[Bleiz] Vous avez déja ramené un loup chez vous ?

Viviane sentait la chaleur monter en elle. Bleiz pénétrait plus profondaiement en elle et elle lança la tête en ariére en gémissant doucement. Sa main glissait dans le dos de l'hybride, le griffant légérement. Elle le fixa dans les yeux et vint l'embrasser avec fougue. Elle jouait avec la langue de l'homme loup, le gout du sang ne la dérangeait aps non plus. Elle jouait avec sa langue et ses élvres, se délectant de ce moment de plaisir. Elle étiat prise apr des boufés de chaleurs, mais l'eau glacée qui coulait sur son corp la refroidissait légérement.

Elle se sentiat vraiment bien, mais une légére douleur la lançait dans son bas ventre. Cependant elle ne pouviat aps y faire attentio ndans un moment pareille. Elle se contentait de savourer.

Elle griffait toujour son dos du bout des ongles, jouant toujour avec sa langue, tandit qu'il entrait plus profondément en elle.

Bleiz avait tellement chaud, même l’eau glacée n’arrivait pas à la refroidir. Il la vit rejeter sa tête à sa mère, il l’entendait gémir. Il sentait la douce chaleur de la jeune femme tout contre lui, tout comme il se laissait envoûter par sa si douce effluve. L’Hybride accélérait toujours plus le mouvement alors qu’il sentait les mains de Viviane glissé dans son dos avec délectation. Il sentait les ongles éraflant sa peau pale. Il y eut ensuite un baiser fougueux et il y répondit autant qu’il le pouvait. Il répondait à ce baiser tout comme il répondait à son jeu de langue. Le loup aurait voulu que cet instant dure à jamais. Bien docilement, l’Homme-Loup obéissait à ce qu’il pouvait deviner de qu’attendait la rousse.

En ce qui concernait la douleur de la jeune femme, Bleiz ne pouvait pas deviner. Il continuait encore et toujours ses mouvements de vas et viens, accélérant toujours de plus en plus l’allure, allant de plus en plus profondément. L’homme aux cheveux d’argents sentait que son plaisir allait bientôt atteindre son paroxysme. Il se retenait comme il le pouvait pour combler de son mieux les attentes de la jeune femme. Il voulait faire son bonheur, même si ce n’était que pour un court laps de temps.

Le dos de l’hybride se couvrait de griffures, tout comme son cou l’était depuis des jours, ses mains caressaient le postérieur de la femme, le griffant également légèrement. Mais, bientôt, il ne parvint plus à tenir. Un gémissement franchit ses lèvres alors qu’il lâchait sa semence en elle. Malgré ça, il continua les mouvements de vas et viens, totalement épuisé à présent, mais il luttait contre ses limites pour elle.

Viviane étiat totalement bouillante, elle mourais de chaud et santait son poul sur sa tempe. Cette chaleur était cependant télement agréable. Elle commençait a aleter et sentir les mains de Bleiz sur son corp l'exitait d'avantage. Elle se sentait chavirer, couler, totalement submergée apr le désir qu'elle éprouvait pour cet homme.

Bleiz continuait ses vas et viens, elle n'en pouvait plus, elle ne prétait même plsu atention a cette douleur qui lui déchirait le bas du ventre. Elle le senti se "deverser" en elle, et elle ne pu retenir un cri, de douleur mais surtout de plaisir. En même temps que son cri, elle serra les poingts, dans le dos de Bleiz, et enfonça légérement ses ongles dans la chaire de l'homme loup.

Le jeune femme ne se demandait même plus s'il ressentait le même plaisir qu'elle, elle se sentait totalement vidée de son énergie, mais elle ne voulait sortir de cette douche pour rien au monde.

[dsl du retard mais jes uis légérement trés surbouquée en ce moment^^]

Bleiz avait jouit, il se sentait épuisé maintenant. Il fallait dire que, puisque son organisme n’était pas habituer à cela (normal), il était totalement vidé. Il avait le souffle court… La respiration haletante. Il ressentit alors une petite douleur et se retira d’elle avant de la garder contre lui avec douceur. Il était vraiment épuisé.

L’homme-loup commençait maintenant à sentir la froideur de l’eau sur son corps, mais il ne broncha pas. Après tout c’était un animal sauvage qui, habituellement prenait ses douches sous des cascades dont l’eau était parfois bien plus froide que celle qui coulait en ce moment sur leur deux corps encore enlacer.

L’hybride vint doucement poser un baiser dans le coup de sa maîtresse. Il était fatigué… Il commençait à peiné à tenir debout tellement cet événement l’avait fatigué. Il laissa échapper une sorte de petit gémissement alors que ses genoux se dérobaient légèrement sous lui. Il était vidé de ses forces mais tenait au dela de ses limites pour faire plaisir à sa nouvelle ‘louve alpha’.

Viviane commençait vraiment a fatiguer, mais apparament elle n'étiat pas la seule. Elle était légérement haletante et elle reposa sa tête sur l'épaule de l'homme loup. Elle snetiat la chaleure du corp de leiz tout contre le sien, ses long cheveux roux venaient chatouiller le dos de l'homme en tombant devant le visage de la jeune femme.

Le smains de la jeune femme se baladaient toujour le long de la conole vertébrale de l'hybride. Elle commençait a sentir l'eau la glacer totalement, elle détacha une de ses mains du corp encor chaud de Bleiz et éteignit l'eau sans même s'en rendre compte.

