léger sourir, et celui-ci s'élargit quand il la fixa dans les yeux. La jambe de la jeune femme se reposai sur le carlage de la douche quand il l'embrassa tout en docueure, ceci l'éttona beaucoup, elle pensait que son instinc de l'oup l'empéchait de répondre aux pulsions de son corp. Il l'avait approchée d'avantage de lui, si c'était possible.

La demoiselle restait un instant sans bouger, totalement pétrifiée d'éttonement, puis ses yeux se fermérent et elle lui rendit son baiser, plus fougueusement que lui. Elle passa ses deux bras dériére la nuque de l'homme et se laissa aller complétement. Elle recula, légérement chancelante, et se retrouva adossée au mur carelé et froid. Un frisson lui traversa le dos tandit qu'elle se détachait doucement des lévres de Bleiz, sans pour autant le lacher ou se dégager de son étrainte.
Elle le fixait dans les yeux, totalement perdue. Elle en avait embrassé des hommes, mais il était plus que différent. Son coeur battait la chamade, elle tramblotait légérement, jamais elle n'avait était dans cet état la juste en embrassant quelqu'un.

Elle laissa une de ses mains glisser le long de son dos, puis remonter sur son torse, passer sur ses hanches ... Ses gestes étaient assés sensuels pour faire péter une durite a un prétre octogénére (mdr), elle était passé proféssionelle dans l'art de s'amuser avec un homme ... Son côté provocateur reprenait le dessu. mais quand elle croisa anouveau son regard, elle repalaça sa "main baladeuse" dériére sa nuque, se mit sur la pointe des pieds et enfoui sa tête dans le cou de Bleiz, l'embrassant par si par la ... Le collier de métal cachait malheuresement une grande partie de son cou, et elle se promi de s'en débarasser.

Elle était sur la pointe des pieds, toujour tramblotante. L'eau coulait toujour le long de son corp, elle était froide, mais Viviane avait vraiment trés chaud ... A cause de Bleiz. Elle passa une amin sur le collier, le grattant légérement avec ses ongles, comme si elle allait réussir a le détacher ainsi.
La jeune femme n'avait aucun probléme pour ouvrir toutes les serrures, des plus simples au plus compliquée, mais il lui fallait un minimum de matériel, elle aurait put aller le chercher, mais elle ne voulait pas bouger de cette douche.

Le temps s'alongeait quand elle était dans ses bras. Elle se sentait fondre litéralement. Pourquoi était elle si petite, ça l'empéchait d'être a la hauteur du visage de l'homme. Ses deux mains remontairent dériére la tête de l'hybride, et elle la penchat légérement en avant, pour qu'elle touche la sienne.

Bleiz se sentait perdu dans les magnifiques yeux de cette femme, son instinct de loup l’avait empêché d’obéir à ces pulsions jusqu’à ce qu’il puisse détecter un signe d’accord venant de l’Alpha, c'est-à-dire dans le cas présent de la jeune femme. L’Hybride s’apercevait qu’il appréciait vraiment la présence de sa maîtresse tout contre lui. Il trouvait cela vraiment très agréable.

Bref, l’Homme-Loup sentait que la jeune femme ne réagit pas dans un premier temps, il se demanda un moment si il n’avait pas fait de bêtise… Mais non, finalement, la jeune femme finit par répondre à son baiser et cela le soulagea franchement, mais il fut aussi surpris par la fougue que la détective mis dans ce baiser. Elle passa alors ses bras autour de son cou, achevant de dissiper les doutes qui occupaient l’esprit du « Loup ». Viviane recula, l’entraînant dans un premier temps avec elle. Mais elle interrompit doucement le baiser et l’homme la regarda à nouveau, la tenant toujours contre lui et avait toujours ses bras autour de son cou. Son regard s’accrocha un instant avec celui de la femme. Mais lui, semblait un peu perdu, après tout il avait vécu en loup, ce baiser était en vérité son premier baiser. Il la sentait tremblée au creux de ses bras et son cœur n’en battait que plus fort. L’homme aux cheveux pale se sentait étrange, mais c’était ainsi, il était quelqu’un des plus débutant.

A nouveau, elle passa sa main le long de son dos et remonta par son torse, Bleiz poussa un soupire de bien être alors que l’une de ses mains aux ongles un peu longs glissait dans le dos de la jeune femme. A chacun de geste de la jeune femme, l’Homme-Loup avait de plus en plus envie de la faire sienne. A nouveau leurs regards se croisèrent et la femme sembla redevenir plus « sage » et revint glisser sa main derrière sa nuque. Elle vint ensuite glissé sa tête au creux du cou de l’homme qui poussa un nouveau petit soupire alors qu’elle le couvrait de petit baiser. Le « loup » était pleinement conscient que le collier qui l’enserrait depuis sa capture devait gêner sa maîtresse, mais il ne pouvait rien faire à ce sujet.

Les oreilles légèrement duvetées de l’Hybride entendirent le bruit des ongles de la femme sur son collier. Ce collier qu’il haïssait tant, ce collier qui le faisait paraître à un vulgaire chien. Quoi qu’il en soit, le collier ne bougea pas d’un millimètre fasse au traitement de la femme. Il avait tenu bon face à ses griffes à lui alors le pari de l’échec du geste de la jeune femme était couru d’avance, c’était ainsi.

Ce collier, même si il aurait tout donné pour s’en débarrasser, Bleiz s’y était habitué. En fait, il valait mieux qu’il l’ai à présent car à force de sa lutte pour l’ôter, son cou était couvert de fines cicatrices provoquer par ses griffes qui s’attaquait à ce bout de métal ignoble qui l’étouffait parfois un peu trop.