Elle serrait toujour l'hybride contre elle ... Une rumeur vint déranger sa douce létargie. Quelqu'un tambourinait a la porte de son appartement en criant son nom. Elle ne compri pas tout de suite et dessida de laisser frapper celui qui frappait a la porte. CXependant plus le temps passait, plus le bruit s'intensifiait. Les "Melle Darah !!" fusaient, quand elle compri qu'elle ne pourait aps avoir la paix sans être allé voir ce qu'il se passait, et surtout que si elle n'y allait aps, sa porte risquait de souffrir, elle se détacha douement de l'homme loup, passa une main dériére son cou et lui caressa doucement les cheveux, elle sorti de la douche, s'envelopa dans un peignoir et marcha jusqua sa porte, légérement tibutante.

Elle ouvrit et toisa l'homme qui martirisait sa porte. C'était un de ses voisin qui s'inquiétait, i lavait entendu un cri et pensait qu'il y aviat un probléme avec un de ses clients, elle faisait un métier a risque aprés tout. Elle se tuait a lui expliquer que ce n'était rien, que le cri ne venait aps de chez elle, heuresement pour elle, mais épuisée, elle mentait toujour trés bien. Au bout d'un moment, elle réussi a se débarasser de lui.

Elle ferma la porte et retourna dans sa salle de bain. Elle s'adossa au mur et admira (son) Bleiz un instant.

Bleiz était épuisé, il se serait bien reposer, mais il voulait tenir debout car Viviane semblait vouloir rester contre lui. Il haletait, essayant tant bien que mal de reprendre sa respiration. La seule source de chaleur qui lui parvenait était celle du corps de sa maîtresse tout contre le sien. Il n’avait eut aucune réaction face aux cheveux de la jeune femme qui lui chatouillait légèrement le dos.

Les mains de la jeune femme caressaient encore et toujours son dos, tout au long de sa colonne vertébrale, c’était tellement agréable, il en aurait presque ronronné. Tout à coup, le jet d’eau s’interrompit et l’Hybride compris que s’était la rousse qui l’avait coupé, ayant sans doute trop froid.

Soudain, l’une des oreilles effilée de l’homme frissonna légèrement. Au tambourinement de la porte, l’humme-loup laissa échapper un grognement sourd, comme l’aurait fait un vulgaire chien de garde. La personne à la porte s’acharnait contre cette dernière et l’hybride continuait de grogner. La détective se détacha alors de lui et moi caressa les cheveux et la nuque. Il leva alors ses yeux d’argent sur elle alors qu’elle commençait à s’enrouler dans un peignoir. Puis, elle sortie, en titubant un peu alors il pencha doucement la tête sur le coté. Puis, n’étant pas le moins du monde gêné par sa nudité, il sortie à la suite de la jeune femme, sans se faire remarquer. Restant à bonne distance pour ne pas se remarquer, il attendit en écoutant, près à intervenir si nécessaire.

Il entendit un fragment de la conversation, l’homme ne semblait pas vouloir de mal à la « chef de meute » d’après le son de sa voix, et l’odeur qu’il dégageait n’était en rien menaçante. Alors l’homme-loup fit demi tour avant de revenir dans la salle de bain. Il s’ébroua vivement pour chasser l’eau de sa crinière. Puis, il se laissa tomber assis au sol dans un coin de la pièce. Il laissa échapper un bâillement sonore. Il entendit la porte d’entrée se refermer et il leva vivement la tête en la penchant sur le coté.

Bleiz vit Viviane venir à son tour dans la salle de bain et il la regarda alors qu’elle s’adossait au mur et qu’elle posa son regard sur lui. Gardant le regard sur elle, il pencha légèrement la tête sur le coté avec un petit couinement.

Viviane regardait Bleiz, assi apr terre, la têt sur le côté, qu'i létait beau! Elle sourit, se détacha du mur, fouilla un instant dans u npalcar de la salle de bain ,et en sorti une grand serviette, il lui donnait froid assi ainsi sur le sol carelé. Elle vint s'agenouiller a ses côtés, passa ses mais autour du cou de l'hybride, et la serviette apr la même ocasion. Elle l'enroula dans la grande serviette et lui frotta légérement le dos, elle adorait lui caresser le dos, ça devait lui faire presque autant plaisir qu'a lui. Elle le regarda, le caressant toujour dans le dos, mais s amain vint heurter le collier de fer. Elle fronça les sourcils et se releva.

Partie dans une autre piéce, elle fouilla un isntant avant de revenir dans la salle de bain avec quelques crochets de tailles différentes. Ell était devenue pro dans l'art de crocheter une serrure et elle voulais se débarasser ded ce fichu collier.

"Ne bouge aps."

Elle s'agenouilla a nouveau a côté d elui et chercha un court instant le fermoir de ce colleir de maheur. Une fois qu'elle l'eu trouvé, elle ésséya quelques crochets et en trouva enfin un qui convenait, elle s'afaira une petite minute sur la petite serrure, et entendi enfin le cliquetit caractéristique du fermoir qui souvre. Elle souri, mais ne lui rtira pas le colleirn s'il n'en voulait plsu il n'aurait qu'a l'enmlever, s'il voulait encor le garder, il lui sufirait de refermer le fermoir, et elle lui fit comprendre ça dans un regard. (Bah oui elle est trop douée ^^)

Viviane regardait Bleiz et lui-même la regarda. Ses longs cheveux argentés retombaient, humides, sur ses épaules nues. L’hybride la vit alors prendre une serviette et elle la lui posa alors sur les épaules. L’homme-loup avait chaud avec cette serviette sur le dos. Cependant, il savait qu’il devrait s’y habituer maintenant qu’il appartenait à la détective et devait se plier à sa façon de vivre. La rousse le frottait pour l’essuyer. Il adorait le contact de ses mains sur sa tête, sa nuque et son dos et laissa échapper un grognement doux. Si il avait été sous sa forme canine, sa queue serait en train de battre furieusement l’air. Comme un vulgaire chien, une caresse suffisait à le rendre heureux. Elle sentait alors les mains de la femme continuer à caresser son dos et le loup ferma ses yeux d’argents, laissant échapper un long soupire de bien être. Il était alors toujours assis au sol, enroulé dans cette serviette qui, vu sa position, le couvrait presque entièrement.

Tout à coup, sans crier gare, la jeune femme sortit de la salle de bain, la laissant à nouveau seul. Une question muette passa dans son regard et il laissa échapper un nouveau couinement en fixant la porte refermer. Il se demandait où sa maîtresse avait filer maintenant. Quand elle revint, elle avait quelques crochets dans les mains et le jeune hybride les regarda avec méfiance, il n’aimait pas vraiment ça. La jeune femme lui ordonna alors de ne pas bouger et il baissa un peu vivement la tête, la laissant faire. Il avait peur, mais il devait obéir… Même si tel qu’ils étaient à l’heure actuelle, il aurait facilement pus la tuer.

Au bout d’un moment, il entendit un cliquetis et tout à coup il put enfin respirer à nouveau. Ca faisait du bien. Il releva doucement la tête et renifla un moment l’air… C’était bon de pouvoir à nouveau se comporter comme un loup. Il se passa une main autour du cou, l’éraflant légèrement de ses grises acérer… Ca faisait du bien de ne plus sentir ce bout de métal l’emprisonner. Un sourire de loup de forma sur ses lèvre. Il était vraiment heureux. Bien sur, il s’était décider à remettre ce collier quand il serait dehors… Pour montrer qu’il n’était plus un loup sauvage en quelque sorte… Il posa les yeux sur la jeune femme et lui adressa un demi sourire.

Viviane le regardait respirer a nouveau, mais elle fut surprise de ne aps le voir retirer le bout de métal. Enfin, aprés tout, il faisait ce qu'il lui plaisait. Quand il se touran vers elle et lu iadressa un demi sourir, les yeux de Viviane se plissairent légérement et elle souri également. Elle déposa les crochets au sol et s'assi le plus confortablement a côté de l'hybride. la jeune femme était totalement épuisée, leurs ébats sous la douche l'avait totalement vidée. Elle se pencaht élgérement sur le côté et déposa sa tête sur l'épaule de l'hybride.

Elle savait que si elle restait trop longtamps comme cela, il y avait de grandes chances pour qu'elle s'endorme. Elle apssa un bras autour des épaules de Bleiz et lui caressa la nuque, sous le collier de émtal. Elle sentait la peau de l(hybride sous ses doigts. Elle était criblée de cicatrices, et de petites plaies plus ou moins refermées. Elle ferma un oeuil, caressant toujour la nuque d el'hybride. Elle sneti une plaie qui avait l'aire particuliérement mal cicatrisée. Elle rouvri un oeil et souleva légérement le collier pour regarder la nuque de l'hybride, effectivement la plaie était bien laide. Elle se redressa avec dificulté et fouilla dans l'armoire a farmacie. Elle sortit un simple désinfectant et un peut de coton ... Le metal directement sur la plaie, sans la laisser respirer n'avait aps du être trés bon pour l'hybride, mais bon en tant que loup il devait étre résistant ... mais c'était plus fort qu'elle ... elle ne pouvait aps s'empécher d'ésséyer de le soigner.
Elle se rassi a côté de lui, posa une main sur son épaule et de 'lautre elle versa directemetn le désinfectant (de la teinture d'iode, ce sera plus drole ^^) sur la plaie, le coton récupérait de liquide, et l'empéchait de couler le long du dos de l'hybrde. Elle fit la grimace, vu l'état de son cou, sa ne devait aps faire que du bien ...

Bleiz se demandait bien ce que sa maîtresse pouvait avoir en tête. Elle lui avait détaché son collier et avait répondu à son sourire ? Elle avait posé les étranges engins avec lesquels elle avait forcé la serrure. Finalement, elle s’était assise à ses cotés et posa sa tête contre son épaule, il ne broncha pas.

A nouveau elle l’entoura d’un de ses bras et il se laissa faire, elle lui caressa la nuque et cela lui fit un peu mal car son cou était très abîmé à cause de ses griffes pas toujours très propres qui avaient lutté contre ce bout de métal. Il avait mal, mais il savait endurer la douleur alors il ne couina pas, baissant doucement les yeux. Il la sentit soulever son collier et se demanda ce qui se passait encore. Finalement, la jeune femme s’absenta un moment, puis, elle revint et lui versa un liquide dans le cou. Un long couinement s’échappa de sa gorge et il se tourna vivement vers elle puis lui mordre violement la main de ses dents affreusement pointues. Il s’éloigna ensuite vivement.