L’Homme-Loup se sentait tellement bien tout contre la jeune femme… Maintenant, il comprenait mieux certain comportement humain qu’il avait pus voir, que ce soit quand il était libre ou à la boutique… La jeune femme était certes plus petite que lui, mais était ce vraiment très dérangeant ? La jeune femme finit par le forcer à baisser la tête vers elle, et le peu de volonté qu’il avait pus lui rester s’était évanouit avec les baisés de la femme. Il remonta doucement ses mains le long de son dos et ses ongles l’éraflèrent légèrement alors qu’il se rapprochait un peu plus d’elle, cambrant un peu plus le cou.

Le demoiselle voyait qu'il était tout aussi perdu qu'elle, mais bon, elle se sentiat si bien que ça ne lui faisait absolument rien. Les mains de l'homme glissaient dans son dos, et ses ongles/griffes lui éraflérent légérement le dos, aprés avoir accroché un trés court instant l'attache de son soutien gorge, qui tenait bon. Elle soupira d'aise, son soufle soulevait légérement les cheveux mouillés de Bleiz. Si elle ne se retenait aps a son cou, elle serait sans doute tombée a genoux.

Elle l'embrassa dans le cou plusieurs fois, puis releva la tête et s'attaqua a ses lévres. Son baiser était rapide, mais doux et fougueux a la fois. Elle l'embrassa de l'autre côté de son cou, passa ses lévres sur son torse, les mains sur les épaules de l'homme. Elle le couvrait de baiser, l'embrassa sur l'épaule, et enfouie a nouveau son visage dans le creu de son cou. Elle déposa un baiser juste sous son visage, le mordant trés légérement avant de fermer a nouveau les yeux et de poser sa tête sur son épaule.

Elle se demandait toujour si c'était seulement du désire ou de l'amour ... elle s'était pourtant promis de ne plus tomber amoureuse, c'était trop douloureux... En pensant a cela, quelques larmes coulèrent sur ses joues, mais elles se confondaient avec l'eau fraiche de la douche. Elle entrouvrit les yeux avant de les refermer, Quelques larmes dévalèrent encor ses joues, elle embrassa a nouveau Bleiz dans le cou, et elle senti sa tristesse se dissiper, lentement, mais surement.

Une de ses mains déssendit jusqu'a sa taille, sans même qu'elle y ai fait attention. Si jamais quelqu'un lui avait di qu'elle prendrait sa douche avec un loup et qu'elle l'embrasserait alors qu'elle ne le conaissait que depuis quelques heures, alors qu'ils allaient vivrent ensemble, elle aurait envoyé son interlocuteur dans un hopitale psychiatrique. mais c'était pourtant vrai.

[grand manque d'inspi dsl]

[pas grave, je suis pas mieux]

Si un jour Bleiz avait su qu’il serait capturer pour être ainsi vendu comme une marchandise à cette femme qui serait forcée de lui apprendre la vie des humains et qui ferait battre si fort. Il ne l’aurait pas cru, il aurait cru que c’était juste un songe… Comme ceux où à présent il se voyait retourner près des siens et être recueillirent à nouveau avec joie par sa meute… Mais qui pouvait lui dire ce que celle-ci était devenue… Personne ne devait le savoir dans ce nouveau monde auxquels il était maintenant forcer d’appartenir.

Bref, l’Hybride avait sentit quelques chose crocher ses griffes et, comme il était d’un naturel tout de même assez curieux, il voulu en savoir plus sur l’objet de cette résistance et sa main remonta donc dans le dos de la jeune femme et cherchèrent un moment à savoir ce qu’était l’attache… Sous cette inquisition celle-ci finit par cédé et comprenant alors ce dont il s’agissait le « loup » s’inquiéta de la réaction que pourrai avoir sa maîtresse face à se geste maladroit.

L’homme sentait le souffle de la jeune femme tout contre ses cheveux, d’ailleurs il en déplaça légèrement une mèche sans qu’il ne réagisse. Il sentait qu’elle se retenait à son cou, mais ça ne le dérangeait pas le moins du monde, au contraire.

Les baiser de la jeune femme dans son cou le déstabilisait de plus en plus, il ne savait plus ce qu’il devait faire, rester le loup qu’il était ou essayer de ce comporter en homme… Et comment ce comportait les hommes dans ce genre de situation d’ailleurs ? Tant de question et si peu de réponse, il ne savait vraiment plus quoi faire. Les baisés de la femme se déplacèrent de plus en plus, passant sur ses lèvres, de l’autre coté de son cou, puis son torse alors que les mains de la jeune femme libérait son cou pour se poser sur ses épaules. Bleiz émit un léger gémissement alors qu’elle l’embrassait tout en le mordillant sous le visage. Pour le coup, elle c’était un peu comporter comme une louve…

Viviane avait posé sa tête sur son épaule après cela, maintenant, les griffes de l’Hybride caressaient le creux des reins de la jeune femme, sans pour autant attaquer la peau. Il avait envie d’être le plus près d’elle possible… Il avait envie de vouer sa vie pour elle encore plus qu’il ne l’aurait fait pour une louve Alpha. Il soupira fortement et sentit bientôt la jeune femme lui embrasser le cou… La main de l’homme qui n’était pas en train de caresser le creux des reins de la jeune femme vint doucement caresser ses cheveux.

L’Homme-Loup sentit la main de l’homme sur sa taille et il frissonna avant de pencher encore un peu plus la tête pour venir poser quelques baiser dans le cou de la femme, puis sur son oreille. Finalement, il revint a son cou et alterna des petits baisés avec des légère morsures.

[Bon là c’est légèrement mieux lol]

L'hybride passait a nouveau sa main sur son dons, elle le sentait titiller l'attache de son soutien gorge, celle ci fini par lacher. Les bretelles glissèrent de ses épaules, mais le soutien gorge ne tombait pas pour autant, étant totalement colée a Bleiz il ne pouvait pas tomber. Quand l'ttache se détacha elle releva la tête et lui lança un petit regard intérogateur qui signifiait en même temps "Si il te géne enléve le tout seul".

Bleiz émit un petit gémissement quand elle le mordi dans le haut du cou, la jeune femme se dit qu'il appréciait, elle l'éspérait en tous cas. Quand elle reposa sa tête sur son épaule, il commença a lui caressait le creu des reins, puis ses cheveux. Apparament la petite morsure ne l'avait pas dérangé. Elle le sentit frissoné quand elle posa sa main sur sa taille, et elle sourit légérement.

Elle repassa sa jambe dériére celles de Bleiz, se déhanchant légérment. Elle lui lanssa un reagd ardant, pendant qu'il l'embrassait dans le cou ... elle adorait ses morsures. Elle passa sa main dans le cou de l'homme et le griffa légérement, de son autre main elle lui caressait toujour la taille. Son soutien gorge glissait encor un peut, et ses longs cheveux tombaient devant sa poitrine.

A l'une de se smorsures, elle regetta la tête en arriére et sa longue criniére suivi le mouvement. Sa peau brillait, l'eau coulait toujour le long de son corp, elle n'avait jamais pri une douche aussi agréable.

[toujour aussi court -_- je me déssoi]

Quand il avait fait sauter le fermoir du sou vêtement de la jeune femme par inadvertance, celle-ci avait levé les yeux vers lui et en réponse à son interrogation sourde, il se mordit la lèvre avec un air désolé. Il ne connaissait rien des vêtements féminins, il n’en avait jamais vu jusqu’à présent. Déjà les vêtements masculins, il avait franchement du mal. Après tout, durant toute les années qu’il avait passé en forêt, il n’avait jamais eut à porter quoi que ce soit sur son dos, ça encore c’était une marque d’asservissement pour le loup…

Le regard de Viviane le faisait un peu plus perdre pied, comment se comporter ? Bien sur, Bleiz avait aimé le mordillement de la jeune femme. C’était vraiment des plus agréable… Rien qu’après cela, il serait prêt à donner jusqu’à sa vie pour sa maîtresse. Il était ainsi et rien ne le changerait.

A nouveau, il sentit la jambe de la femme derrière les siennes. Le regard qu’elle lui lança… Le cœur de notre pauvre Hybride bondit dans sa poitrine. Il continua de lui mordiller le cou, puisque cela semblait lui plaire. C’est à ce moment là qu’elle lui caressa le cou en le lui griffant un peu. L’homme-loup ne broncha pas, il avait plus souffert de ses propres griffes quand il essayait d’enlever son collier. Il sentit le sous vêtement de la femme glisser un peu plus et il acheva de le lui ôter commençant à le trouver dérangeant.

A un moment donner, la femme rejeta sa tête en arrière et le loup profita qu’elle lui laissait un plus grand champ d’action pour continuer ses petites morsures. C’est à ce moment là que le jeune homme en vint à mordiller doucement, et pourtant avec une certaine envie non dissimuler, le lobe de l’oreille de viviane.

Viviane se laissait totalement faire, elle adorait ses petites maniéres, mais quand elle se disait qu'il avait apssé toute sa vie en foret, ça l'ettonait beaucoup de voir comment il se "débrouillait". L'instinc ? L'homme retira totalement le soutien gorge de la jeune femme, celui ci tomba sur le sol carelé. La jeune femme sentait l'eau se rafraichire, d'un autre côté, ça faisait un bout de temps qu'ils était sous la douche, la résérve d'eau chaude devait commencer a diminier.

Quand elle geta sa tête en arriére, l'homme en rpofita pour continuer ses morsures, mais plus dans le cou. Il lui mordillait le lobe de l'oreille, la jeune femme sentait bien toute son envie, mais cepandant, il restait trés doux. Elle fit glisser un e de ses main le long de son dos, et passa l'autre sur son bas ventre.

Viviane n'était plus qu'une simple marionette, il pourait faire ce qu'il voulait, elle ne s'y opposerait pas, elle en serait incapable; a se demander qui était le maitre et qui était "l'esclave". Elle se cambra légérment, léssant tout d emême son oreille a portée de crocs. Elle resséra la main qui était dans son dos en le griffant légérement une fois de plus.

L'eau se rafraichissait encor d'avantage, devenant vraiment froide. Mais v que l'hybride lui faisait l'effet contraire, elle n'y préttait pas beaucou d'intension.

Bleiz sentait la jeune femme se laisser faire, apparemment cela semblait plaire à Viviane pour qu’elle agisse de la sorte. Et, pour le moment, tout ce que voulait l’Hybirde, c’était faire plaisir à sa maîtresse. Si l’Homme-Loup se « débrouillait » aussi bien c’était à son instinct d’homme que parce qu’il s’en passait parfois des vertes et des pas mûres à la boutique d’Hybride, l’homme avait eut le temps d’apprendre quelques petites choses. Il sentait l’eau froide coulées sur sa peau. Cela ne le dérangeait pas… Au contraire puisque ayant vécu en forêt, il était habituer à se « doucher » sous des cascades gelées… Certes, il n’avait jamais beaucoup aimé ces eaux grondantes : elles avaient volé le souffle de beaucoup de ses frères et sœur de meure.