Sous la violence du mouvement, le collier tomba au sol, tout en agissant, l’homme avait cédé sa place au loup. Le loup la fixa un moment en montrant les crocs… Il avait beau la considérer comme une louve Alpha, il ne se laisserait pas plus faire si elle s’attaquait à lui, et n’ayant jamais connu le désinfectant dans sa vie, il avait assimilé ça à une attaque. Il grogna, les oreilles couchées sur sa tête. Il poussa alors vivement la pièce et s’éloigna d’elle, il réussit à pousser la porte et il fila, toujours sous la forme d’un loup blanc.

Bleiz alla se réfugier dans une impasse proche de là et il se recroquevilla dans un coin, tout contre les deux murs. Il avait mal. Sa nuque était affreusement rouge à cause de se produit. Pourquoi avait elle agit ainsi après tout ça ? Il ne comprenait pas… Il avait mal. L’animal se coucha au sol et se roula en boule. Il avait mal, il n’arrivait pas à comprendre. Il voulait juste pouvoir se reposer tranquillement, il était vraiment fatigué. Ses poils d’un blanc immaculés étaient totalement trempés. Un grognement sourd s’échappa de sa gorge et il trembla un peu, il avait froid.

Viviane n'avait aps eu le temps de comprendre ce qu'il c'était apssé, une douleur igue lui transpersa la main et elle sentait du sang couelr le long de ses doigts, elle ne baissa pas les yeux pour voir l'état de sa pauvre main, elle faixait le loup qui se trouvait en face d'elle. Les yeux de la jeune femme étaient redevenus rouges, et elle ne quitait aps le regard du loup. Il montrait ses crocs en grognant les oreilles palquées en arriére, s'il ne c'était pas passé tout cela, et si elle était en meilleur forme, elle aurait surement angagé un combat avec l'homme-loup. Sa main la faisait souffrir, afrusement souffrir, elle sentait son pouls au niveua de ses tempes, et cela n'arrivait que trés rarement, quand elle était vraiment épuisée, qu'elle avait la migraine, ou des envis de meurtres. Elle reagrda l'animal détaler comme un lapin géant, avec des poils beaucoups plus longs, et surtout des dents bien plus pointues. Le regard de la jeune femme se durci, elle serra le poings, de sa main ensanglantée. Elle sentait la douleure lui aracher un petit gémissement, mais elle se repris rapidement.

la jeune femme se mordi la lévre et pista le loup dans l'apartement, ce n'atiat pas bien dur, il laissait une trainée d'eau et un peut de teinture d'iode dériére lui. Elle tomba enfin sur le loup recroquevillé dans un coin de la chambre d'amis, non loin de la salle ou elle rangeait toutes ses armes, une idée lui traversa l'esprit, elle avait des idées malseines ... Elle frissona légérement, quelques fois elle s'effrayait elle même. Elle soupira, les sourcils froncés, l'air plus qu'énérvé ... Et quitta la piéce aprés avoir claqué la porte.

Elle retourna a sa chambre, et se rabilla. Une fois entiérement séche, elle retourna dans le salon, mit de la musqieu, du rock,elle prit un petit carnet, et se mit a dessiner les visages de toutes ses victimes. Ca lui permettait de apsser le temps aprés tout ... Elle se faisait une diée, aprés tout, il n'était qu'un animal sauvage dans u ncorp d'homme ... Il reviendrait quand il le voudrait, mais i lvalait mieu pour lui qu'il ne revienne que quand elle serait calmée, sinon il risquait de souffrir. En parlant de souffrir, elle était télement énervée qu'elle ne sentait même plus sa main, d'un autre côté, en se changeant, elle l'avait désinfectée et avait apssé une bande autour, mais sa ne l'empéchait pas de saigner abondament.

Bleiz ne comprenait pas, cette femme avait été tellement gentille, pourquoi tout à coup l’avait elle attaquer comme ça alors qu’il n’avait rien fait de mal ? Il n’avait pas réagit quand elle avait fait caquer la porte, si ce n’était pas un léger sursaut. Il resta là, dans son coin à couiner pendant des heures. La douleur des plaies, il y était habituer, mais cette piqûre que lui causait ce produit cruel qu’elle avait verser sur son cou. L’homme se grattait à cause du produit, résultat, toutes ses plaies au cou furent à nouveau ouvertes, il savait qu’il ne devait pas se présenter à nouveau fasse à elle.

Voila pourquoi l’Hybride s’endormit là, rouler en boule dans un coin de la pièce en couinant de temps à autres. A son réveil, son cou saignait moins, seules les grandes plaies saignait encore, mais au moins cela ne le piquait plus… Il était encore très tôt… L’Homme-loup fut surpris de voir qu’il s’était endormit sous sa forme humaine. A nouveau il devint cet immense loup blanc dont le pelage était maintenant couvert de quelques taches sanglantes. Il n’avait pas peur de voir Viviane. Les sentiments d’un loup étaient parfois éphémères car pour eux ni passé, ni futur, seul le présent comptait vraiment. En cet instant le canidé avait même oublier la meute dans laquelle il avait grandit.

Le loup blanc s’étira en baillant et s’ébroua un moment avant de fixer la porte, il se demanda pourquoi elle était fermer… Il se hissa sur ses pattes arrière et appuya de tout son poids sur la poignée. La porte s’ouvrit et livra passage au loup. La maison était silencieuse, le soleil pas encore lever, il s’étira encore un moment. Puis, il descendit tranquillement au salon, inconscient d’être en train de mettre du sang partout. Viviane allait sans doute le rappeler à l’ordre à cause de ça… Il chercha ensuite un moyen de sortir mais tout était fermé, il se contenta donc de laisser échapper un léger couinement, puis il alla se coucher, rouler en boule dans un coin de la pièce, attendant tranquillement que la jeune femme daigne venir lui ouvrir… En espérant que cela serait assez rapide.