Le loup mordilla ainsi doucement le cou de la jeune femme et ajouta à cela le lobe de l’oreille de la détective. Bleiz restait doux dans ses mouvements, bien que depuis quelques temps tout devenait un peu plus sauvage et brusque dans ses agissements. Il sentit la main de la femme se glisser dans son dos, et, à nouveau, il fut parcourut d’un frisson. Un doux grognement monta dans la gorge de l’Hybride juste avant que la jeune femme ne descende son autre main au niveau de son bas ventre. Ses muscles abdominaux se crispèrent un instant, mais l’Homme-Loup s força à se reprendre.

C’était étrange, le « loup » avait entendu pendant tout son dressage qu’il devrait se soumettre, obéir et se laisser faire… Or, pour le moment en tout cas, c’était plus sa maîtresse qui se laissait faire. C’était assez… amusant en fait… L’homme sentit la jeune femme se cambrer tout contre lui. Il relâcha doucement son oreille alors que la jeune femme lui griffait le dos. Un léger gémissement lui échappa, puis, finalement, il « croqua » à nouveau le lobe de son oreille, en revanche, cette fois les morsures se firent au niveau de ses canines effilées, rendant les morsures un peu plus douloureuses.

Bleiz avait oublié l’eau, bien qu’elle continue de couler sur sa peau, de plus en plus froide. L’Hybride avait oublié ses frères et sœurs de meute qui avaient trouvées la mort dans les eaux grondantes. Pour le moment, il n’y avait que ce qui pouvait rendre la rousse heureuse qui l’intéressait et le préoccupait.

Viviane le santait frissoner sous ses mains, elle se sentait trés bien ici, mais elle avait "l'habitude" que tout se passe beaucoup plus vite, ça la changeait agréablement mais ça la changeait quand même vraiment radicalement. Il contracta ses abdos quand elle passa sa main le long de son bvas ventre, et cessa de la mordiller un court instant.

Elle le regardait, ses yeux a moitier fermés étaient pétillants, et l'eau qui coulait le long de son visage les faisait briller. Elle respirait rapidement, son coeur battait la chamade, elle se sentait vraiment désenparée.

Il lui mordi l'oreille plus frnchement et elle ne pu s'empécher de gémire doucement. Elle passa sa main dériére la tête de l'homme, le tirant légérement en arriére. Elle s raprocha dangeuresement et déposa ses lévres sur les siennes, elle lu mordi la lévre tout en l'embrassant.

Elle 'navait aps pu se retenir plus longtemps. Elle continuait de le mordre, appuaynt un peut d'avantage au fur et a mesur que l'eau se refroidissait.

Bleiz ne savait pas trop si il pouvait VRAIMENT se le permettre ou non… Après tout elle était sa louve alpha, et lui un loup… Béta ? Gamma ? ou même Oméga ? Il n’aimait vraiment pas l’idée d’être un loup Oméga, c’était toujours celui qui devait tout subir des autres dans jamais broncher, et lui ne supportait pas l’idée que les autres sous fifre ne lui donne des ordres auxquels il devrait se plié sans broncher.

Quoi qu’il en soit, la main que la jeune femme avait posée sur son bas ventre avait un peu plus éveillé l’envie de l’Hybride qui commençait à être au delà de ses limites… Il voyait ses yeux si pétillants… Si beaux… Tout comme elle. Son cœur battait plus vite qu’il n’y était habitué, il avait du mal à rester « calme ».

Quand il lui mordit un peu plus l’oreille, il l’avait entendu gémir et un léger soupire lui avait alors échappé. Bientôt, elle le força à repousser sa tête en arrière et il se laissa faire. Elle vint alors déposer ses lèvres contre celles ce l’Homme-Loup qui étouffa un petit grognement de bien être quand elle lui mordit la lèvre en l’embrassant.

Et elle continuait de le mordre alors que lui laissa un moment ses mains errées sur les hanches de la détective un peu avant que ses griffes ne déchirent pas inadvertance l’un des cotés du sous vêtement restant de la jeune femme.

Viviane se deamndait toujour si c'était son côté loup qui le retenait, pourquoi ne suivait il pas son instinct ? Avait il peur de "se laisser aller" parcequ'elle était sa maitresse? Que se passait il dans la têt de l'hybride, pensait il toujour comme un loup, ou bien se laissait il aller a penser comme un humain? La jeune femme aurait voulu qu'il ne se sente plus "géné" ou autre, qu'il ne la voit pas comme sa maitresse ...

M'homme loup étoufa un petit grognement quand elle léembrassa et laissa ses mains vagabonder sur ses hanches, une de ses griffes déchira un côté du seul vétement qui lui restait, elle posa une main par dessu celle de l'hybride, sur ses hanches, elle la fit glisser de l'autre côté, ses griffent mordirent l'autre côté, le tissu n'était aps entiérement déchirén seulement une petite aprtie en haut, mais ça avait légérement attaqué la peau de la jeune femme. Elle mordi un peut plus la élvre de Bleiz en déssendant son autre main sur sa taille, par dessu celle de l'hybride. Elle en fit dessendre une le long de sa hanche, puis sur sa cuisse, tandit que l'autre remontait jusqu'a sa taille, puis passait sur son ventre a la fois plat et joliment musclé, puis remonter légérement un peut sous sa poitrine.

Son coeur battait a tout rompre, elle ne savait aps si elle allait tenir bien longtemps. Ses baisers étaient entrecoupés de petites respirations rapides. Elle ne savait plus quoi faire, elle aurait bien voulu tout prendre ne main mais elle ne s'en sentait aps le courage, pas avec lui, pas avec Bleiz. L'hybride acaparait toutes ses pensées, quand elle fermait les yeux, les siens revenaient debvant ses paupiéres, et quand elle les rouvrait, elle le voyait aussi ... encor plus beau qu'il ne l'était auparavant.