Bleiz avait besoin d’aller faire ses besoins, mais il était habituer à se retenir assez longtemps alors il espérait simplement que la louve alpha lui accorderait bientôt la possibilité de sortir un peu. A sa nuque de grosses touffes de poils avaient été arrachées quand il s’était gratté et sous ceux-ci, sa peau était à vif à cause de ses griffes. Toujours coucher au sol, il guettait la moindre venue dans la pièce. Les yeux d’argent tourné vers l’entrer, vers laquelle la rousse devrait rentrer, un lourd soupire échappa à l’animal. Sa queue était enfouit sous lui et il avait les oreilles basses, signe de soumission et aussi de peur…

Les heures passaient, et Viviane ésséyait toujour de se calmer en dessinant. Elle finit par craquer, elle n'y arrivait aps, elle était sur les nerfs, pourquop icet animal l'avait il mordue? Bon, d'accord, il ne conaissait surement aps le désinfectant, sa piquait peut étre un peut, mais a ce point ...
Totalement épuisée, et hors d'elle, elle se changeat encor une fois, et se glissa sous ses dras. Elle se tourna et se retourna, pendant prés 'une demi heure avant de retrouver le someil. Cependant, vers 5 heures du matins, elle se réveilla, un bruit de porte l'avait tirée de son someil. En même temps, elle entendi un couinement de chien ou de loup. Elle apssa sa main dans ses cheveu, et se remémora la soirée de la veille quand elle senti une vive douleur lui traverser la main. La jeune femme soupira, elle était toujour de trés mauvaise humeur, et fatiguée, par dessu tout.

La jeune femme s'étira, fit un petit tour dans sa "salle d'amre", frappa un peut contre un punching ball pour se défouler élgérement, mais ce n'était pas trés concluant. Elle retourna dans sa chambre, ouvrit un tiroire de son bureau couvert de feuilels en tout genre, en sortir un paquet de cigarette, elle sortit une clope du paquet et ramassa son briquet qu itrainait au pied de son lit. En principe, elle ne fumait aps, mais quand elle étiat vraiemnt trop dépriéme ou énervait, sa lui faisait du bien, celon elle. Elle alluma sa cigarette et se dirigea vers le salon en fumant.

Il y avait du sang aprtout par terre, d'habitude c'était elle qui en couvrait le sol ... pas cette fois. Elle entra dans le salon, regardant toujour le sol, elle retrouva la trainée de sang, et vi le loup, en boule, dans un coin. Elle inspira une grande boufée, et soupira longement. Elle resta un instant debout, devant la porte de la piéce, simplement vétue d'une chemise blanche, trop grande pour elle. Elle savait bien que le loup aviat reamrqué sa présence. Elle traversa la piéce en silence, ouvrit la porte se trouvant a l'oposé, regarda le loupo dans son coin, puis l'entrée vide et blanche de so nappartement. Elle n'atendi aps longtemps devant la porte, de toute fasson, s'il la faisait trop attendre, elle refermerait la porte et i lserait condamné a attendre encor un petit bout de temps.

Bleiz était couché, silencieusement, il était impatient, mais savait se montrer maître de lui-même et attendrait donc que la femme daigne venir lui ouvrir. Bleiz, en tant que Loup, n’était pas trop sensible aux coups et aux blessures, en revanche ces picotements, avant la veille il ne les avait jamais rencontré, et ça aurait pus tout aussi bien être une arme. Le plus sage aurait été de le prévenir avant d’agir, mais elle ne l’avait pas fait…

Il avait mal dormit, il était un peu grognon, mais il faudrait bien que ce peu de sommeil lui soit suffisant, sinon il ne pourrait jamais s’en sortir convenablement. L’Hybride était loin de se douter qu’elle était encore en colère contre lui. Dans une meute, il n’était pas rare de voir les sous fifre défié ceux qui les dominait pour prendre leurs places, et si après le combat la rancoeur restait, le lendemain il n’y avait plus que l’esprit de meute, comme dans la tête du loup blanc à présent.

Le sang s’était agglutiné dans ses poils, les emmêlant et donnant l’impression que le loup venait de s’attaquer à quelqu’un et de le mettre en pièce, mais il n’en était rien. Quelques plaies saignaient encore, mais maintenant, l’animal ne souffrait plus. Il entendit des mouvements et Bleiz laissa échapper un très doux couinement. Quelques minutes plus tard, une odeur qu’il haïssait arriva à ses narines, le tabac… Son poil avait été brûlé par un fumeur quand on l’avait « apprivoiser », il réprima un grognement.

Cependant, quand Viviane arriva dans la pièce avec sa cigarette, il se contenta de la fixer de ses grands yeux d’argents, il se leva et s’étira, la queue repliée entre ses pattes et les oreilles basses. C’était là, à la fois le signe de sa soumission et d’un peu de peur. Après s’être étirer, il constata que la femme commençait à peine à bouger, il ne fit aucunement attention à sa tenue, pour lui les vêtements n’avaient aucune utilité, il était un loup, il ne voyait que le ‘pratique’ et le ‘vital’. Elle se dirigeait vers la porte et l’ouvrit. L’Homme-loup la suivit d’un pas doux, calme et un peu traînant, après un moment à la fixer. Il franchit la porte et s’éloigna un peu. Un souffle de vent vint courir dans ses poils et il leva sa truffe au vent.

Il sentait les odeurs de la forêt… Un petit couinement lui échappa, finalement, il fit sa petite balade avant de voir un papillon… Un court jeu commença, au terme duquel, l’insecte volant finit broyer sous les crocs acérés du loup au pelage de neige. C’était un animal sauvage, donner la mort était dans ses gênes, et même domestiquer cela ne changerait jamais sa nature profonde. Il avala la maigre pitance du cadavre et poussa un hurlement à la mort pour rendre un dernier hommage à sa minuscule proie, comme le faisait sa meute à chaque chasse. L’Hybride marqua son territoire grâce à sa glande caudale, puis il leva les yeux vers la porte, était elle refermer ? La rousse voudrait il qu’il rentre maintenant ??

Viviane le vit se lever lentement, la queue entre les jambes, d'un autre cpoté, il avait intéré, si il ésséyait encor une fois de s'attaquer a elle, même pour ce défendre contre du désinfectant, ça allait être sa faite.
*Ne te présse aps surtout ...*
Elle soupira et lke regarda passer devant elle, elle claquat la porte une fois qu'il fu dehor, et partit s'habiller. Elle fini sa cigarette et l'écrasa sur le rebor de la fenétre, elle ne fumait presque aps, donc elle 'navait aps de cendrillé. Elle enfila un jean délavé et un top rouge sang, avec un pull par dessu, elle était frileuse. Une fois qu'elle eu fini de s'habiller, elle retourna dans le salon et mit un peut de musique, elle remassa tous sescroquis de la veille qui se trouvaient toujours par terre, les posa sur la table basse t s'avachi un isntant sur le canapé. Aprés un court instant, elle se souvint du loup encor dehors, il voulait rentrer ? elle n'en avait aucune idée. Elle se releva et marchait jusqu'a sa porte, elle l'ouvrit et regarda l'animal.

-Tu veux rentrer ? Si oui rentre, si non, je referme la porte et tu te débrouillera pour faire du bruit quand tu voudras que je t'ouvres

Son ton était froid et sévére, elle était vraiment rancuniére et le coup de la morsure l'avait iritée. Son regard était noir, il n'avait aps intéré a l'énerver. Elle fixait l'hybride dans les yeux, cherchant a voir s'il avait compris.

Viviane avait claqué la porte derrière lui et il attendit donc, sagement qu’elle vienne lui ouvrir, il ne lui ‘demanda’ pas, ne souhaitant pas l’énerver plus qu’elle le fût déjà. Même si il ne comprenait pas vraiment pourquoi. Quoi qu’il en soit, la porte finit par se rouvrir sur la jeune femme et il la regarda dans les yeux avant de pencher la tête sur le coté. Elle lui parla et il compris qu’il devait rentrer, il ne se le fit pas dire deux fois et se glissa dans la maison, le pelage humide car il s’était rouler dans l’herbe humide de rosée.

Une fois dans la maison, il lécha la main blesser de la rousse, comme pour lui demander pardon, même si il ne comprenait pas pourquoi elle lui en voulait encore à cause de ça. Puis, il s’éloigna à nouveau pour retourner dans un coin de la pièce où il ne gênerait personne et où il pourrait à peu près tout surveiller. Bleiz essayait de se faire le plus discret possible, ainsi même si il avait faim, il ne se plaignit pas. Un loup avait l’habitude de faire avec la faim quand la meute échouait une chasse.

L’hybride espérait que la femme se calmerait. En attendant il se ferait plus discret en restant sous sa forme animal. Ses yeux d’argents se posaient sur la détective et il soupira doucement la tête posée sur ses pattes humides. Décidément, il n’arrivait pas à comprendre les humains, c’était une race tellement étrange… Ils avaient des coups de colère, ils agissaient de façon assez mesquine et douloureuse, ils portaient du tissu pour se cacher… Pourquoi ? Ils n’avaient pas de poil… ou alors ils se les arrachaient. C’était vraiment une race incompréhensible pour notre jeune loup. Bleiz entendit un hurlement de loup dans le lointain, il leva une oreille, mais ne répondit pas, trop perdu dans ses réflexion sur la race humaine.

Viviane le regarda se fofiler a l'intérieur, et elle leva un sourcil quand il lui lava la main a coup de langue. Elle n'avait presque plus mal, enfin si elle avait mal, mais la jeune femme était télement habituée a se casser des os en tous genres, a avoir des plaies et des émathomes un peut partout sur le corp, qu'elle avait apris a ne plus y faire attention. Elle eml regarda se rouler en boule dans un coin de la piéce, les petites "léchouilles" du loup l'aviat u npetu calmée, il devait peut étre regretter.
La jeune femme se posa sur le canapé, pouis s'y allongea. Sa nuit avait étée courte, mais si elle s'endormait maitnenat, elle allait apsser la journée a dormir.

Au bout d'un moment elle se redressa et regarda un moment le loup. Le ventre de la jeune femme la torturait, elle avait oublié de manger se matin. Elle soupira et se rassi convenablement. Elle continuait de fixer le lou pdans les yeux, et au bout d'un moment elle pris la parole.

-Tu as faim ? Tu veux de la viande je paris ...