Elle fit a nouveau glisser la main qui se trouvait juste sous sa poitrine, vers le haut. La peau de Bleiz était douce, si douce ... Cette sensation était télement agréable, il était vraiment différent, unique ... Ses ésitations la faisait sourir intérieurement, ça faisait une grande partie de son charme.

Bleiz ne savait pas comment réagir, mais il y pensait de moins en moins… Son esprit était comme anesthésier par l’envie que déclanchait la jeune femme chez lui. L’Hybride avait plus peur qu’il n’était gêné… Car il avait peur du rang qu’il pourrait avoir dans cette nouvelle meute… Un Béta ? Un Gamma serait encore supportable… Mais un Omega non… Il ne supportait même pas cette idée qui le rendait presque malade. C’était ainsi, il ne supporterait jamais d’être le dernier des sous fifre, celui qui doit tout endurer de tout sans broncher, voir même en souriant.

Quoi qu’il en soit, l’Homme-Loup appréciait vraiment les petites morsures que la femme lui faisait subir, c’était très agréable pour notre « loup ». Quand il avait déchiré par inadvertance le dernier vêtement de la jeune femme, elle posa une main sur la sienne et il se demanda ce qu’elle avait en tête. Puis, il sentit ses griffes entaillées le tissu et la chaire de la jeune femme. Puis, il la sentit guidé ses mains le long du corps de la détective. Tout d’abord sur ses hanches, puis sur sa cuisse… Dieu qu’elle pouvait avoir la peau douce… Il se laissait guidé par la jeune femme quand il lui prit des envies de « liberté », mais ne bougea pas, la laissant faire ce qui lui chantait…

Doucement, la langue de l’homme vint frôler les lèvres de sa maîtresse. Ses mains caressaient maintenant la peau de la jeune femme avec une certaine sensualité aux endroits où elle les avait posés. Il sentait son cœur battre à tout rompre, tellement fort que cela lui faisait un peu mal. Bleiz soupira doucement avant de la serrer un peu plus contre lui. Les caresses continuèrent un long moment, puis, il finit par se décider à lui ôter son dernier sous-vêtement. Puis il revint à caresser ses cuisses avec douceur. Puis, ses caresses dévièrent doucement vers l’intérieur de celles-ci. Elle était tellement belle pour une humaine, comme ne pas vouloir d’elle ? Un long soupire souleva la poitrine de l’Hybride.

Puis, la jeune femme fit à nouveau glisser ses mains vers le haut… Il frissonna un peu plus et caressa les parcelles du corps de la jeune femme qu’elle avait livré à ses mains un peu tremblante. Il hésitait, mais c’était normal, il ne connaissait pas encore bien ce monde. Après tout, Viviane était sa toute première maîtresse, il ne savait pas encore comment les Hybrides capturés devait se comporter…

Viviane le vit se laisser faire, ses mains suivaient la direction qu'elle leurs idiquait. Elle aurait apprécié qu'il prennent quelques iniciatives, mais si quo ique se soit l'ne empéchait, elle se débrouillerait. L'homme avait l'air d'apprécier les morsures de la détective, celle ci s'en régalait aussi. L'hybride passa sa langue sur les lévres de la jeune femme, pendant que ses mains la caressaient sensuellement. Il soupira et la serra d'avantage contre lui. Puis il fini par la déshabiller complétement, avant de recommencer a caresser ses cuisses.

Elle frissonait légérement sous ses caresses, il était si merveilleux ... si doux et si sauvage a la fois, surement a cause de sa vie de loup. Viviane déposa a nouveau ses lévre sur celle de l'homme, et sa langue allait a la rencontre de celle de l'hybride. Le smains de Bleiz glissaient vers l'intérrieure de ses cuisses, et celles de Viviane tombaient sur les hanche du jeune homme.

Viviane commençait a se demander pourquoi elle aimait tant les aventures d'un soir, alors qu'il lui offrait dix fois mieu. Il était doux et légérement timide, ésitant dans ses gestes; ça la faisait fondre sur place.

Elle passa sa langue sur les lévres de l'hybride, le mordant légérement a la comissure de la bouche. Elle l'embrassa, dans le cou, à l'envi. Une de ses mains remonta jusqu'au ventre de l'hybride, le caressant et le griffant élgérement. La jeune femme se demandait toujours s'il allait prendre des initiatives et faire ce qu'il voulait, ne plus se retenir.

Bleiz avait peur de ce qui pourrait arriver, si il agissait mal, porterait elle la main sur lui ? sI elle le faisait, il savait que son instinct de loup le pousserait à attaquait, il ne voulait pas que cela arrive. La jeune femme était très gentille. Il ne voulait pas risquer de la blesser, et encire moins de prendre le risque de la tuer. L’Hybride aimait vraiment les morsures de la femme, normal, il était un loup après tout et chez les siens, c’était peut être l’une des plus grandes marques d’affections possible.

L’Homme-Loup sentait les frissons de la femme contre lui et ses gênes humains faisaient qu’il trouvait cela véritablement grisant. A nouveau, Viviane vint poser ses lèvres contre les siennes. Ses caresses se firent alors un peu plus sauvage. Sa langue vint enlacer celle de la détective avec une certaine envie. Ses mains glissaient doucement vers l’intimité de la femme, un peu plus à chacune de ses caresses. Dans le même temps, il sentait les mains de la rousse sur ses hanches et son cœur s’emballait.