Elle regarda sa amin et sourit, puyis releva la tête et adressa le même sourir a l'hybride. Elle fit un tour dans la cuisine, raporta une boite de petits gateaeux avec un verre de jus de furit a côté, puis une assiette avec l'éternelke steak pas cuit.

Bleiz était donc aller se rouler en boule dans un coin, et il la vit s’allonger sur le canapé, elle devait être fatiguée… Finalement, elle se releva et il la fixa droit dans les yeux soutenant son regard un court instant avant de baisser les siens, chez les loups fixer les autres ne se faisait pas, c’était un affront. Il la regardait donc sans fixer son regard d’argent sur un point fixe jusqu’à ce qu’elle ne lui demande si il avait faim. Il mourrait de faim… Il n’avait pas assez manger la veille, il avait besoin de ses deux kilo cinq de viande rouge.

Apparemment, Viviane avait acquit un Loup sans savoir comment agir avec eux, c’était un comportement dangereux… Et un autre loup que Bleiz n’aurait pas hésiter à se battre à mort pour la place de chef de meute. A sa question le loup avait aboyer, signe qu’il avait bel et bien faim. Il la vit partir, puis revenir avec leurs repas. Il ne toucha pas tout de suite au steak, la rousse devait manger en premier sa pitance puisqu’elle était la chef de meute, ainsi fonctionnait toute meute de canidé.

Il s’était alors coucher sur le dos, c’était le meilleur signe de soumission chez les siens. Puis, une fois que la rousse se fut installer et eut attaquer son repas, il s’attaqua à son steak avec un appétit des plus bestiale. Il ne tarda guère à l’engloutir, couvrant ses babines du sang froid de cet animal mort depuis des lustres. Rapidement, il eut terminé sa gamelle et il s’assit ensuite bien sagement auprès de l’endroit où la jeune femme s’était installée pour prendre son petit déjeuner tardif. L’hybride resta assis au coté de la détective, le poil immaculé et tacher de quelques tache de sang encore… Et en plus son poil était trempé.

Viviane le regarda s'assoir a côté d'elle, elle se souvenait que ses aprents donnaient toujourd a manger a leur chien aprés eux, mais elle ne pensait pas que dnas une meute de loup, le loup Alfa, ici c'était elle, devait manger en premeir. Elle ne se posa pas trop de question, et se contenta d'entamer son petit déjeuner. A poartir de ce moment, ce fut un vrai carnage, bleiz déchiquetait al viande plutot énergiquement. Heuresement que Viviane était habituée aux carnages, ça ne l'afectait plus.

La jeune femme se contentait de manger ses biscuits. Le loup eu vite terminé, elle ce fut un peut plus long. Une fois son assiette et son verre vide, elle se baissa pour ramasser l'assiette de l'hybride, puis ramena ses propres affaires dans la cuisine. Elle revint un peut plus tard dans le salon. Effectivement, il y avait des traces d'eau et de sang un peu aprtout dans la maison.

Elle se rassi sur le canapé et observa le loup. Mais quesqui lu iavait prit de le ramener chez elle, bon d'accord il pourait lui être utile si elle a besoi nde suivre une piste, mais en attendant ... Elle pencha légérement al te^te sur le côté en le regardant.

Bleiz s’était sagement assit après avoir finit, elle n’avait pas finit, peut être allait il se voir comme un égale si ça continuait ainsi. Enfin, ça c’était à voir le moment venu… En attendant, il valait mieux que la femme ne fasse pas trop d’erreur de ce type car même si le loup était assez docile, il n’en restait pas moins un loup et non pas un chien. Ce repas était maigre, il faudrait qu’il ressorte chasser… Il s’ébroua un moment alors qu’elle partait à la cuisine. Il attendit donc calmement son retour.

Quand elle revint, il la regarda s’asseoir sur le canapé et l’observer, un moment, il fit de même figeant son regard argent dans les yeux de la femme. Il la vis pencher la tête sur le coté et il la regarda, la queue replier entre ses patte et les oreilles basses. Inconscient de la lourdeur qu’il pouvait avoir sous cette forme, il se dressa sur ses pattes arrière et posa ses membres antérieurs sur les genoux de la femme avant de venir lui lécher le menton, puis le visage. Pour les siens c’était une attitude de soumission, mais pour les humains, qu’est-ce que cela pouvait bien signifier, sûrement la même chose.

Il n’était pas conscient que cela pourrait à nouveau l’énerver, ou même la chatouiller, mais, de toute façon, il suffisait à la détective de lui ordonner d’arrêter et il le ferait bien sagement, et retournerait se coucher dans un coin.

Vviiaen s'était rassise et le regardait, elle aurait du réfléchir avant d'agir pour une fois. Quand le loup posa ses apttes sur le genous d ela jeune femme, celle ci ne put retenir un petit soupir de surprise, elle ne le croyait aps aussi lourd. Il se mit a mlui lécher le menton puis el visage, elle était trés chatouilleuse et ça lu iétait insuportable. Elle se "dandinait" sur le canapé, et ésséyait de ne pas rire, mais ces charmantes léchouilles l'énerviaent au plus haut point. Elle aurait voulu se reposer tranquilement aprés avoir passé une nuit aussi courte. Et apr dessu tput, il lui faisait aml au jambes en s'y appuyant. Elle posa ses deux mains sous le cou de l'hybride et ésséya de le repousser.

"Bleiz bars toi !"