Viviane passa sa langue sur les lèvres de l’Hybride et lui mordilla doucement les lèvres. Un gémissement vint alors mourir dans sa gorge. Il perdura d’ailleurs un petit moment où la jeune femme lui faisait, consciemment ou non, ressentir son envie en lui déposant de nombreux baisers dans le cou. Sa main remonta doucement le long de son bas-ventre, pour finalement se poser sur son ventre. Finalement, il n’en put plus, il alla doucement plaquée sa maîtresse contre le mur.

La femme était maintenant collée tout contre son corps. L’eau froide coulait tout au long de leurs deux silhouettes, mas Bleiz n’en avait maintenant plus conscience, il l’avait totalement oubliée. Il vint doucement la mordillé dans le cou et laissa libre cour a son instinct. L’Hybride souleva doucement la jeune femme en la gardant toujours plus ou moins contre lui, peu à peu, ses traitements commencèrent à descendre jusqu’à sa poitrine de la détective, s’arrêtant ensuite au niveau de l’un de ses tétons où ils se firent un peu plus hésitant.

L’Homme-Loup continua de s’occuper ainsi de son sein. A croire que les griffures de la rousse avaient achevés de faire tomber ses barrières de méfiance. Il leva ses yeux d’argent pour les plongés dans ceux de la femme dans une sorte de question muette. Pouvait il le faire ? Il en avait vraiment très envie…

Viviane n'aurait jamais pu le frapper, pas lui, n'importe qui d'autre aps de problémes mais aps Bleiz, pas dans un instant pareille. Elle se doutait bien qu'il pourait se défendre si elle l'attaquait, mais elle ne pensait aps du tout a ça dans un moment pareille. D'un autre côté, elle sentait qu'i lapréciait ses petites morsures, et elle s'en réjouissait.

Quand il répondi a son baiser, Vviiane senti son coeur s'embaler encor d'avantage, elle trouvait d'ailleur cela plutot impressionant, elle ne savait pas que son coeur pourait battre ainsi, c'était presque douloureux. Elle sentiat la main de l'hybride glisser entre ses jaùbes, et elle frémi une fois d eplus.

Elle l'entendit gémir doucement et ne put s'enpécher de le mordiller un peut plus fort dnas le cou. Elle du reculer légérement au bou d'un petit temps, il vint la coller contre le mur, elle se disait qu'il n'avait jamais était si prés d'elle ... Il avait enfin pris une initiative ? elle s'enr éjouissait d'avance.

Il vitn la mordiller dnas le cou, puis dessndre jusqu'a sa poitrine. Elle poussa un petit gémissement a peine audible quand i ldessendi jusqu'a ses tétons, elle passa une main dans les ceveux de Bleiz tandt que ses yeux se fermaient doucement. Quand il leva les yeux vers elle, elle se raprocha de lui et l'embrassa fouguesement. Elle vint trouver sa langue et la captura de la sienne. Sa main qui était dans les cheveux de l'hybrise le raprocha d'elle, enfin le fit avancer encor d'avantage, et de 'autre elle lui griffait le dos.

Elle glissait légérement, dos au mur. Le carelage et l'eau froide la faisait se raprochait encor de lui, enfin elle aurait pu se baigner dans les eaux d'entarctique, tant qu'il était a ^portée de mains, elle n'y voyait aucuns problémes.

Bleiz ferait tout pour que Viviane n’ait jamais à lever la main sur elle, il serait un toutou bien obéissant si c’était ce qu’elle voulait de lui. D’ailleurs, comme un toutou bien obéissant, il était prêt à tout pour rendre sa maîtresse heureuse. C’était ainsi… C’était la nature de l’Homme-Loup et il ne changerait sûrement pas de si tôt.

Les frissons de la détective, ses baisers… Tout ça était tellement enivrant pour le jeune Hybride. D’ailleurs, suite à son gémissement, les mordillements se firent un peu plus fort. Viviane tenait le « loup » en son pouvoir à l’aide de ses simples mordillements. En revanche, quand ce fut à son tour de lui administrer une série de mordillement, la jeune femme gémit, et la virilité de l’homme réagit au quart de tour face à ce simple gémissement montrant ainsi que l’envie de l’homme aux cheveux blancs n’allait pas en diminuant, au contraire.

L’homme aux oreilles effilées sentit alors Viviane lui passa une main dans les cheveux. Aux vues du baiser qui s’en suivit, Bleiz crut bon de pensé que cela avait du lui plaire… Il répondit à son baiser avec autant de fougue qu’elle. Sa langue commença alors à jouer avec celle de la jeune femme. Elle le cola un peu plus contre elle et l’Hybride laissa un moment ses mains errées sur le corps de la détective. Il n’en pouvait plus ! C’est ainsi qu’il continua d’administrer les plus douces caresses sur le corps dénudés de la jeune femme.

L’Homme-Loup sentait son cœur se défouler dans sa poitrine, il battait tellement fort, tellement vite. Ca faisait mal, mais en même temps, c’était tellement agréable. Le « loup » aurait voulu rester comme ça le plus longtemps possible. Tout ça était tut nouveau pour lui. Lui, la créature sauvage découvrait ce qu’étaient les sentiments humains et il tâtonnait encore quand à savoir les réactions qu’il devait avoir face à ces derniers.

L’homme se colla encore un peu plus contre la jeune femme, entrelaçant ses jambes avec celles de la jeune femme, rapidement chaque parcelles de leurs deux corps furent collées, comme si l’homme aux yeux d’argents voulait ne faire qu’un avec elle. Et c’était bien cette envie là que lui hurlait son corps depuis que la rousse était tout contre lui, depuis que son cœur battait si vite.

Les cheveux d’argents de Bleiz étaient collés sur son crâne à cause de l’eau froide qui s’écoulait sur lui depuis quelques temps déjà. Mas le garçon, lui, ne se souciait aucunement ni de ses cheveux, ni du manque de chaleur de l’eau. En fait, tout ce dont il se souciait pour le moment, c’était Viviane, sa maîtresse pour qui l’Hybride se sentait la force de tout faire, absolument tout.

Doucement, les mains de l’Hybride se glissèrent sur les hanches de la détective et il la souleva doucement, de sorte à ce que l’intimité de la rousse se retrouve en face de la verge enflée de désir de l’Homme-Loup. La virilité frôlait l’intimité féminine avec une certaine envie mêlée de sensualité.

Viviane sentait bien qu'il ferait n'importe quoi si elle lui deamdnait ... Mais elle ne voulait aps abuser de ce pouvoir qu'elle avait sur lui dorénavant. Elle sentait aussi qu'en le mordillant, elle pourait lui faire n'importe quoi d'autre, il n'était plus en état de protester, ou même de douter. Effectivement il prit rapidement les chauses en main et commença a la mordiller également. Quand elle gémi de plaisir, le corp de Bleiz réagit a l'envie et la jeune femme s'en réjouit intérieurement.

Comme elle se sentait bien a cet instant ... la detective venait même a se demandait s'il viendrait a son secour si jamais elle était en danger ... si quelqu'un l'attaquée, viendrait il si elle ne lui avait donné aucun ordre ? La jeune femme aurait vraiment voulu savoir ... Lui viendrait i len aide si elle avait un probléme quelqu'onque?

Elle sentait ses cheveux de soler sur son dos. Quelques méches tombaient devant son visage, en temps normal elle les aurait repoussés d'un geste machinal, mais la elle aurait trés bien pu ne pas en avoir, ça aurait fait exactement la méme chose. Pour le moment, Bleiz acaparait son esprit, elle ne pouvait aps penser a quo ique ce soit d'autre.

La jeune femme frissona en santant les main de l'hybride sur ses hanches, et elle ne put s'emépcher de se deamdner ce qu"il se passait quand il la souleva légérement. Son regard était totalement absorbé apr les yeux argentés de l'hybride mais elle baissa tout de même les yeux en sentant la virilitée de Bleiz contre son intimitée. Elle se mordi la lévre, et la main qui se trouvait dans les cheveux de l'hybride se resserra légérement.

Elle voulait aller plus loin, mais esque Bleiz en aurait le courage, il avait toujour vécu en tant que loup ... Elle ne voulait en aucun cas le brusquer, l'effrayer ... cepandant, elle en mourait d'envis.

Elle se déhancha légérement pour se raprocher un peut de lui ... Une de ses mains déssendi le long de son dos, et se posa sur ses reins, le raprochant d'avantage d'elle.

C’était ainsi, Viviane était la « louve » alpha, Bleiz obéirait donc bien docilement au moindre de ses ordres, aussi tordus puisse t’il être. L’Hybride n’était maintenant plus qu’un jouet entre les mains de sa maîtresse. Il fallait dire que toutes les sensations que lui faisait subir étaient toutes nouvelles pour lui, il se sentait comme un nouveau né qui se laissait guider par l’instinct de la race quand à savoir quoi faire…Cette découvert enivrait l’Homme-Loup au plus haut point, peut être était ce pour ça que son corps réagissait si facilement aux gémissement de la rousse.

Viviane n’avait pas à se soucier de la manière d’agir du loup. Chez sa race, l’esprit de meute était ce qu’il y avait de plus sacré. Il suffirait à la femme de l’appeler au secours et où qu’elle soit il l’entendrait grâce à sa fine ouïe de loup et aussitôt il viendrait à la rescousse, quitte à mettre sa propre vie en danger. Mais après tout, chez les siens, la vie individuelle n’avait que peu d’importance face à la vie de meute.

En voyant les mèches de cheveux sur le visage de la jeune femme, les mains de l’homme délaissèrent un moment leur postes pour venir chasser les importunes et ainsi libéré le visage de la femme de cette présence impie. Un sourire se forma sur les lèvres de l’homme alors que ses mains revinrent se postées aux postes qu’elles avaient quittées un peu plus tôt, comme si ces derniers leurs manquaient atrocement.

Quand la virilité de l’Hybride en arriva à frôlée la virilité de la jeune femme, il la vit se mordre la lèvre et sentit sa main se resserre dans ses cheveux, a croire qu’elle n’attendait que ça… D’ailleurs il ne chercha pas à croire autre chose… Ses yeux d’argents étaient absorbés par ceux brun de la femme alors qu’il sentait une bouffé de chaleur immense s’emparée de son cœur et de son corps.

Cette fois, il était trop tard, il ne pouvait plus faire demi tour. Du moins, c’était ce dont il était absolument persuadé. Il la sentit alors bouger doucement contre lui, il se retrouva donc encore et toujours plus proche d’elle. L’homme frissonna et vint à nouveau emprisonner les lèvres de sa maîtresse avec les siennes. Le baisé que cela provoqua était envahit d’une fougue surprenante, presque sauvage.

Il finit par guidé le corps de Viviane jusqu’à ce que son membre dressé se frai un chemin au creux de l’intimité de la rousse… Il se glissa ainsi doucement en elle en prolongeant le baisser et en essayant d’aller le plus profondément possible avant de commencer doucement des mouvement de vas et viens.

Viviane se sentiat totalement enivrée, il agissait comme une drogue sur son organisme ... Mais une question la titillait, comme une drogue, en deviendrait elle dépendante ? Elle c'était promis de ne plus jamais tomber amoureuse, mais ressentait elle uniquement du désir ? N'y avait il pas autre chose la dessou ?