Ce n'était aps trés éléguant, mais elle 'navait aps trouvé de meilleur fasson de lui demander de partir en si peut de temps, et d'un autre côté, "Blezi aurais tu l'obligence de te retirer" n'était aps trés aproprié a ce genre de situation.
Elle le repoussait toujours comem elle pouvait, elle doutait d'avoir assé de force pour repousser un loup pesant autant sur ses pauvres jambes.

Bleiz lui léchait le visage, pour lui, il n’y avait rien de mal à ça, mais apparemment, pour elle ce n’était pas la même chose… Et il l’entendit parler.

>>Bleiz bars toi !<<

L’homme revit une scène de son dressage. Bars toi… Il y avait eut droit là bas, à se barrer dans sa cage… Ou dans la fausse où on le faisait évacuer sa colère et sa violence sur d’autre hybride en les forçant à se battre jusqu’à épuisement. Bleiz s’immobilisa donc et ses oreilles se couchèrent sur sa tête alors que sa queue était légèrement repliée. Le loup recula ses pattes arrière puis regagna la terre ferme, il n’osait plus la regarder. Il n’était pas hanté par son passé, le passé n’avait pas d’important. Mais on avait habitué son esprit et maintenant, les bars toi signifiaient qu’il risquait des coups dans son esprit. De plus, comme il n’était pas un Omega, il ne se laisserait pas faire si on le frappait encore, quitte à devoir à nouveau être muselé, il était près a courir le risque.
L’Hybride s’éloigna à reculons, gardant son regard orienté dans sa direction, il était campé sur ses pattes, celles-ci étaient légèrement repliées, signe qu’il pouvait bondir à tout moment, mais il continuait de se reculer. Finalement, il arrivait dans l’entré et resta un moment dans la même position, méfiant à cause de ce qui s’était passer la veille. Viviane avait à nouveau perdue la confiance qu’elle avait pus gagner de lui en le sortant de sa cage et de la boutique d’hybride…

Viviane le reagrda reculer, les oreilles baissées, il ne manquait plus qu'il lui montre ses crocs en grognant ... Elle ne comprenait aps ce qu'il lu iarrivait, masi apparament il n'aimait pas le terme "bars toi"... Des souvenirs pas trés agréables avaient du revenir occuêr son esprit. Elle soupira en le fixant dans els yeux, sans aucune trace de menace. Elle s'acroupi a plusieurs métre de lui et dit d'une vois douce, mais cependant intriguée.

"Je ne te veux pas de mal, ne t'inquiétes pas, je ne suis aps un de tes boureaux ... Si je voulais te faire du mal, serait tu libéré de ton collier en métal?"

Elle éspérait que cet argument sufirait. Elle souhaitait aussi qu'il ai compris la majoritée de ses parole et qu'il allait aretter de faire cette tête, même si elle ne le montrait aps, la jeuen femme se méfiait des animaux quand il avaient un air de défis. Souvent ce n'étiat rien qui vaille. Elle tendit la main vers lui, mais sans pour autant avancer.

Les loups n’avaient pas une grande mémoire, juste des assimilations odeur=personne ou lieu, son=acte et le tout mêlé de sensations… Viviane était, hélas pour elle, tombé sur la mauvaise assimilation… Finalement elle s’approcha de lui et il releva légèrement les babines restant toujours silencieux. Elle s’accroupit et il continua de la fixer ses babines à nouveau dans un état plus normal.

>>Je……pas…mal,… inquiétes pas, je … pas … boureaux ... je…te faire du mal, …tu libéré…ton collier…métal?<<

Voila à peu de chose près ce que le loup avait compris, autant dire pas grand-chose alors il resta un moment dans la même position à analyser ses mots qui pour lui n’avait pas vraiment de cohérence les unes avec les autres. Son regard d’argent glacé se posa alors dans le font des yeux de la femme, il cherchait à savoir ses pensées. Finalement, l’Hybride la vit tendre une main vers lui et il grogna légèrement… En revanche, les muscles de ses pattes se détendirent et il se redressa. Encore un moment, il garda son regard poser sur elle puis finalement, il se rapprocha d’elle et une fois devant elle, il se pencha un peu et donna un coup de museau dans sa main. Il semblait chercher à lui demander pardon ou bien à s’assurer qu’elle n’allait ni le frapper, ni s’énerver contre lui.

La jeune femme voyait bien qu'il n'avait pas compris ce qu'elle venait de lui dir. Mais elle le fixait dans les yeux, avec patiense. Elle n'était aps trés douée avec les animaux Il retroussait toujous ses babines, et Viviane s'inquiétait un peut pour le futur état de sa main tendue vers le loup, mais ne laissait rien apraitre, même pas dans le font de ses yeux bruns. Quand i ls'approcha, la détective ne fit pas un geste, il lui donna un coup de musea dans la main. La jeune femme retendit la main et s'approcha de seulement quelques centimétres de Bleiz. Elle mit la maisn au dessu de la tête de l'hybride, frolant sa belle fourure argentée.

Elle ne prononçait aps un mot, de toute fasson il ne comprendrait pas, elle se contentait de le fixer, son regard était doux mais tout de même séver. Si il avait compri ses aproles, elle l'aurait egueulé, en disant qu'il dev ait lu ifaire confiance, qu'elle ne voulait aps le blesser, qu'elle ne voulait aps lu ifaire de mal, et que ça la mettait hors d'elle quand elle voyait qu'i lperdait toute confiance en elle si rapidement. Elle ferma les yeux un court ijstant, soupirant profondément, et les rouvrit, toute trace d'énervement avait disparu.

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