La jeune femme sentit les mains de l'hybride quitter son corp pour écarter les émches qui tombaient sur son visage. Puis, elles revinrent se poser sur son corp totalement trampé. L'eau, maintenant devenue glacée, tombait toujour le long de leurs deux corps brulants.
Viviane brulait d'envi qu'il aille plus loin, mais elle ne trouvait aps le courage de le lui faire comprendre plus clairement.

Viviane répondi a son baiser avec tout autant de fougue et de sauvagerie que lui, si ce n'est plus. Elle captura la langue de l'homme, la mordillant élgérement, ainsi que ses lévres.
Quand il la guida jusqu'a lui et qu'il entra en elle, la jeune femme ne put s'empécher de mordre plus "violament" la lévre de l'hybride. Quand il commença a faire de petits mouvements de va et vien, elle relacha la lévre de l'homme et gémi doucement. Elle sentait le plaisir monter en elle, elle était a sa merci, et elle ne voulait changer cela pour rien au monde. Elle était submergée de désire, elle ouvrit doucement les yeux et ne put que se noyer dans le regard d'argent de Bleiz.

L’amour ? Bleiz n’en connaissait que le mot, il se savait pas ce que c’était. L’amour était un sentiment complexe à expliquer et il n’existait pas réellement chez les loups. De plus, personne n’avait vraiment voulu perdre son temps à l’expliquer à un pauvre loup qui de toute façon était destiné à obéir aux ordres de son futur maître sans broncher et sans se poser de questions.

Mieux valait pour Viviane que ce genre de douche ne se reproduise pas trop souvent où la facture d’eau risquait d’être très salée pour elle. L’Hybride avait complément oublier le liquide qui s’écoulait toujours sur leurs deux corps. Il voulait simplement savourer le moment présent et la présence de la rousse contre lui autant qu’il le lui serait permit de le faire. Profité du moment présent était le credo majeur des loups et donc forcement celui du jeune homme aux cheveux d’argents.

Viviane avait répondit à son baiser de même manière qu’il l’avait entamé. La jeune femme avait commencé un jeu de langue et le jeune homme y répondit simplement, faisant tout de même en sorte de ne pas se blesser avec ses mordillements. Finalement, sa virilité entre enfin en elle et sur le coup elle lui mordit un peu trop vivement la langue… Il sentit un petit goût ferreux se répandre sur ses babines mais ne s’en soucia pas plus que ça… Cela cicatriserait vite… Quand il commença à se mouvoir en elle la femme libéra sa pauvre lèvre, il laissa échapper un petit soupire et se serra un peu plus contre elle la pénétrant un peu plus profondément. Il garda son regard figé dans les magnifiques yeux bruns alors qu’il se mouvait en elle, le regard enfiévré sous le désir qui reprenait ses droits.

Viviane n'en pouvait plus, elle n'arettait aps de s'intéroger sur la nature de ce sentiment ... Que ce passait il en elle? Pourquoi ce sentait elle ainsi? Elle sentait bien que ce n'était aps de l'amour mais aps seulement du désir non plus ... Il y avait quelque chose de plus ... Et ce qui lui plaisait autant chez l'homme loup, c'était son côté "timide" mais sauvage ...

L'eau qui coulait toujour sur leurs corps la fi frissoner une fois de plus, mais elle n'y préttat pas plus d'attention ... Et d'ailleur, etait-ce a cause de l'eau qu'elle frissonait, ou a cause de Bleiz?

Quand la jeune femme mordi la langue du jeune homme, elle sentit son sang couler doucement, apparament, ça ne dérangeait aps Bleiz outre mesures, Viviane n'y prétta pas grande attention non plus. La jeune femme ne put retenir un gémissement quand il commençat a décrire des mouvements de va et vien. Une de ses mains glissa le long de son dos, elle caressa la nuqe de l'hybride, puis redessendit jusque dnas le bas de son dos. Elle ferma les yeux, et vint mordiller le cou de l'hybride, au dessu et en dessou de ce collier de métal qu'elle lui enléverait plus tard ...

[dsl gros manque d'inspi]

Bleiz était beaucoup plus serein que la jeune femme, et une partie de lui se demandait comment faire oublier à la jeune femme ses interrogations. Mais il ne savait pas quoi faire, alors il se contentait de faire en sorte de faire ce qui faisait plaisir à Viviane, ce qu’elle semblait aimé. C’est tout ce qu’il pouvait faire, ou du moins c’était l’impression que l’hybride avait.

L’Homme loup se foutait de sa langue blessée, comme du sang qu’il avalait, ce n’était pas ses priorités, pas le moins du monde. Le goût ferreux, il y avait été habituer à force de chasser avec sa meute et le goût du sang était devenu pour lui une délicieuse ambroisie s’écoulant sur sa langue.

Il l’entendit gémir alors qu’il commençait une série de vas et viens, c’était tellement bon de l’entendre ainsi gémir à ce qu’il faisait. Il sentit sa main glisser dans son dos et il émit une sorte de petit grognement. Comme il aimait les caresses de la rousse, c’était affolant… Elle aurait pus lui faire faire ce qu’elle voulait rien qu’avec une simple petite caresse. Bleiz la sentit ensuite lui mordiller le cou et eut une sorte de léger ronronnement alors qu’il pestait à nouveau intérieurement contre le collier de métal. Il tenta de focaliser à nouveau son esprit sur ce qu’il faisait à l’heure actuelle. Il accéléra même un peu plus l’allure, pénétrant plus amplement en elle.

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